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2017

Batalla de Camarón 154 aniversario

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13eme DBLE Camerone 2017 La Cavalerie

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Commémoration du combat de Camerone - 8 avril 2017

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"Légionnaire", soixante portraits d'engagés : coup de coeur de Serge Martin

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https://www.franceinter.fr/

mercredi 19 avril 2017

Du plus jeune au plus ancien, soixante légionnaires se sont laissés photographier, malgré la tradition de l’anonymat, tout en mettant « leur cœur sur la table ».

Légionnaires

Légionnaires © AFP / ERIC FEFERBERG / AFP

 

Serge Martin est rédacteur en chef à la rédaction de France Inter

Du plus jeune au plus ancien, du nouvel engagé à l’officier supérieur, du français d’origine au lointain Kirghize, soixante légionnaires se sont confiés à Victor Ferreira et Bertrand Constant, eux aussi anciens légionnaires.

Ils font sensation lors du défilé du 14 juillet mais on ne les connaît que peu, ces hommes qui ont choisi de servir la France. Des portraits touchants rassemblés dans ce livre, illustré des portraits des légionnaires et paru aux éditions Mareuil.


Un SDF a retrouvé sa famille au Maroc grâce à deux étudiants lyonnais

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Logo leJDD.fr

26 mars 2017

Grâce à deux jeunes d’une école de commerce de Lyon, un SDF ancien légionnaire a pu rentrer chez lui vendredi. Après une longue absence…

Vendredi à l'aéroport de Lyon, Jean-Thierry entouré de Corino et Cédric, les deux étudiants de l'EM Lyon qui lui ont permis de retrouver sa famille au Maroc. (R. QUADRINI pour le JDD)

Le grand jour est arrivé. Ce vendredi, à l'aéroport Saint-Exupéry (Lyon), on ne saurait dire quel est le plus ému des trois. Jean-Thierry H., le SDF, qui disparaît en salle d'embarquement en agitant la main, un large sourire sous sa casquette Star Wars? Ou bien Corino Fontana et Cédric Zbirou, les deux étudiants en école de commerce, qui le regardent s'éloigner : "Fais attention à toi!" Ce jour-là, le quadra s'envole pour retrouver (enfin) sa famille au Maroc. Les deux amis "sèchent" un cours consacré au projet de création d'entreprise pour l'accompagner.

Ainsi se termine une belle histoire. La rencontre inattendue entre cet homme cabossé par la vie, portant sac à dos et bagues à tête de mort, et ces deux jeunes, plutôt trench et polo siglés, inscrits à l'EM Lyon, l'une des quatre meilleures écoles de commerce de France. Tout a commencé le 20 octobre. En sortant de sa salle de sports, Corino tombe sur le clochard place Bellecour : "Je n'avais pas de pièce, mais du temps. Nous avons commencé à discuter."

Coiffé d'un chapeau militaire, le "cow-boy" lui raconte sa vie. Ses années de Légion étrangère : "A 16 ans, j'avais fait beaucoup de conneries. Le juge m'a dit : "C'est la prison ou l'armée."" Lou, l'animal qu'il a eu en étant maître-chien. Avignon, où il pensait travailler dans la sécurité, "mais la boîte a coulé". Puis Lyon, la rue. Né à Colombes, l'homme assure avoir une famille près de Casablanca. Il rêve de la retrouver, mais n'en a plus les moyens : "Ma mère ne sait pas que je dors dehors. Je ne veux rien lui demander. J'ai ma fierté."

821 euros récoltés en 24 heures

Le soir même, l'étudiant poste un message sur le groupe Facebook de sa promo. Fidèle au credo de l'école early makers, il invite ses camarades à agir, à payer un billet d'avion pour JT. En vingt-quatre heures, 821 euros sont récoltés. "Les écoles de commerce ne forment pas que de grands méchants banquiers!", plaisante Cédric. Les deux "loustics" – comme les appelle parfois le SDF – pensent tout régler en quelques jours.

