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Légionnaire toujours...

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2018




Cahors : Le 155ème anniversaire du combat de Camerone célébré

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https://medialot.fr/

22 avr. 2018


Une cérémonie a eu lieu au monument aux morts.

« C’est le 155ème anniversaire du combat de Camerone. Nous sommes en 2018… une pensée particulière pour le régiment de marche de la Légion Etrangère qui s’est couvert d’honneur en 14-18 » a déclaré l’adjudant-chef, Jean-Pierre Delacroix, secrétaire de l’association des anciens képis blancs du Lot qui avait organisé une cérémonie célébrant l’anniversaire du combat de Camerone ce dimanche 22 avril en présence des autorités civiles et militaires.

Le président Alexandre Scherer a lu le récit du célèbre combat. Après le dépôt de gerbes, la sonnerie aux morts et La Marseillaise ont conclu la cérémonie. Une photo souvenir a immortalisé ce moment.


Mayotte : mort du sergent Anthony Paiba Valverde (13e DBLE)

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https://www.defense.gouv.fr/

20/04/2018

"J’ai appris avec une grande tristesse la mort accidentelle du sergent Paiba Valverde, de la 13e DBLE, en mission sur l’île de Mayotte. J'assure à sa famille et à ses proches l'indéfectible fraternité de l’armée de Terre." Général Bosser, chef d’état-major de l’armée de Terre.

Le vendredi 20 avril, le sergent Anthony PAIBA VALVERDE, de la 3e compagnie de la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE) armant la compagnie d’infanterie du détachement de la Légion étrangère de Mayotte (DLEM), est décédé accidentellement alors qu’il était en mission sur l’île de Mayotte.

Il a chuté accidentellement d’une falaise située sur les hauteurs du cratère du lac Dziani (île de Petite-Terre, Mayotte). Immédiatement pris en charge par l’équipe médicale régimentaire puis le SAMU, son décès a été constaté vers 4h45 heure locale.


Hommage au légionnaire Evariste Berg seul Réunionnais de la bataille de Camerone

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https://www.clicanoo.re/

19 avr 2018

Rue Evariste-Berg au Chaudron, le colonel Boyer Vidal, commandant le RSMA, sa mère, Nicole, née Berg,et Bruno Mancini, vice-président de l'Amicale des légionnaires de la Réunion rendent hommage au seul légionnaire réunionnais à avoir participé à la bataille de Camerone. (Photo Stephan Laï-Yu)

Rue Evariste-Berg au Chaudron, le colonel Boyer Vidal, commandant le RSMA, sa mère, Nicole, née Berg,et Bruno Mancini, vice-président de l'Amicale des légionnaires de la Réunion rendent hommage au seul légionnaire réunionnais à avoir participé à la bataille de Camerone. (Photo Stephan Laï-Yu)

Dans la chanson de geste de la Légion Etrangère, la bataille de Camerone au Mexique le 30 avril 1863 occupe une place à part. Le caporal Evariste Berg, est le seul Réunionnais à avoir pris part à cet épisode glorieux. Ancien légionnaire, vice-président de l'Amicale de la Légion Etrangère de la Réunion Bruno Mancini se bat pour que l'on n'oublie pas Evariste Berg dont seule une modeste rue au Chaudron perpétue le souvenir.

Hier après-midi, un hommage a été rendu rue Evariste-Berg à l'ancien légionnaire réunionnais en présence de plusieurs légionnaires membre de l'Amicale.

Quatre des six filles d'Achille Berg, petit-fils du chirurgien de marine, Achille Berg, frère d'Evariste, Nicole, Micheline, Odile et Marie Andrée assistaient à la cérémonie. Le colonel Boyer Vidal fils de Nicole née Berg, commandant le RSMA, a rappelé le parcours militaire d'Evariste Berg. Nicole Boyer Vidal, son fils et Bruno Mancini ont ensuite déposé une gerbe au pied de la plaque de la rue Evariste-Berg.

Dans une prochaine édition, nous reviendrons en détail sur la vie d'Evariste Berg, un des héros de la bataille de Camerone.


Un Rennais parmi les porteurs de la main du capitaine Danjou

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http://lignesdedefense.blogs.ouest-france.fr/

17.04.2018

 

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Le texte ci-dessous est paru lundi dans l'édition rennaise d'Ouest-France. Cet article de mon confrère Pascal Simon est consacré à un légionnaire rennais qui a eu l'honneur d'être choisi pour être, cette année, l'un des quatre porteurs de la main du capitaine Danjou.

