Le 1er avril 2010, à l’âge de 90 ans, l’adjudant en retraite Zygmund ZYGMANSKY est décédé à RONCHAMP localité de Haute Saône où il résidait.
Engagé en 1936 l’adjudant ZYGMANSKY avait servi au 3e REI (Algérie et MAROC). Il avait ensuite rejoint le Régiment de Marche de la Légion Etrangère (RMLE) lors de sa création et participé de belle manière à la libération de la France.
Le 17 novembre 2007 il avait dévoilé au pied du Mémorial de BRETAGNE(90) , non sans une certaine émotion, le chevet portant les noms et grades de ses camarades tombés lors de l’assaut lancé sur la commune de MONTREUX CHATEAU(90) le 20 novembre 1944. Il avait lui-même participé à cet assaut meutrier et couvert le repli des survivants.
A la fin de la guerre en Europe, il avait rejoint le 2e Bataillon Etranger de Parachutistes et l’ Indochine. Il était chef de section mortiers.
L’adjudant ZYGMANSKY était titulaire de la Médaille Militaire, des Croix de guerre de 39/45 et des TOE.
Il avait quitté l’Institution en 1951.
L’amicale de Franche Comté, dont il n’était pas membre, lui a rendu un dernier hommage lors de la cérémonie d’adieu.
Engagé en 1936 l’adjudant ZYGMANSKY avait servi au 3e REI (Algérie et MAROC). Il avait ensuite rejoint le Régiment de Marche de la Légion Etrangère (RMLE) lors de sa création et participé de belle manière à la libération de la France.
Le 17 novembre 2007 il avait dévoilé au pied du Mémorial de BRETAGNE(90) , non sans une certaine émotion, le chevet portant les noms et grades de ses camarades tombés lors de l’assaut lancé sur la commune de MONTREUX CHATEAU(90) le 20 novembre 1944. Il avait lui-même participé à cet assaut meutrier et couvert le repli des survivants.
A la fin de la guerre en Europe, il avait rejoint le 2e Bataillon Etranger de Parachutistes et l’ Indochine. Il était chef de section mortiers.
L’adjudant ZYGMANSKY était titulaire de la Médaille Militaire, des Croix de guerre de 39/45 et des TOE.
Il avait quitté l’Institution en 1951.
L’amicale de Franche Comté, dont il n’était pas membre, lui a rendu un dernier hommage lors de la cérémonie d’adieu.