«D'habitude, les gens donnent une pièce, puis détournent le regard. Là, nous sommes parvenus à lever le blocage»

Mais Jean-Thierry se fait voler son sac à dos. Dépôt de plainte, domiciliation, acte de naissance, demande de passeport… Les jeunes l'aident dans toutes ses démarches. Des mois de galère. "JT est devenu la star de l'école", sourit Cédric. D'autres étudiants passent le ­saluer : "D'habitude, les gens donnent une pièce, puis détournent le regard. Là, nous sommes parvenus à lever le blocage."

"Je crois que je vais crever là, dehors"

Car tout ne se résume pas au soutien financier. Le sans-abri subit des épreuves. Son chien est piqué après avoir mordu des passants. Un compagnon meurt d'une overdose. Et lui-même se voit roué de coups. "Quand tu as fait l'armée, tu encaisses", crâne-t?il. Mais son visage et ses mains portent des cicatrices de tesson de bouteille. "A Noël, se souvient Corino, Jean-Thierry m'a laissé un message désespéré : "Je crois que je vais crever là, dehors."" Ils ne le lâchent pas.

Mercredi, le passeport est enfin réceptionné. Les jeunes offrent alors à "tonton" (son petit surnom) une nuit d'hôtel avant le départ : "Nous voulions qu'il soit propre, rasé, lavé… Nous avions peur qu'on lui refuse l'accès à l'avion." Ce vendredi matin, JT fait ses adieux aux amis de la rue, caresse une dernière fois leurs chiens, jette un œil au fatras d'affaires qu'il abandonne derrière lui. Méryle, 19 ans, sursaute en le découvrant sans barbe : "Mais tu as quel âge, en fait? 41 ans? Je pensais que tu avais la cinquantaine!"

Puis direction l'aéroport, le sac à dos rempli de jouets pour ses enfants : "Je suis heureux. Je rentre à la maison!" Les étudiants, eux, s'inquiètent jusqu'au bout : "Tu vérifies que l'avion est bien affiché", "Tu as de quoi nous appeler à l'arrivée?" Quand JT décapsule à nouveau une bière, le stress ­redouble : "Sérieux, tu ne peux pas être alcoolisé dans l'avion…" Une dernière photo à trois. Puis le SDF part vers sa nouvelle vie. Cédric et Corino rentrent chez eux. Sur le portable, un e-mail : "Tiens, le fonds d'investissement de Londres m'a répondu…"

Marie Quenet - Le Journal du Dimanche


Remise de képis blancs pour les jeunes légionnaires

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Visite du président djiboutien en France: priorité à la défense

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rfi AFRIQUE

Par RFI Publié le 01-03-2017

Djibouti devrait rester une des principales bases françaises à l'étranger.
© Wikimédia/CC

La visite officielle du président djiboutien en France s’est achevée mercredi soir 1er mars, une visite tournée vers les questions économiques et de défense. Mercredi, Ismail Omar Guelleh a rencontré (avec une délégation de ministres et chefs d’entreprises) le patronat français au siège du Medef avant de s’entretenir avec le président du Sénat français puis avec le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, l’occasion de s’assurer du maintien du partenariat franco-djiboutien. Présente à Djibouti depuis plus d’un siècle et demi, l’armée française s’y maintient depuis l’indépendance par un accord de coopération militaire. Un accord revu à plusieurs reprises, avec récemment une réduction des effectifs, mais qui comprend toujours une clause d’assistance automatique en cas de déstabilisation du régime.

Depuis une décennie la France réduit ses dépenses militaires. En 2004 il y a 3 000 soldats français à Djibouti. Paris souhaite descendre en dessous du millier d’hommes, mais un rapport parlementaire s’y oppose et le chiffre est fixé à 1 350 pour 2017. La 13e demi-brigade de la Légion étrangère rejoint Abou Dhabi, l’hôpital militaire Bouffard est rétrocédé à Djibouti mais les bases aériennes et navales sont maintenues ainsi que le 5e régiment interarmées (héritier du bataillon des somalis), quatre hélicoptères Puma, une Gazelle et quatre Mirage 2000-5.

