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Mirepoix. Le grand Peyranne dans nos murs

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Publié le 09/07/2009

 

Pour la dernière année qu'il organise « Montmarte à Mirepoix », Alain Baby (à g.) présente le peintre Rémy Peyranne. - DDM
Pour la dernière année qu'il organise « Montmarte à Mirepoix », Alain Baby (à g.) présente le peintre Rémy Peyranne. DDM

La salle des métiers d'art reçoit comme invité d'honneur, jusqu'au 20 juillet, le célébrissime peintre toulousain Rémy Peyranne, dans le cadre de la manifestation « Montmatre à Mirepoix ». L'on doit cet honneur à Alain Baby, son ami de toujours. Son palmarès éblouissant démarre en 1958, où il rafle tous les premiers prix à l'école des beaux-arts de Toulouse : sculpture, dessin, peinture, gravure, anatomie. Sa route est désormais jonchée de médailles d'or. Seul candidat admissible de Toulouse pour le Prix de Rome, il est aussi le quatrième lauréat, en cent ans, de l'école des beaux-arts toulousaine à décrocher ce titre. Malgré tous ces honneurs et hautes distinctions, Rémy Peyranne affiche une réelle modestie. Pendant cinquante ans, il s'est plongé dans les profondeurs du figuratif, traquant le détail, la couleur dans une symphonie où l'œil est ébloui. Aux cimaises de l'office du tourisme : l'hôtel de ville de Toulouse, une corrida flamboyante, un bateau-école battant pavillon italien et, dans une palette éblouissante, Montmatre et Mirepoix en duo. Aujourd'hui il change de cap et s'oriente avec bonheur vers une peinture avant-gardiste où il décortique avec maestria le cosmos dans toute sa plénitude. L'eau, le feu, la terre nous interpellent, au couteau, à l'huile, à l'acrylique ; dans un mélange de béton américain saupoudré de poudre d'or, le mouvement circulaire laisse le visiteur conquis. Il nous confie qu'à ce jour il a peint plus de 9.000 toiles, toujours avec la même passion, et visité plus de 48 pays, d'où il a ramené d'innombrables croquis qui lui ont permis de réaliser de nombreuses expositions. En 1978, il fait un voyage au Mexique (Camerone) en prévision d'une grande toile destinée à la légion étrangère (la mort du capitaine Danjou). Inventivité, créativité à travers ses toiles, Peyranne nous livre ses émotions.

La Dépêche du Midi

Traduction

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