Voici le texte de mon confrère rennais:

Ce sera un très grand jour pour ce véritable héros de la Légion. Le 30 avril, Françis Ruiz, 91 ans, doyen de l’amicale des anciens de la Légion d’Ille-et-Vilaine, participera à la grande cérémonie de tradition à la maisonmère de la Légion étrangère, à Aubagne (Bouches-du-Rhône). Ce jour -là, comme chaque année depuis 1906, sera commémorée Camerone, la bataille fondatrice de la légende, de l’esprit d’engagement total de la Légion et de sa devise : « Honneur et fidélité ».
"Françis Ruiz a été choisi pour être l’un des quatre anciens qui accompagneront le porteur de la main du capitaine Danjou", précise Jean-René Rincel, membre du bureau de l’amicale. "Il a failli être le porteur. Mais un camarade de 92 ans l’a doublé !" 
La bataille de Camerone ? En 1863, au Mexique, un détachement de soixante hommes, commandé par le capitaine Danjou et effectuant une mission de sécurité, doit affronter 2 000 Mexicains. Réfugiés dans l’hacienda de Camerone, ils se battront pendant huit heures. Avant de mourir, le capitaine Danjou fait jurer à ses hommes de se battre jusqu’au bout et de ne pas se rendre. Ce serment sera tenu.
Plus tard, la prothèse de la main gauche de Danjou, qu’il portait à la suite d’une blessure reçue à la bataille de Solferino (1859), fut récupérée et déposée au musée de la Légion. Camerone fut commémorée pour la première fois en 1906, dans le poste isolé de Ta-Lung, au Tonkin. Ce n’est qu’en 1930 que la commémoration de cette bataille est officiellement devenu la fête de la Légion étrangère.
Officier de la Légion d’honneur, médaillé militaire, titulaire de la Croix de guerre, l’adjudant-chef Françis Ruiz est un combattant exceptionnel. "Il s’est engagé au régiment de marche de la Légion étrangère (RMLE) avant ses 17 ans, en mars 1944. Il a fait la campagne de France et d’Autriche et a été un des tout premiers parachutistes de la Légion", rappelle Jean-René Rincel. Jeune sergent-chef dans le 1er bataillon étranger de parachutistes (1er BEP), il est engagé dans la terrible bataille de la RC 4 (route coloniale 4) opposant les forces du corps expéditionnaire français à celles du Viêt- Minh, en septembre et octobre 1950, au nord Tonkin, à proximité de la frontière chinoise. « Il verra son unité disparaître au combat, en octobre 1950, rappelle Jean-René Rincel. Fait prisonnier, il connaîtra les camps vietminh pendant quatorze mois. Sur 1 900 prisonniers, après 22 mois de captivité, il n’y eut que 32 survivants. »
Françis Ruiz a servi la Légion jusqu’en 1956, et l’armée jusqu’à fin 1963. De retour à la vie civile, il est devenu responsable logistique, à Rennes, dans l’entreprise de transport Prost. Les honneurs qui lui seront rendus le 30 avril seront mérités.


NÎMES Pour Camerone, la Légion sonne le clairon

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http://www.objectifgard.com/

14 avril 2018

 

Journées prolongées pour la célébration de la bataille mexicaine.

Revue-des-troupes (Photo Légion).

Le 2ème Régiment Étranger d'Infanterie organise, comme chaque année dans sa caserne, la commémoration de la bataille de Camerone. Nous en sommes au 155ème anniversaire du combat.

Le 30 avril 1863, les 65 légionnaires du capitaine Danjou reçoivent pour mission de protéger un convoi de ravitaillement. Ils tiendront alors leur serment de combattre jusqu'à la mort. Pendant presque douze heures, malgré des pertes sévères, ces derniers font face à 2 000 mexicains. Ces hommes livrent un combat à la fois perdu, lointain et désespéré. Leur comportement exemplaire permettra le passage du convoi en toute sécurité.

Depuis, Camerone symbolise le caractère sacré de la mission et la fidélité à la parole donnée qui sont les valeurs qui fondent « l’esprit légionnaire ». Chaque 30 avril, la Légion étrangère commémore ce combat qui est devenu le fait d’armes le plus célébré de toute son histoire. Et comme les légionnaires ne font jamais les choses à moitié, voici la programmation des festivités.

C'est un rendez-vous immanquable pour qui n'y est jamais allé. L'ambiance y est incroyable, les légionnaires excellents et le cadre agrémente parfaitement les célébrations. Une grande messe aura lieu le dimanche 29 avril à 17h à l’église Saint-Baudile à Nîmes.

