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Légionnaire toujours...

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2011




Les oubliés de la guerre

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Quelques pistes de recherches sur la Légion

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Introduction

Docteur ès lettres Michel Bodin

Depuis 1931, la Légion, prolongement des formations étrangères qui servirent la France depuis le Moyen Âge, est présente sur tous les théâtres d’opérations. Elle est un mythe et une réalité.

Et lorsqu’au rythme lent du « Boudin », en un bloc impeccable, la Légion descend les Champs-Élysées, le 14 juillet, les spectateurs l’applaudissent avec enthousiasme. Les deux termes, « Légion étrangère », ne laissent pas indifférents. Ils sont synonymes d’aventures, de vie tumultueuse, de courage, de guerres et de sacrifices ultimes. La Légion est une institution que beaucoup croient connaître. En réalité, ils sont peu nombreux à en saisir les secrets.

Ce dossier n’est pas une nouvelle histoire de la Légion ; elle est, en effet, la composante de l’armée française qui a fait l’objet du plus grand nombre d’ouvrages et d’articles. Il s’agit plutôt d’une approche novatrice de périodes précises ou de constantes de l’institution.

Le nom de Sidi-bel-Abbès est indissociable de celui de la Légion, bien plus que celui d’Aubagne aujourd’hui. Jean Michon évoque cette cité algérienne qui, à partir d’une redoute perdue dans le bled et d’un bazar, devint la « Maison Mère » de la Légion jusqu’en 1962. Garnison, centre d’accueil et de formation des volontaires, le quartier Viénot vivait en osmose avec la ville. Avec sa voie sacrée et son monument aux morts inauguré en 1931, Sidi-bel Abbès fait partie des symboles de la Légion.

L’entre-deux-guerres, marqué par des combats incessants mais d’intensité variable, pose le problème de la survie de la vieille Légion d’avant 1914, avec en particulier la question du recrutement allemand. Les légionnaires « germaniques » ont toujours, jusqu’à des temps récents, constitué l’ossature de qualité des unités étrangères. Mais le passif de la Première Guerre mondiale pouvait remettre en question leur enrôlement. Alexis Neviaski décrit les arcanes de ce recrutement et en montre les enjeux à la fois pour la Légion et pour l’Allemagne. La République de Weimar, puis le Troisième Reich firent tout pour s’opposer au recrutement de leurs citoyens, et ceci avec plus ou moins de réussite selon les époques. Progressivement, le pourcentage des Allemands baissa dans la Légion. A. Neviaski analyse la lutte feutrée entre la Légion et les nazis, et constate que la Légion sortit même grandie de cet affrontement, mettant en exergue l’affirmation de ses valeurs, des traditions fondatrices de l’esprit Légion et du mythe légionnaire.

Au Maroc, à partir de 1903, la Légion gagne encore en réputation ou peut-être forge son image. Pierre Soulié décrit les étapes et les formes de son engagement. Faisant preuve parfois d’un courage exceptionnel, la Légion s’adapte, éclatant parfois en compagnies isolées. Formant des colonnes ou opérant seule, la Légion participera à la conquête du Maroc, à sa pacification, mais aussi à la construction d’infrastructures routières.

Après la Seconde Guerre mondiale, confrontées à une pénurie d’effectifs, les Forces terrestres d’Extrême-Orient (fteo) ont, dès 1945, recours à des auxiliaires indochinois. L’enrôlement de réguliers s’appelle le jaunissement. Michel Bodin rend compte de l’ensemble des problèmes qui, malgré certaines réticences, conduisirent la Légion à un recrutement de troupes autochtones. Au fil du temps, les Indochinois devinrent une composante ordinaire des unités légionnaires. Il explique les difficultés et les succès de ce recrutement qui, en fin de compte, était dans le droit fil de l’esprit légionnaire : transformer des hommes d’origines diverses grâce à un moule en soldats d’élite.

