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Légionnaire toujours...

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2012


Un semi-marathon matinal pour la Légion étrangère

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07/10/2012

950 militaires en ville, ça ne passe pas inaperçu. (Rumeau) 

Une fois n'est pas coutume, le départ du semi-marathon de la Légion étrangère, qui pour sa 35e édition a réuni hier pas moins de 950 militaires (et quelques civils), a été donné à 9 h 30.

L'argument avancé par le colonel Talbourdel, patron du 4e RE : "Il faut moins chaud le matin".

Des facilités de logistiques se cachent sans doute derrière ses nouveaux aménagements : à 13 h, il n'y avait plus une trace du millier de personnes participant à l'événement dont l'adjoint du général commandant la Légion étrangère, le colonel Le Cour Grandmaison. Le départ du 10 kilomètres a lui aussi été décalé par rapport aux autres années, pour être donné après celui du 21 km.

Autre nouveauté : la logistique avait, cette fois, été préparée bien en amont. Tous les personnels qui allaient assurer le soutien dans le transport, l'alimentation, la santé et l'organisation générale avaient couru le semi... le 28 septembre. Le but était de tester un nouveau système de puce électronique fixé à la cheville, mais aussi de faire courir les nombreux légionnaires, qui hier n'ont pas eu l'occasion d'enfiler le short et le maillot.


Du changement à la communauté de brigades de Lusigny-Piney

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Publié le samedi 06 octobre 2012

Quatre gendarmes sont venus grossir les rangs de la communauté de brigades

Lusigny-sur-Barse- Quatre nouveaux gendarmes sont arrivés depuis le mois d'août à la communauté de brigades, qui compte désormais quinze militaires

Depuis le début septembre, la communauté de brigades de Lusigny/Piney a vu du changement, avec l'arrivée de l'adjudant-chef Ludovic Rey en tant que commandant de la brigade de Lusigny en remplacement de l'adjudant-chef Bourreau, promu major. Après un parcours professionnel chargé au sein de la Légion étrangère, qu'il quitte avec le grade de caporal-chef, il incorpore directement les rangs de la gendarmerie nationale en octobre 1997. Après une formation à l'école de sous-officiers de Montluçon, il est affecté en gendarmerie mobile puis il rejoint la gendarmerie départementale et sert successivement en Haute-Marne et dans l'Aube. En 2011, il est détaché en Afghanistan pour une période de six mois, comme formateur de la police afghane avant d'arriver à Lusigny.
L'adjudant Laurent Guyard, adjoint au commandant de la brigade, est également arrivé en août dernier ainsi que le gendarme adjoint Makboul Hakim.
Le gendarme Neel Marc Antoine est affecté à la brigade de Piney après avoir servi les brigades de Nogent et Bar-sur-Aube. La brigade de Piney est sous le commandement de l'adjudant-chef Sobzyk André.
L'ensemble des deux brigades, sous les ordres du major Philippe Bourreau, compte aujourd'hui quinze gendarmes.


Bug informatique à "la Grande Muette" : l'Armée ne paye plus ses militaires

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04/10/2012

L’Armée doit au militaire alésien un retard de salaire de 10 000 €. (Photo d'illustration - William TRUFFY)

Ce n’est pas pour rien qu’on surnomme l’armée la Grande Muette. Et quand un militaire prend la parole publiquement, c’est en connaissance de cause, parfaitement conscient des conséquences. Il faut que la situation soit extrême pour qu’il en arrive là.

C’est bien parce qu’il est dans une position personnelle critique qu’Arnaud (1) a décidé de rompre ce pacte. Ce sous-officier, gradé de la Légion étrangère, est dans une situation financière inextricable. L’Armée lui doit un retard de solde et de primes de près de 10 000 €.

La cause en est simple. Le nouveau logiciel de paye connaît des ratés depuis plus d’un an. Entraînant des rémunérations fantaisistes ou des oublis. "Le mois dernier je n’ai carrément rien reçu", explique l’Alésien.

"Je suis au bord de la faillite personnelle et mon banquier me prend pour un mythomane"

Ce gradé a fait l’Afghanistan, il a une spécialité opérationnelle très pointue et bénéficie donc normalement d’une rémunération correcte. Encore faut-il la toucher. "Je ne veux pas nuire à l’institution qui n’y est pour rien. Mais j’ai une femme et quatre enfants. Il faut bien les nourrir. Et j’ai des crédits comme tout le monde. Entre sanction et pouvoir faire manger ma famille, j’ai choisi."