Pour les députés, il s’agit d’honorer l’accord de défense entre les deux pays. La France assure le contrôle de l’espace aérien et doit intervenir en cas de déstabilisation du régime comme en 2008 lors du conflit avec l’Erythrée.

Par ailleurs, à Djibouti les conditions sont extrêmes, semblables à celles que l’on rencontre au Sahel où est déployée l’opération Barkhane. La France y forme donc ses propres soldats, l’armée djiboutienne et parfois ses alliés comme les Etats-Unis ou encore le contingent ougandais de l’AMISOM.

Un territoire qui suscite des convoitises

Les intérêts stratégiques vont bien au-delà du petit pays, car Djibouti est un véritable pivot pour se déployer sur le continent, vers l’océan Indien et au Moyen-Orient. Les forces françaises stationnées à Djibouti (FFDJ) ont été déployées récemment en Centrafrique, en Irak, au Yémen et au Mali. Djibouti, c’est aussi un poste décisif pour sécuriser le commerce d’hydrocarbure, et le point d’entrée des câbles de communication vers l’Afrique de l’Est.

Le territoire suscite donc bien des convoitises. Les Etats-Unis y ont aussi une base d’où ils déploient leurs drones vers le Yémen. Djibouti abrite également l’opération européenne Atalante qui lutte contre la piraterie, la seule base japonaise hors de l’Archipel et la toute première installation militaire chinoise en Afrique.

Face à la concurrence, Paris décide de conserver sa base opérationnelle avancée. Le terrain est loué à l’Etat pour un montant annuel de 30 millions d’euros auxquels s’ajoute l’aide au développement sous forme de prêts mais aussi de dons. Les opposants accusent Paris de « financer » un régime qu’ils jugent « dictatorial ». Les loyers des bases américaine (4 000 hommes) et chinoise seraient respectivement deux et trois fois supérieurs.


De nouveaux réservistes pour l'opération Sentinelle

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Par Martin Cotta, France Bleu Vaucluse lundi 27 février 2017

 

Les 19 stagiaires ont reçu leurs bérets lors d'une cérémonie

Les 19 stagiaires ont reçu leurs bérets lors d'une cérémonie © Radio France - Martin Cotta

Vendredi matin, 19 hommes et femmes ont intégré l'armée française en qualité de réservistes. Ils ont reçu leur béret lors d'une cérémonie de clôture de leur formation initiale à Saint-Christol d'Albion. Plusieurs d'entre eux participeront à l'opération Sentinelle dans les prochaines semaines.

19 nouveaux réservistes dans l'armée française et dans la légion étrangère à Saint-Christol d'Albion. Une cérémonie de clôture de la formation de ces réservistes a eu lieu vendredi matin dans le quartier Maréchal Koenig de Saint-Christol d'Albion dans le Luberon.

C'est là qu'est basé le deuxièmee régiment étranger de génie appartenant à la 27e brigade d'infanterie de Montagne. Plusieurs de ces réservistes seront amenés à participer à l'opération Sentinelle pour faire face à la menace terroriste et surveiller les lieux sensibles partout en France. Depuis son lancement en janvier 2015, 10.000 militaires dont 3.000 en réserve sont déployés sur le territoire.

Pour beaucoup de ces réservistes, les attentats et l'état d'urgence en France ont accéléré leur envie de s'engager dans l'armée. C'est le cas d'Ainhoa, la vingtaine et le sourire jusqu'aux oreilles. Fière d'être réserviste et de pouvoir servir la France.

"C'est pour savoir ma famille en sécurité. Ça [le contexte, ndlr] renforce l'envie de s'engager et d'anticiper les choses" explique la jeune femme. Xavier, son papa, respecte l'engagement de sa fille. "Cela fait à peu près deux ans qu'elle pense à s'engager, mais impossible de savoir pourquoi et comment c'est arrivé... " termine-t-il.

Idem pour la maman, Anne qui doit encore réaliser que sa fille s'est bien engagée dans l'armée française. "Moi c'est pas forcément ce à quoi j'aspirais pour ma fille. Elle est assez féminine et la voir en uniforme me surprend un peu" confie la mère de famille.