La guerre d’Indochine à peine terminée, la Légion retrouve l’Algérie en guerre. Cette guerre, par bien des aspects, ressemble à ce que les légionnaires viennent de connaître en Extrême-Orient. Elle y rencontre de nombreuses difficultés : désertions nombreuses, lassitude face à un conflit que les hommes comprennent. La Légion réussit néanmoins à s’adapter. Une restructuration des corps, une reprise en main, des combats à la hauteur de ses capacités permettent son redressement. L’expérience indochinoise provoque cependant un sentiment d’incompréhension puis de révolte que l’on trouve en Algérie face aux décisions du pouvoir politique. Ce fut le putsch et, pour certains, l’engagement total contre le gouvernement. André-Paul Comor, en vrai spécialiste de la Légion, décrit la réorganisation de la Légion durant la guerre d’Algérie et explique clairement le cheminement de certains de ses membres dans une réaction désespérée qui menera à la disparition de l’institution elle-même.

 Deux articles sont consacrés à la Légion vue par elle-même. Dans le premier, A. Neviaski souligne les particularismes de cette institution, son état d’esprit et la solidarité de ce corps. Par de nombreux rappels historiques et littéraires, l’auteur souligne combien ces unités, formées d’étrangers, nécessitent un soin constant et une attention particulière de la part du commandement. Elle a sa place dans la nouvelle armée française professionnalisée, mais elle s’en distingue par ses traditions et par l’importance que l’esprit de corps constitue pour le légionnaire, dans son temps de contrat mais aussi après sa libération. Il s’agit de sa vraie famille, selon la vieille formule : Legio patria nostra. Dans le second, Thibaut O. Mahony analyse l’organisation de la Légion étrangère du xxie siècle et son rôle au sein de la nouvelle armée française.


La Légion n’a donc pas fini de faire fantasmer, de séduire et parfois d’inquiéter. Elle reste donc bien ancrée dans le paysage militaire français tout autant que dans la mémoire collective française.


Sidi Bel Abbès, ses origines et son développement 01/1929

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1914-1918 Ils sont venus du monde entier

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Ces Québécois qui ont fait la Légion étrangère

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Posted: 5 janvier 2011

Qui l’aurait crû? À une époque pas si lointaine, des Québécois, hommes des contrées nordiques, ont troqué le bonnet de fourrure pour revêtir le képi blanc des soldats de la Légion étrangère. Ils ont battu la semelle dans les sables du désert et les pistes rocailleuses des djebels de l’Algérie et du Maroc. Ces oubliés de l’Histoire ont aussi combattu dans la jungle indochinoise et au Mexique. Certains ont aussi fait le coup de feu en France dans le Régiment de marche de la Légion étrangère lors de la Grande Guerre de 1914-1918, tel Paul Caron, journaliste au quotidien Le Devoir.

Faucher de Saint-Maurice, ancien député de l’Assemblée législative du Québec et capitaine stagiaire au 2e bataillon d’infanterie légère d’Afrique, évoque brièvement dans un essai publié en 1890 : « La question du jour, resterons-nous français » les noms de compatriotes qui ont servi dans les rangs de l’armée française et plus particulièrement de la Légion étrangère. Parmi ceux-ci, il cite entre autres : un dénommé Huneau tué à Medellin (Mexique), probablement sous l’uniforme du Régiment étranger, l’ancêtre de la Légion étrangère. Il mentionne aussi le caporal Jean Louis Renaud, de la 2e compagnie, du 3e bataillon du 1er régiment étranger qui a combattu en Indochine et de Théophile Édouard Ayotte qui a également servi au Tonkin. Il ne pouvait passer sous silence le rôle actif joué par Joseph Damase Chartrand homme de lettres et d’épée. Celui-ci est sans conteste un témoin privilégié de son époque dont il a laissé de nombreux écrits en héritage.

Par ailleurs, en ce qui concerne la Vieille Légion étrangère, soulignons que Louis-Adolphe Casault, de 1854 à 1857, a servi en Algérie et participé à la guerre de Crimée. Il a commandé le régiment de Québec impliqué dans l’expédition de la Rivière-Rouge dans l’Ouest canadien, lors du premier soulèvement des métis.

