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Légionnaire toujours...

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2013




Fête Nationale Belge : défilé et concert de la Légion Etrangère

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La France en Belgique Ambassade de France à Bruxelles

 

Copyright photos : Henry Weill

La Musique de la Légion Etrangère, spécialement venue d’Aubagne, dirigée par le chef de musique hors-classe, le lieutenant-colonel Emile Lardeux, a été invitée par le Syndicat d’initiative de Bruxelles-Promotion à participer le jour de la Fête nationale belge, le 21 juillet en organisant une parade, en marge du défilé militaire.

La formation de 65 musiciens a également proposée au public un concert au kiosque, dans les jardins du Parc Royal de Bruxelles, en interprétant notamment l’hymne national : la Brabançonne.

La veille, l’ambassadeur de France en Belgique, M. Bernard Valero, avait organisé une réception en leur honneur à la Résidence de France, en rendant un vibrant hommage au sergent d’origine belge, Harold Vormezeele, un légionnaire tué le 19 février dernier durant l’intervention française Serval au Mali.

La Webtv Belgique 21 a consacré un reportage à la venue de la MLE à Bruxelles :

 
 
 
 
 

La légion étrangère au 14 juillet

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21 juillet : Ils sentaient bon le sable chaud...

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lundi 22 juillet 2013 
 
Une des surprises pour les festivités du 21 juillet (abdication du roi Albert, intronisation du roi Philippe et bien sûr fête nationale) fut l'invitation de Bruxelles-Promotion lancée à la MLE, entendez la Musique de la légion étrangère. Et pour le coup, on a vu débarquer le lieutenant-colonel Emile Lardeux et ses  60 musiciens (21 nationalités).

Le groupe des képis blancs a joué à 10h place Poelaert, mais également, le soir,  dans le kiosque du Parc Royal, notamment pour accueillir le nouveau couple royal... et nous y étions.

Compte-rendu (suite après le saut)

Un peu nerveux, le lieutenant-colonel Emile Lardeux attend  le signe discret qu'il peut lancer la musique...la suite royale doit être en vue pour lancer le départ...

 S.E.M. Bernard Valero, ambassadeur de France à Bruxelles est aussi un peu tendu. Dans quelques minutes, il va serrer la main du roi, présenter ses hommages...


Les voilà...Musique ...
 Le roi, la reine...
 Le roi échange quelques mots avec l'ambassadeur...
 Le lieutenant-colonel dévale les escaliers du kiosque pour saluer le couple royal...
 ...et les voilà déjà partis... Le tout n'a duré que quelques secondes...
 mais suffisamment pour redonner le sourire à l'ambassadeur.


 Le service presse de l'armée française...


Le lieutenant-Colonel Emile Lardeux


 Lui, c'est Louis, le légionnaire belge. Très sympathique, 25 ans et 1,92.



 

A notre connaissance, il n'existe pas de séries télé sur la légion étrangère ...mis à part 12 Légionnaires de Bernard Borderie.

Feuilleton en treize épisodes de  30 minutes, diffusés en 1976. Pour anéantir une bande de mercenaires qui veut faire sauter un barrage en Afrique Noire, on a sélectionné douze légionnaires groupés en commando : onze vétérans et un jeune officier. Les dix premiers épisodes de ce feuilleton racontent l'histoire de chacun de ces soldats. Les trois derniers montrent l'action du commando lui-même. Le premier Bataillon de la 13ème demi-brigade de la Légion étrangère a reçu une mission de sacrifice dans le combat qui doit faire sauter le verrou établi par les Allemands. Encore adolescent, Renato Moretti décide d'aider les légionnaires pour que l'armée passe, s'en aille et que le village puisse vivre en paix. Il leur révèle un chemin secret qui permet de tourner les positions ennemies et de les anéantir après une dangereuse escalade. Un commando suit Renato.

Cérémonie en hommage aux victime du drame de Mers el Kebir‏

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Légion étrangère

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Formée en 1831 pour incorporer les soldats étrangers à l'armée française, la Légion étrangère garde cette vocation 180 ans plus tard. Formation d'élite, elle est engagée sur de nombreux fronts à l'étranger.
 

Le site de la Légion étrangère affiche un militaire arborant une croix celtique, Jean-Jacques Urvoas juge cela "très contestable"

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Par Ivan Valerio 04/08/13

ICONO - "Un cliché très contestable". C'est le jugement de Jean-Jacques Urvoas, député socialiste et président de la Commission des Lois à l'Assemblée nationale sur une photographie publiée sur le site de la Légion étrangère d'un caporal-chef arborant le tatouage d'une croix celtique.

 

 

 

(Cliquez sur l'image pour l'afficher en grand)

Sur son blog, le député salue "l’engagement dudit militaire" mais se questionne sur le symbole de cette croix, souvent associée à l'extrême-droite : 

En effet, le légionnaire en question arbore sur son flanc un tatouage représentant une croix celtique. Celle-ci, certes symbole du christianisme éponyme, est aussi et surtout le marqueur fort des mouvements de l’extrême-droite.