Le lundi, à 9h45, début de l'accueil du public à la caserne Colonel de Chabrières pour une mise en place terminée à 10h45. La prise d'armes est prévue à 11h et l'ouverture de la kermesse se fera à partir de 12h30. Paintball, tir à plombs, parcours VBCI ou commando, parcours du risque (franchissements, descente en rappel...) seront les autres activités à la carte de cet événement indispensable à la vie nîmoise. En soirée, place à l'élection de Miss Képi Blanc à 21h30 et fermeture de la kermesse à 2h. Le mardi 1er mai en fin d'après-midi sera tirée la tombola.

Pour ceux qui ne connaissent pas encore Jean-Pax Méfret, voici un petit aperçu chanté de ce qu'a pu être cette bataille dantesque.


Management : les enseignements du général Michel Yakovleff Retrouvez cet article sur : www.chefdentreprise.com - "Management : les enseignements du général Michel Yakovleff"

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http://www.chefdentreprise.com/

Publié le 13/04/2018 par Mickaël Deneux

Dernier général français à avoir débuté en tant qu'appelé du contingent, Michel Yakovleff possède une inestimable expérience dans la menée de troupe. Son credo ? Créer de la confiance.

http://img.chefdentreprise.com/Img/BREVE/2018/4/329488/Management-enseignements-general-Michel-Yakovleff-F.jpg

Management : les enseignements du général Michel Yakovleff Tout au long de sa carrière militaire, Michel Yakovleff s'est rarement trouvé au repos. Pendant 40 ans, il a été successivement lieutenant, capitaine, commandant et colonel à la Légion étrangère. L'homme, qui est toujours général de corps d'armée (2S), ne cesse de ­multiplier les casquettes.

À lire aussi : Management : et si vous vous inspiriez de l'armée ?

Expert indépendant à l'Otan et professeur vacataire au PSIA - Science Po, il est aussi actionnaire d'une entreprise naissante dans la robotisation militaire et moniteur fédéral en parachutisme, avec la bagatelle de 2240 sauts à son actif. En tant que lieutenant, il menait 25 hommes, 130 lorsqu'il était capitaine ou commandant et 936 dans ses fonctions de colonel. Pourtant, Michel Yakovleff fait la distinction entre commandement et management: "Dans le management, l'autorité est fonctionnelle. Dans le commandement, nous avons une autorité sur des hommes que nous pouvons envoyer à la mort."

Confiance totale

Au moment d'évoquer la façon de mener ses troupes, ce militaire ­chevronné insiste beaucoup sur la notion de confiance. Un réel fondement selon lui: "Les gars iront au combat sans trop discuter parce que le lieutenant y va aussi. Nous allons tous mourir mais ce n'est pas grave, nous sommes ensemble", abonde le haut gradé. Avant de poursuivre : "Face à 25 ennemis, il y a des moments où les hommes suivent leur chef car la confiance est là. Et non pas parce qu'ils sont sûrs que c'est la meilleure solution".

Un précepte utilisé par un de ces prédécesseurs, symbolisé par une phrase peinte sur une porte de garage du peloton: "Si tu ne sais pas, on t'apprend. Si tu ne peux pas, on t'aide. Si tu ne veux pas, on te force !" Le général a très souvent utilisé cette expression, notamment dans l'application d'une sanction. "Quand tu n'as pas suivi la consigne, est-ce que tu ne savais pas, est-ce que tu ne pouvais pas ou est-ce que tu ne voulais pas" Reste que Michel Yakovleff n'est pas jusqu'au-boutiste. Lorsqu'un ordre est mal accepté par un soldat, il ne négocie pas mais privilégie plutôt une écoute active pour dénouer la situation.

Effet levier du chef

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Au cours de son fructueux parcours, Michel Yakovleff a décerné un certain nombre de récompenses. Un process très formalisé lors des montées en grade d'un soldat : "Lorsqu'on veut dire que quelque chose est bien et qu'on souhaite souligner une bonne initiative, il faut le faire devant tout le monde", poursuit le militaire. Le haut gradé explique aussi qu'il existe un effet levier du chef, qui est toujours observé par ses hommes, d'une façon ou d'une autre. Ses humeurs et son attitude ont une véritable incidence.