"Connaissant son tempérament, elle a un grand besoin de justice. C'est quelqu'un qui est très engagé de toute façon" termine Anne. Ainhoa compte désormais passer les concours de l'école des sous-officiers.

Les 19 nouveaux réservistes de la réserve opérationnelle de la 27e brigade d’infanterie de montagne (crédit : Armée française) - Aucun(e)

Les 19 nouveaux réservistes de la réserve opérationnelle de la 27e brigade d’infanterie de montagne (crédit : Armée française) - Armée française

Quatre femmes sortent de cette nouvelle promotion. De bon augure pour l'opération Sentinelle d'après le Lieutenant-Colonel Emmanuel. "Une présence féminine apporte plus de facilité à dialoguer parfois avec des gens que l'on rencontre. Elles amènent une approche différente. Et cela montre aussi que nous avons une véritable communauté qui est engagée au profit du service de la nation" explique le Lieutenant-Colonel Emmanuel.

Jérôme, 38 ans, est le major de cette nouvelle promotion avec une moyenne de plus de 17 sur 20 au bout des 15 jours de formations. Une sacrée expérience pour ce conducteur de trains de marchandises.

Jérôme nouveau réserviste au micro de France Bleu Vaucluse (crédit : Armée française) - Aucun(e)

Jérôme nouveau réserviste au micro de France Bleu Vaucluse (crédit : Armée française) - Armée française


Comment devenir réserviste ? Se rendre sur le portail de la garde nationale.


Histoires 14-18 : le Luxembourg occupé

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Accueil Grand Est

Publié le 25/02/2017

© Pathé Gaumont

Petit par sa taille, grand par son nom
Le Luxembourg, un duché coincé entre la France, l’Allemagne et la Belgique. Un pays, marqué par sa neutralité, qui va pourtant subir de plein fouet l’occupation allemande durant toute la durée de la Grande Guerre.


Dès le 2 aout 1914, la veille de la déclaration de guerre de l’Allemagne à la France, les premières troupes allemandes pénètrent en territoire luxembourgeois, soulevant les protestations, vaines, du gouvernement en place et de son emblématique premier ministre Paul Eyschen.
Pour les Allemands, cette occupation est une simple mesure préventive, censée protéger le Reich de l’imminence d’une attaque française.
Mais dans les faits, l’ensemble de la société est mise au pas : le franc luxembourgeois est remplacé par le mark et les résidents allemands du grand-duché sont immédiatement mobilisés.
En réaction, côté français à Paris, 3000 luxembourgeois francophones s’engagent dans la légion étrangère.

Même si le pays est préservé des combats et ne subit que des bombardements, les civils luxembourgeois doivent faire face à une flambée des prix des denrées alimentaires et à un début de pénurie.
Des tickets de rationnement pour le pain et le beurre sont édités et les stocks de céréales et de farine sont saisis par arrêté.
La grande duchesse Marie-Adélaïde et les gouvernements successifs qu’elle nomme ne parviennent pas à freiner la contestation sociale qui monte dans le pays.
En revanche, durant toute la guerre, les banques luxembourgeoises continueront leurs activités, prenant même parfois des participations dans des 


Le 17 novembre 1918, 6 jours après l’armistice, les troupes allemandes quittent le pays, laissant place aux prisonniers de guerre français, belges et russes accueillis par une foule en liesse.
Après 4 ans d’occupation, le Luxembourg renoue avec sa souveraineté.
Taxée de sympathie envers l’Empire Allemand, Marie Adélaide abdique une fois la guerre terminée, laissant le trône au profit de sa sœur, Charlotte, qui régnera près de 50 ans sur le Luxembourg.


Toute la collection des 400 vidéos Histoires 14-18


La1ere a identifié "l'île déserte parfaite" de l'océan Indien photographiée par Thomas Pesquet depuis l'espace !

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Par David Ponchelet Publié le 17/02/2017
Ce vendredi matin, l'astronaute Thomas Pesquet a posté depuis l'espace la photo de "l'île déserte parfaite, perdue au milieu de l'océan Indien". La1ere a mené l'enquête et a retrouvé cette îlot effectivement désert et... Français !