Jean-Jacques Urvoas aurait préféré un autre choix de photo, jugeant que celle-ci montre davantage un militant qu'un sportif. Il craint que certains ne confondent "le service armé sous le drapeau tricolore, et une croisade idéologique". 

On peut s’interroger sur le choix de la photo puisque le site met à disposition dans sa photothèque d’autres clichés qui auraient permis de présenter un « sportif », et non un « militant », ou du moins supposé tel.

Un choix iconographique périlleux dans le climat actuel, quelques semaines après la mort de Clément Méric, considère le parlementaire : 

La présence de cette photo, sur un site officiel, prend le contre-pied du message de fermeté à l’encontre des groupuscules de l’extrême-droite, que le gouvernement a envoyé suite au décès de Clément Méric.


Mémoire de la Légion : Salih Gusic

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Ainsi va le monde !

mardi 30 juillet 2013

 

Crédit : amalep.free.fr
 
Adjudant-chef, il a quitté le service actif il y a cinquante et un ans. Il est d’une discrétion légendaire. « Quel intérêt de parler de moi ? ». Pourtant au sein de la Légion étrangère, il est souvent considéré comme un acteur du mythe, du récit, de la tradition.
Né en 1927 à Banja Luka (Bosnie), Slih Gusic se présente au poste de recrutement de Coblence (Allemagne) peu avant ses vingt ans. Parcours commun pour tout engagé : le fort Saint-Nicolas (Marseille) puis le dépôt commun des régiments étrangers à Sidi-Bel-Abbès. Après un an de service, il est nommé sergent. Et effectue les OPEX de l’époque, comprendre les guerres...L’Indochine, tout d'abord, avec le 2e bataillon étranger de parachutistes où il participe à cent vingt opérations. Puis sept mois en Tunisie en 1953 (3e BEP) avant un retour en Extrême-Orient. Parachuté sur Dien-Bien-Phu dans la nuit du 9 au 10 avril 54, il se bat jusqu’à la fin. Fait prisonnier par le Viet-Minh, il tente à deux reprises de s’évader. Libéré en septembre, il rejoint ensuite l’Algérie (1er BEP puis 1er REP), il participe en 1956 à l’expédition de Suez (Opération Mousquetaire). 1960, c’est le 2e REP.
-          Quel parcours,  dans une époque charnière de notre histoire ?
-          On aimait notre métier. Après, rester en vie, c’est le destin !
Salih Gusic est commandeur de la Légion d’honneur et grand-officier de l’ordre national du Mérite.

On le pensait noyé, Imo est rentré seul à la maison

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26 juillet 2013

Un Genevois avait voulu se poignarder, lundi, désespéré d’avoir vu son chien disparaître dans l’Arve. L’histoire finit en happy end.

Imo s’en est tiré sans une égratignure et a gardé toute sa fougue. (Photo: 20 minutes)

Un petit miracle s’est joué lundi à la Jonction. Alors qu’on le croyait englouti dans les tumultes de l’Arve, un fox-terrier de 9 mois a réussi à sortir seul de l’eau dans laquelle il était tombé pendant sa promenade quotidienne sur le quai Ernest-Ansermet. Mieux, Imo est parvenu à rejoindre sans escorte l’allée d’immeuble de son maître, à plusieurs centaines de mètres de là.

Son instinct de survie a surtout empêché son propriétaire de faire une grosse bêtise. «Imo appartenait à ma femme qui est décédée il y a deux mois. Mon fils s’est donné la mort il y a quelques années, alors ce chien est tout ce qui me rattache à la vie», confie M., un malabar de 50 ans dont 12 passés dans la Légion étrangère.

Excuses aux sauveteurs et aux policiers

Il n’a donc pas hésité une seconde quand il a fallu suivre l’animal dans l’eau. Mais les forts courants l’ont contraint à abandonner la bataille et à regagner la rive, aidé par des passants. Là, ivre de douleur, M. a sorti un couteau: «Je voulais me trancher la gorge», concède-t-il avec aplomb. L’intervention de badauds puis des policiers empêchera M. de se faire du mal.

Dans leur tentative de maîtriser cette force de la nature, un agent a été coupé à la main. «En aucun cas je ne voulais faire de mal aux personnes qui m’ont porté secours. Je tiens vraiment à m’excuser auprès de tous ceux que j’ai pu blesser. Sauveteurs et gendarmes ont fait un travail extraordinaire. C’est juste que je ne pensais qu’au chien.»

Depuis, Imo est devenu une mascotte dans le quartier.