Ce pourquoi il se remémore souvent un texte de Michel Menu, appris à l'école d'officier de Saint-Cyr: "Chef, souviens-toi: si tu ralentis, ils s'arrêtent. Si tu t'assieds, ils se couchent. Si tu doutes, ils désespèrent. Si tu critiques, ils démolissent. Mais si tu marches devant, ils te dépasseront. Si tu tends la main, ils donneront leur peau." La leçon majeure de sa carrière ? Le primat absolu de l'humain. "On n'obtient le meilleur des gens qu'en les plaçant avant les indicateurs de performance. Il s'agit d'un point absolu de la légitimité", conclut-il. Pour lui, optimiser la performance, c'est s'entourer de la meilleure équipe. Le reste découlera alors d'une suite logique.


L'adieu au général Emmanuel Beth

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http://ainsi-va-le-monde.blogspot.fr/

mercredi 11 avril 2018


"Servir la Légion est un honneur inestimable et une chance non quantifiable " expliquait dans ce blog le 14 janvier 2015, le général Emmanuel Beth. Ce matin, ils étaient nombreux ces légionnaires à s'être rendus aux Invalides (Paris). Mais pas seulement. La société dans sa pluralité était représentée afin de l'accompagner pour un dernier hommage. D'abord dans la cathédrale Saint-Louis pour une messe et ensuite dans la cour d'honneur où un détachement de la 13ème DBLE lui a rendu les honneurs. Emmanuel Beth est décédé le 6 avril dernier. Il avait 65 ans.


GARD En situation irrégulière, l’ex-légionnaire avait l’obligation de quitter territoire : la justice le réhabilite

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http://www.objectifgard.com/

10 avril 2018


Photo illustration Revue-des-troupes

L'article qui nous avions publié le 15 novembre dernier avait ému de nombreux lecteurs. Un ancien soldat qui avait servi pendant 10 ans la France ne parvenait pas à obtenir de papiers d'identité et devait quitter le territoire sans délai.

La Cour d'Appel administrative de Marseille vient de réhabiliter l'ex-légionnaire en annulant les précédentes décisions du préfet du Gard et du tribunal administratif de Nîmes. L'ancien soldat peut rester en France et la Cour d'Appel " a demandé au préfet du Gard de réexaminer la situation de ce monsieur à la lumière de la décision de justice rendue ", affirme Maître Chabbert Masson. " La Cour d'Appel estime que l'ex-légionnaire a eu un comportement exemplaire sous les drapeaux et qu'il a rendu de nombreux services au pays ", poursuit l'avocate Nîmoise.

« Il justifie d'une réelle intégration en France et à ce titre il mérite la délivrance d'un titre de séjour. Il a servi la France », avait plaidé il y a quelques mois Maître Pascale Chabbert Masson devant le tribunal administratif de Nîmes. Pourtant ce même tribunal avait suivi la volonté du préfet qui quelques jours auparavant avait pris un arrêté exigeant que l’ancien soldat qui avait servi la France pendant 10 ans, au sein de la légion étrangère quitte le territoire français. Une expulsion sans délai.

Médoune, 34 ans, est père d’un petit garçon de 7 mois, il vit à Nîmes avec sa compagne. Jusqu’en juillet 2016 il était un militaire. Il avait reçu des médailles, des décorations, une lettre de reconnaissance pour les services rendus à la nation signée par un ancien secrétaire d’État aux anciens combattants. Mais ses états de service ne comptait plus au moment de quitter la Légion. Cet homme est arrivé du Sénégal en France en 2004 avec un visa d’étudiant. Pendant 2 ans, il réside et étudie à Paris et obtient un DEUG de philosophie à la Sorbonne. Puis, après en 2006, il entre dans l’Armée, à la Légion étrangère. Il participera à de multiples opérations au Tchad, en centre Afrique, au Mali, en Côte d’Ivoire ou encore comme soldat dédié à la force Vigipirate à travers tout le pays. « À ce moment-là les gens le remerciaient. On lui offrait des croissants. Mais l'administration française le rejette », complétait lors de l'audience au tribunal administratif de Nîmes, Maître Chabbert-Masson.

L’ancien militaire a reçu pour ses états de service, une médaille en argent, l’autre en bronze de la Défense nationale. « Ses qualités sont louées car il a participé avec son groupe à la traque du légionnaire qui a tué 3 personnes à Abéché, en avril 2009, au Tchad », poursuit l'avocate Nîmoise qui avait fait immédiatement appel de la décision du tribunal administratif.