L’homme précise aussi que la Légion étrangère lui a apporté son soutien, avec un prêt à taux 0. "J’ai fait confiance à l’État français qui devait rapidement régulariser la situation. Mais j’attends toujours", explique le Gardois.

Le problème est connu de l’Armée qui a mis en place un numéro vert national avec une cellule d’aide d’une dizaine de personnes. Officiellement, la situation aurait tendance à se résorber. Ce que conteste l’Alésien. "Rien que dans mon régiment, 15 à 20 personnes ont ce genre de problème. Sur Nîmes, une cinquantaine de cas existent à ma connaissance. Un militaire est même sans salaire depuis un an."

"On est en train de me mettre à genoux"

Avec des conséquences sur la vie. "Je suis au bord de la faillite personnelle et mon banquier pense que je suis un mythomane. Il menace de me mettre en interdit bancaire. Ce qui serait préjudiciable pour ma reconversion."

Des femmes de militaires ont manifesté leur mécontentement en mars devant le ministère de la Défense à Paris. Mais le problème persiste. "On est en train de me mettre à genoux. J’ai été patient depuis un an et demi. Je l’ai fait parce que j’ai confiance dans l’institution. Mais aujourd’hui je suis acculé", confie le Gardois.

(1) Le prénom a été modifié pour respecter l’anonymat du militaire.

Une cérémonie organisée pour la première fois samedi

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03/10/12

Marie-Reine Bretona commenté la vie exemplaire de chaque légionnaire. - Moine Maurice

Ils sont environ deux cents, recensés au cours d'un long travail de recherche effectué par la municipalité. Dix d'entre eux ont été retenus et ont reçu les palmes en présence, pour certains, de leurs descendants. C'est la Société d'entraide de la Légion d'honneur section du Cher, représentée par son président le général Bernard Ducateau et Marie-Reine Breton, présidente du comité de Saint-Amand de la société, membres de la Légion d'honneur, qui a honoré les légionnaires (*).

Leurs tombes
vont être restaurées

Déjà honorés par les villes de Bourges en 2009 et Henrichemont en 2011, les légionnaires ont marqués leur passage par leurs actes, leur bravoure et leur citoyenneté, qu'ils soient civils ou militaires. À Saint-Amand, ils ont laissé leur empreinte. Parmi eux : Robert Bussière, Émile Dumas, Léon Noyer, François Ernest Mallard…

Mais certaines tombes de ces légionnaires sont en très mauvais état de conservation. La ville de Saint-Amand va donc entreprendre un important travail de restauration et de réparation de ces sépultures. Un hommage supplémentaire à ces soldats qui se sont battus pour la liberté.

(*) La cérémonie a eu lieu en présence des présidents d'associations patriotiques ; Thierry Vinçon, maire de Saint-Amand ; Francis Blondieau, sous-préfet ; le colonel Fabien Mandon, commandant de la base d'Avord ; le capitaine Magret de la gendarmerie de Saint-Amand.


FRESSENNEVILLE La Légion a mis la commune en musique

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Lundi 01 Octobre 2012

Les soixante musiciens de la Musique ont défilé hier après-midi depuis la mairie jusqu’au stade

Marcel-Poiret. Ils ont suivi leur légendaire rythme de 88 pas par minute, encadrés par un public nombreux.

Jackie Mouillard et son équipe peuvent souffler. Tout s’est bien passé ce week-end. La venue de la Musique de la Légion étrangère a été une réussite, à la fois musicale et populaire.

Je suis fatigué mais heureux », a lâché Jacky Mouillard, président du comité des fêtes de Fressenneville, hier après-midi. Il est le maître d’orchestre de la manifestation, même s’il s’appuie sur une armée de bénévoles. Cette année, il a fait fort, en offrant aux Fressennevillois un concert presque familial, grâce à l’attitude de la Légion, proche du public d’abord, mais aussi la présence du tambour major Jérôme Dumont. L’enfant du pays, parti il y a 34 ans pour son service militaire, a rejoint la Légion il y a dix ans : « Jamais je n’aurai cru jouer ici. Ça fait tout drôle. »

(Photos MAGALI MUSTIOLI)




















Emouvante bénédiction du caveau de la Légion Etrangère du 1er REG au cimetière de Laudun

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29.09.2012

 