Joseph Damase Chartrand dit des Ecorres : un homme au destin exceptionnel

Au cimetière Saint-Mary’s de Kingston repose depuis avril 1905 un Québécois, originaire de la ville actuelle de Laval, dont le centenaire de la mort est passé sous silence jusqu’à maintenant. Joseph Damase Chartrand dit des Ecorres a quitté ce monde à l’âge de 52 ans après avoir mené une vie courte, mais bien remplie. Militaire de carrière et écrivain, il a accompli un parcours qui sortait des sentiers battus.

Après une visite à l’exposition universelle de Philadelphie, Chartrand s’embarque le 29 août 1876 à New-York pour la France, avec l’espoir d’être admis à l’École militaire de Saint-Cyr. Sa tentative ayant échoué parce qu’il est Canadien et sujet britannique, Chartrand s’enrôle alors l’année suivante dans la Légion étrangère comme simple légionnaire.

En 1878, Chartrand est nommé respectivement caporal fourrier et sergent fourrier. L’année suivante, il obtient successivement les promotions de sergent et sergent-major à la 3e compagnie du 2e bataillon. Il se distingue en remportant le premier prix du tir à la carabine dans le cadre d’un concours de toutes les unités de l’armée française stationnées en Algérie.

En 1881, Chartrand est naturalisé Français et sa compagnie de légionnaires est engagée à la poursuite du chef dissident Bou Amama sur les plateaux désertiques de l’arrière-pays jusqu’à la frontière saharienne. Le 19 mai, sa compagnie participe au combat d’el-Chellala. En avril 1882, nouvel affrontement avec les troupes de Bou Amama au Chott-Tigri, Chartrand se bat en lion au point de perdre son képi, son sabre et son revolver. Il s’en tire avec un uniforme en lambeaux, les mains et le visage écorchés. Quand il retrouve ses esprits, il découvre qu’il a entre les mains un fusil qu’il a ramassé sur le champ de bataille.

À son départ de la Légion étrangère, Chartrand suit pendant une année la formation d’officier à l’École militaire d’infanterie de Saint-Maixent d’où il est promu sous-lieutenant au 3e régiment de zouaves stationné à Bône en Algérie. Au fil des ans, et jusqu’à son départ de l’armée française en 1894, il obtiendra  les grades de lieutenant au 161e régiment d’infanterie des Alpes-Maritimes à Nice, et capitaine au 7e bataillon des Chasseurs alpins en garnison à Antibes.

on cheminement comme militaire a fait l’objet de livres dont « Voyages autour de ma tente », édité à Paris en 1884, « Expéditions autour de ma tente » publiée chez Plon en 1887 et « Au pays des étapes, Notes d’un légionnaire » paru à Paris en 1892 chez Charles-Lavauzelle. Ce dernier livre a été sélectionné parmi les 100 meilleurs ouvrages sur la Légion étrangère par le Comité de la Mémoire  de la Fédération des Sociétés d’anciens de la Légion étrangère, lors d’une séance tenue à Paris le 25 octobre 2001. Tout un hommage étant donné que le répertoire officiel des livres sur la Légion étrangère compte près de 2 200 ouvrages (biographies, essais, romans, etc.) recensés depuis 1831.

Chartrand a aussi été décoré à titre de Chevalier de la Légion d’honneur, en reconnaissance de ses 14 années de service dans l’armée française et pour les blessures subies au combat en Algérie et au Tonkin.

Du vert Québec aux pistes rocailleuses et sablonneuses du Maroc

De 1921 à 1926 s’est déroulée dans les montagnes du Rif au Maroc, une guerre de guérilla qui a opposé les troupes du Sultan de Rabat aux tribus qui s’étaient rallié au prétendant au trône Abd-el-Krim. Des unités de la Légion étrangère ont été impliquées dans diverses opérations militaires. Des Québécois et des Canadiens engagés volontaires ont participé à des actions d’éclat et ont poursuivi leur engagement dans le cadre de la politique de pacification qui s’est poursuivie de 1927 à 1934, dans les oasis du Sud marocain.