En juillet 2016, Médoune quitte de son plein gré, la Légion après 10 ans de service et plusieurs contrats renouvelés. « Il part de la Légion et n’obtient pas le certificat de bonne conduite que la plupart des légionnaires reçoivent sans aucun problème », justifiait alors la préfecture du Gard. "En plus la préfecture l'a convoqué pour des démarches. Il n'est pas venu au rendez-vous et à la place il fait de la procédure, expliquait en novembre dernier, Patrick Belley, directeur adjoint de la préfecture du Gard. Par contre s'il vient avec des éléments nouveaux, notamment une carte du combattant, le préfet pourrait revoir sa position... En attendant, il est effectivement en situation irrégulière sur le territoire. "

" Le titre doit être délivré à l'étranger qui est reconnu comme ancien combattant, c'est le Code de l'entrée et du séjour des étrangers qui le précise ", estimait pour sa part, maître Chabbert Masson qui avait fait appel de la décision. Un appel qui a été évoqué il y a quelques jours devant la Cour administrative de Marseille qui a donné raison à l'avocate et à son client. Concrètement, l'ancien soldat, va obtenir des papiers et peut élever sa famille à Nîmes.

Boris De la Cruz


Camerone 2018

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http://ainsi-va-le-monde.blogspot.fr/

lundi 9 avril 2018

 


Comme annoncé le 23 janvier dernier, c'est le médecin-colonel (er) Jean-Louis Rondy qui portera la main du capitaine Danjou, le 30 avril à Aubagne, lors de la commémoration du 155ème anniversaire du combat de Camerone. Il sera accompagné de l'adjudant-chef Francis Ruiz (er), ancien d'Indochine où, porté disparu, il sera retrouvé par la Croix-Rouge dans un camp de prisonniers. Accompagné, également, de l'adjudant-chef (er) Gerhard Ende, plusieurs fois blessé en Algérie. Avec ces "deux maréchaux de la Légion" marcheront, derrière, l'adjudant-chef (er) Xavier Lemonon (er), infirmier qui a quitté l'institution en janvier 2017, du caporal-chef Radek Jerabek qui sert comme auxiliaire sanitaire au 4ème RE (Castelnaudary, Aude) et de l'ex-légionnaire Géraldino Hoarau, 25 ans, grièvement brûlé en Guyane en 2013, dans une opération de lutte contre l'orpaillage clandestin. "Cette garde" explique le général Jean Maurin dans la dernière livraison du magazine Képi blanc "est là pour nous rappeler la solidité du lien étroit qui unit les équipes médicales et les blessés."


Hommage au Général Beth, ancien commandant de la 11e BP

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Rédigé par Jean-Paul-Lottier le Dimanche 8 Avril 2018

C'est avec une immense tristesse que nous avons appris le décès du Général Emmanuel Beth, ancien commandant de la 11e Brigade Parachutiste. Officier de l'Armée Française, Saint Cyrien et Légionnaire Parachutiste dans l'âme, le Général Beth a en sa qualité d'officier servi à plusieurs reprises au 2e Régiment Etranger de Parachutiste et c'est toujours avec grand plaisir qu'il revenait au Camp Raffalli. Il était âgé de 65 ans

Hommage au Général Beth, ancien commandant de la 11e BP

« C’est avec une immense tristesse que nous apprenons la mort du général Emmanuel BETH. Nous perdons l’un des nôtres », a annoncé, dans un communiqué  le général Patrick Collet, commandant la 11e Brigade Parachutiste.


Et de poursuivre « À la tête de la 11e BP de 2002 à 2004, il a marqué tous ceux qui ont eu l’honneur de servir sous ses ordres. C’est en leurs noms que j’adresse aujourd’hui toutes mes condoléances bien sincères à sa famille et ses proches. Mon général, que saint Michel vous accueille, après vous avoir si longtemps guidé ».


A Calvi où il comptait beaucoup d'amis et au Camp Raffalli où il a servi à plusieurs reprises dans sa carrière, l'émotion est aussi vive. Le Général Beth avait quitté l'Armée en 2013 pour intégrer un Cabinet Conseil.


Saint-Cyrien, nous l'avons dit , il a servi à plusieurs reprises au 2e REP en sa qualité d'officie ou encore à la  13e DBLE, dont il fut chef de corps,  avant de prendre les rênes de la 11e Brigade Parachutiste.
Il gardait de ses passages à Calvi un excellent souvenir et ne manquait jamais une occasion d'y revenir.

En cette douloureuse circonstance la rédaction de CNI présente à sa famille, à ses proches, à ses frères d'armes ses sincères condoléances.


Il a également commandé l'opération Licorne en Côte d'Ivoire, puis le CPCO.

Détaché comme Directeur de la Coopération de Sécurité et de Défense au Quai d'Orsay,  il a ensuite été nommé Ambassadeur au Burkina Faso, où il contribua à l'implantation des Forces Spéciales.

Hommage au Général Beth, ancien commandant de la 11e BP


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