© Thomas Pesquet

© Thomas Pesquet

Depuis la Station Spatiale Internationale, l'astronaute français Thomas Pesquet a posté ce vendredi matin sur Twitter et Facebook une photo qui fait rêver :
celle de "L'île déserte parfaite". Voici comment il la décrit : "Vous cherchiez l'île déserte parfaite ? La voilà! Perdue au milieu de l'océan Indien et probablement habitée d'un seul palmier".


Mais quelle est cette île ???

L'océan Indien est vaste (73 millions de kilomètres carrés !), et les îlots de ce genre sont nombreux. Mais à La1ère, nous avons retrouvé l'îlot paradisiaque de Thomas Pesquet, et figurez vous qu'il est Français :-)

Archipel des Glorieuses (îles éparses, dans l'océan Indien) © David Ponchelet / Outre-mer 1ère

© David Ponchelet / Outre-mer 1ère Archipel des Glorieuses (îles éparses, dans l'océan Indien)

Son nom : l'île du Lys, également appellée "Petite Glorieuse".  Lîle du Lys se trouve dans l'archipel des Glorieuses, l'une des îles Eparses, gérées par les TAAF, les Terres Australes et Antarctiques Françaises. C'est là, au nord du canal du Mozambique, à 300 kilomètres au nord-est de Mayotte :

© Google Map

© Google Map

La preuve avec Google Maps

Nous avons cherché sur Google Maps l'île de Thomas Pesquet.
Voici la photo originale :

© Thomas Pesquet

© Thomas Pesquet

Et une capture d'écran de l'île du Lys, effectuée sur Google Map :

© Google Map

© Google Map
Pas de de doute, il s'agit bien de l'île du Lys :-)


Une île vraiment déserte ?

L'archipel des Glorieuses est composé de deux îles : la Grande Glorieuse (7 kilomètres carrés) et la désormais célèbre Ile du Lys (600 mètres de diamètre). Sur la Grande Glorieuse, distante de quelques centaines de mètres, il y a une présence humaine permanente : afin d'assurer la souveraineté française, un détachement de 14 militaires de la Légion Etrangère est présent, ainsi qu'un gendarme (venu de La Réunion). Ces forces françaises (qui sont généralement relevées toutes les six semaines)  s'assurent notamment que le Parc Naturel Marin des Glorieuses, créé en 2012, reste préservé et à l'abri de toute autre présence humaine.

Les Iles Glorieuses © David Ponchelet (Outre-mer 1ère)

© David Ponchelet (Outre-mer 1ère) Les Iles Glorieuses

Officiellement, donc, l'île du Lys est inhabité. Mais la réalité est différente : Elle sert parfois d'abri à des pêcheurs clandestins venus des îles voisines, Madagascar notamment. Un article du journal Le Marin, consultable ici, le montrait en 2015. Sur l'île du Lys, comme a pu le constater un journaliste de La1ere en 2009, on trouve des traces de cette présence : notamment des restes de feux de bois improvisés sur l'une des plages de l'île. 

Y aller ?

Sur la page Facebook de Thomas Pesquet, de nombreux internautes rêvent d'aller sur cette île. Eh bien... C'est très difficile, et même interdit : l'accès aux Glorieuses est soumis à autorisation de l'administration des TAAF. Seule une dérogation accordée par le préfet des TAAF peut vous autoriser à fouler le sol de l'île du Lys.

Les Iles glorieuses, comme les autres iles des Eparses ne comptent aucune population permanente. © Biosphoto / Tony Crocetta

© Biosphoto / Tony Crocetta Les Iles glorieuses, comme les autres iles des Eparses ne comptent aucune population permanente.

Reportage Radio

Ecoutez ce reportage radio réalisé en 2009 aux îles Glorieuses... Il permet de s'apercevoir que Les Glorieuses ne sont pas forcément l'île paradisiaque dont rêve Thomas Pesquet !

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Traduction

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