La fin tragique d’un mauvais garçon

Le premier ouvrage recensé est celui du journaliste Henri Pouliot qui a publié en 1931 « Légionnaire !…Histoire véridique et vécue d’un Québécois simple soldat à la Légion étrangère ». Ce livre relate le témoignage d’un jeune citoyen de la région de Québec qui s’est enrôlé en mai 1923 et dont l’engagement a pris fin en septembre 1928. Le livre raconte en détail le séjour de son héros dans la Légion étrangère, depuis son enrôlement en France, son arrivée à Sidi-Bel-Abbès en Algérie avec la formation à son rôle de soldat et sa participation subséquente à différentes opérations militaires sur le sol marocain.

Désigné sous l’initiale F pour préserver son anonymat, ce légionnaire québécois a été affecté à la 1ère compagnie du 2e Régiment étranger d’infanterie stationné à Meknès. Cette unité a été engagée dans plusieurs affrontements avec les Rifains jusqu’à la fin des hostilités lors de la reddition d’Abd el Krim en mai 1926. Par la suite, la compagnie de F a été envoyée dans le Tafilalet pour la construction d’une route devant relier la ville de Midelt au camp fortifié de Colomb-Béchar en Algérie.

Cette compagnie, avec plusieurs autres, a été impliquée dans un vaste projet de travaux publics pour l’aménagement d’une voie de communication d’une longueur totale de 158 kilomètres, incluant le percement du célèbre tunnel de Foum-Zabel par les sapeurs pionniers du 3e REI. Le seul ouvrage de cette nature au Maroc.

Mais qui donc est ce fameux F? Selon des recherches récentes, il s’avérerait que le personnage en question ne serait nul autre qu’Arthur Fontaine. Cet homme est identifié par une note manuscrite dans l’une des pages d’un exemplaire du livre disponible à la bibliothèque de l’Université Laval de Québec. Arthur Fontaine a connu un destin tragique.

En effet, incarcéré dans la vieille prison de Québec avec un complice, en attente de leur procès pour le cambriolage d’une bijouterie, Fontaine et Honoré Bernard, un autre légionnaire québécois, selon l’article du quotidien Le Soleil, se sont évadés de façon spectaculaire, le dimanche 24 janvier 1937. Retracé le lendemain dans une maison de chambres de la rue Saint-Jean, Fontaine est abattu par le détective Aubin de la Sûreté municipale de Québec, au cours d’une bataille à coups de revolver où le détective Chateauneuf  meurt en devoir, criblé de balles par Fontaine.

Un Beauceron héros méconnu de la Légion étrangère

Quel fabuleux destin que celui de Jean-Cléophas Pépin, né en juillet 1900, au village de Saint-Martin-de-Beauce! Il a publié son récit autobiographique en 1932 sous le titre « Mes cinq ans à la Légion, histoire véridique par l’auteur lui-même ». Le livre a été édité par L’Éclaireur de Beauceville puis réédité en 1968 par les Éditions Marquis.

Grand-oncle de l’historien Carl Pépin, le sergent Pépin était un bagarreur né. En effet, il s’était engagé en 1917 dans le 258e bataillon de l’armée canadienne sans aviser ses parents. Ceux-ci l’ont retracé et forcé à quitter l’armée. Qu’à cela ne tienne, sa soif d’aventures est la plus forte et il s’enfuit du foyer familial pour aller s’engager dans l’armée américaine dans l’état voisin du Maine. Son régiment a participé à la bataille de la Vallée d’Argonne où Cléophas a été blessé le dernier jour de la guerre, soit le 11 novembre 1918.

De retour au Québec, passionné par la vie militaire, il s’engage en 1921 dans le Royal 22e Régiment. La vie de caserne et la routine quotidienne l’ennuient au point qu’il décide alors de déserter. Vivement recherché par la police militaire, il s’enfuit aux États-Unis. On le retrouve en France en 1923 alors qu’il s’enrôle dans la Légion étrangère. Pépin a été assigné à partir de 1924, au 3e bataillon du 4e Régiment étranger qui opère surtout dans la région de Beni-Mellal et de Marrakech.