(tpi)


Anniversaire de Cerdan

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Lundi 22 juillet 2013

Marcel Cerdan naît le 22 juillet 1916 en Algérie (alors française), dans le « Petit Paris » de Sidi Bel Abbès. En 1922, sa famille s'installe au Maroc (à ce moment-là sous protectorat français), dans le quartier Mers Sultan de Casablanca, où il grandit. Le jeune Marcel effectue son premier combat de boxe à l'âge de 8 ans, pour une tablette de chocolat. À 18 ans, il dispute son premier combat professionnel à Meknès. Marcel Cerdan est légionnaire de première classe honoraire avec le matricule 60.140 - 1948. Signalons son amour pour le ballon rond, car Cerdan fut aussi un ailier de grand talent. Il fut sélectionné aux côté de Ben Barek dans la sélection du Maroc qui affronta l'équipe de France pendant la guerre mais aussi avec l'USM Casablanca en 1941 et 1942 avec Larbi Ben Barek. Le 27 janvier 1943, il épouse Marinette Lopez (1925-2011). Il débute à Paris à la Salle Wagram, contre Louis Jampton. Semant la terreur sur les rings dans les années 1940, il est surnommé le bombardier Marocain. Après avoir gagné les titres français et européens des poids welters, il devient champion du monde des poids moyens en battant le roi du K.O. Tony Zale le 21 septembre 1948 par Ko technique, abandon à la 12e reprise. C'est à cette époque qu'il est le compagnon de la chanteuse Édith Piaf. Blessé à l'épaule, il est contraint de laisser sa couronne à Jake LaMotta à Détroit le 16 juin 1949. Une revanche est prévue le 2 décembre 1949 au Madison Square Garden mais elle n'aura jamais lieu. Le 27 octobre 1949, Cerdan prend le vol Paris-New-York Air France pour sa revanche contre Jake La Motta. L'avion s'écrase dans la nuit du 27 au 28, sur le Pico de Vara, une montagne de l'île São Miguel, dans l'archipel des Açores. Il n'y a aucun survivant parmi les 48 passagers de l'avion. Les cendres de Marcel Cerdan ont été inhumées au Maroc, puis en 1995 au cimetière du Sud de Perpignan.

Il a trois fils : Marcel Jr (4 décembre 1943), René (1er avril 1945) et Paul (1er octobre 1949).

Une brasserie et plusieurs salles de boxe portent le nom du champion...

Voir le site de cette brasserie : http://leptitcerdan.com/

123 combats disputés :

    *119 victoires (dont 61 par K.O.)
    *4 défaites
    *5 championnats de France victorieux : 21/02, 05/06 et 24/11 1938, 22/06 1941, 25/05 1946
    *4 championnats d'Europe victorieux : 03/06 1939, 30/09 1942, 02/02 1947, 10/07 1948
    *1 championnat du monde des poids moyens victorieux, le 21 septembre 1948

    *Champion des champions Français L'Équipe en 1948.
   * Décoré de la Légion d'honneur a titre posthume (1949).
   * Il est élu à l'International Boxing Hall of Fame en 1991.


Crimes de Pays

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Crimes de Pays
Ça s'est passé près de chez vous !



ISBN : 978-2-35617-011-8
Format du livre  : 13,5 x 21 cm
Reliure  : Broché
Rayonnage  : Romans
Nombre de pages  : 208

15 €

CRIMES DE PAYS est une collection d’histoires policières enracinées dans un terroir, une région ou une ville bien identifiables. Donc ce qui suit s’est bel et bien passé près de chez vous – enfin, disons que cela aurait très bien pu s’y passer !

Le premier volume de la collection, signé de Bruno Carpentier, compte trois titres :

• Le Boucher de Malemort

Corrèze, 1954, l’année de l’Abbé Pierre. L’hiver commence mal pour le commissaire Chaballe. Il en est convaincu : on a assassiné la vieille Simone. Le problème ? Pas de corps et pas de suspect. À part peut-être l’apprenti des Rastillac qui semble avoir beaucoup à se reprocher…

• L’Écorcheur de Cadolive 

Provence, été 2016. Paul Tardy est retrouvé mort au pied du Castellas à Saint-Savournin. Un homme avoue rapidement. Pourtant, un doute titille le juge Marion Dubourg. Quel peut bien être le rapport entre ce meurtre odieux et les crimes commis de manière étrangement similaire un siècle plus tôt ?  

• La Benoîte-Affique

Mons, 8 avril 2011. Guy de Villehardouin est tué dans la Collégiale Sainte-Waudru. L’inspecteur Delorme et le Procureur Vandervelde se rendent sur la scène de crime. Indice troublant : la Benoîte-Affique a disparu. Et si la clé du secret de la Sainte Famille était cachée dans la capitale du Hainaut ?

Bruno Carpentier est né à Saint-Vaast (Belgique) en 1963. Ancien officier supérieur et
ancien rédacteur-en-chef de
Képi Blanc, le magazine de la Légion étrangère, il contribue régulièrement à divers blogues et revues. Il a par ailleurs signé plusieurs ouvrages d’histoire militaire et d’histoire locale.


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Traduction

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