Il se distingue au combat à Talisat, le 24 janvier 1924, près de l’oued Isker, en portant secours avec son groupe à des camarades coincés sous le feu de l’ennemi. Lors de cet affrontement où il avait été désigné d’office caporal, il est cité à l’ordre de l’armée et recommandé pour la Médaille coloniale par le colonel Maurel. Il obtient par la suite sa nomination officielle au poste de caporal. D’avril à septembre 1924, la compagnie de Cléophas Pépin est assignée à Ouarzazate et les dissidents, pendant cette période, attaquent les légionnaires à tous les deux ou trois jours. Par la suite, à l’automne, sa compagnie ainsi que les 10e et 11e et une autre du 2e REI participent ensemble à un assaut pour s’emparer du djebel Isker, une montagne contrôlée par les insoumis à proximité d’Ouarzazate. La bataille est féroce et on dénombre de nombreuses pertes dans les deux rangs.

Pour en finir avec la guerre du Rif qui se poursuit plus au nord, des unités du 4e REI sont dépêchées en renfort pour combattre Abd-el-Krim avant sa reddition en mai 1926. Les combats et les escarmouches font rage autour de Beni-Ouidanne. Lors d’une attaque contre les dissidents, Cléophas Pépin est blessé et doit être évacué à l’infirmerie de Beni-Mellal. Après trois semaines de convalescence et de retour à sa compagnie, il est nommé sergent et chef du poste d’Ifrouen.

Le poste est attaqué deux mois plus tard et les dissidents après avoir escaladé les murs pénètrent  dans la place à la faveur de l’obscurité. S’en suit une mêlée générale où le sergent perd 12 de ses hommes dans un combat au corps à corps. Le sergent Pépin a obtenu deux décorations importantes soit la Croix de guerre avec citation et la Médaille militaire avec l’agrafe Maroc.

Une fois revenu au Québec en 1928, Cléophas réintègre paisiblement la vie civile. Avec le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale, Cléophas se porte volontaire à 40 ans à titre d’instructeur et se retrouve sergent-major au régiment des Fusiliers de Saint-Laurent où il servira durant toute la durée du conflit. Cléophas Pépin s’est éteint en 1970 à l’hôpital des Vétérans. Il était le père de deux filles et trois garçons.

Pierre Bonin


Entraide

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Le 25 avril 2009 à 3h30 du matin le CCH (er) PALOWSKI Henryk, employé dans une société de transports chaurienne, est victime sur l' A9 d'un accident de la route.

Alors qu'un premier poids lourd percute un véhicule en travers sur l'autoroute, le CCH n'a pas le temps de réagir et s'encastre dans ce dernier.

Gravement blessé, il sera désincarcéré et évacué sur le CHU de Montpellier par hélicoptère.

L'amicale de Montpellier, prévenue par l'Assistante Sociale de la FSALE, intervient avec son Président et deux médecins amicalistes  pour le suivi sanitaire et surtout moral de l'intéressé.

La famille habitant Castelnaudary, le Président de l'AALEME avise le Président de l' AALE de l'Aude afin de partager notre action de SOLIDARITE.

La famille devant déménager, nous prenons en charge avec 10 de nos camarades cette opération. Il est à noter que son patron fournira les moyens de transport à l'épouse (il n'emploie que d'Anciens légionnaires).

Cage thoracique enfoncée, traumatisme reinal aggravé, il sera également amputé d'un pied. Il est aujourd'hui en maison de reéducation à Port la Nouvelle et garde un moral d'acier.

Malgré sa non-appartenance à une amicale, l'on voit bien que la Solidarité légionnaire est bien fondée, et, que l' "HONNEUR et LA FIDELITE" sont bien ancrés dans le coeur de nos Anciens.

LEGIO PATRIA NOSTRA


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