Une émouvante cérémonie de bénédiction militaire a eut lieu au cimetière communal de Laudun, à l’occasion de l’inauguration officielle du caveau réservé aux légionnaires du quartier Général Rollet de 1er REG. Le chef de corps du régiment le Colonel Olivier Gombeaud, a présidé cette cérémonie en compagnie du général Philippe Houbron ancien chef de corps du régiment (1995 à 1997) , en présence de Manfred Holzhauser, président de l’amicale des anciens de la Légion étrangère, de Gérard Jullien, adjoint chargé de la solidarité qui représentait le député maire Patrice Prat. La cérémonie religieuse était dirigée par le Père Lallemant, aumônier de la Légion étrangère assisté du Père Philippe Jullien, curé du district paroissial de Laudun. Ont pris place autour du caveau officiel les portes drapeaux du régiment et des anciens légionnaires et un piquet d’honneur formé par une section de la 2e compagnie du régiment et son clairon. Dans l’assistance on notait la présence des commandants d’unité du régiment, des officiers et sous-officiers du1er REG ainsi qu’une forte délégation d’anciens légionnaires accompagnée de leurs conjoints et amis.

Après l’arrivée des autorités militaires et civiles, et les honneurs au drapeau, il appartenait à l’aumônier de prononcer une poignante homélie sur la vie de l’au-delà, en procédant à la bénédiction de ce caveau destiné à recevoir les urnes funéraires des légionnaires décédés. C’est ainsi que le premier dépôt de gerbes, s’est déroulé en l’honneur de l’urne funéraire du sergent Chef Mickaël Rossow  décédé il y a un an. Elle a été déposée, par les autorités militaires présentes, alors que le clairon du régiment interprétait majestueusement la sonnerie aux morts.  Une émouvante cérémonie de bénédiction de ce caveau militaire du régiment qui a pu voir le jour grâce à la municipalité qui en a accordé la concession, à l’amicale des anciens légionnaires, aux autorités du 1er REG  et aux nombreux membres bienfaiteurs.

La cérémonie militaire au caveau de la Légion étrangère 

 
 
 

Une association de reconversion des militaires condamnée à mourir

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Publié le 27/09/2012

L'arrêt inopiné de la subvention officielle qui la faisait vivre depuis 1972 signe l'arrêt de mort de l'Arco.

Une étrange affaire secoue depuis quelques semaines une très importante association d'aide à la reconversion des militaires, l'Arco (Association pour la reconversion civile des officiers et des sous-officiers). Sur son site web, celle-ci lance un appel au secours à ses adhérents. Subventionnée depuis 40 ans par le ministère de la Défense, cette association a appris le 21 juin dernier par une lettre de la direction des ressources humaines du ministère que cette aide ne serait pas renouvelée en 2013.

Dans un courrier récent au ministre de la Défense, le vice-amiral d'escadre Bernard Capart lui annonce que le retrait de la subvention "va provoquer l'arrêt de l'activité et la dissolution de notre association". Cette subvention était liée à une convention entre le ministère et l'Arco, en relation avec le service officiel gérant le retour des militaires à la vie civile, l'Agence de reconversion de la défense.

Arguments contestés

L'amiral Capart précise que la décision ministérielle va interrompre l'accompagnement en cours pour la reconversion de "trois à quatre cents" officiers et sous-officiers. Il annonce le licenciement de cinq employés avec l'ouverture probable de contentieux devant la justice, ainsi que la reprise du siège et des équipements de l'association par la Défense. Il regrette d'autant plus cet état de fait que l'Arco avait rempli, et au-delà, l'obligation de 75 % de reconversions réussies prévue dans son contrat d'objectif. Ce succès lui avait d'ailleurs permis de se voir attribuer en juin 2011 la qualification ISO 9001 pour la qualité de son travail. La pilule est d'autant plus amère que la décision a été dévoilée sans préavis ni disposition transitoire avant la liquidation.

Les arguments de la DRH de la Défense sont contestés par le président de l'association Arco. Selon ce dernier, la DRH met en avant une circulaire de l'ex-Premier ministre François Fillon en date du 18 janvier 2010 . Selon le président de l'Arco, la circulaire Fillon ne s'applique pas dans le cas de son association : "M'étant reporté à ce texte, j'ai pu constater non seulement qu'il n'imposait pas d'évidence une telle décision, mais surtout que celle-ci était en contradiction avec son esprit."

Que demandait François Fillon ? Que l'administration "participe pleinement à la reconnaissance de l'action des associations". Un objectif que la Défense n'estimerait plus d'actualité ? Le contrôleur général des armées Jacques Feytis, directeur des ressources humaines de la Défense qui a pris ses fonctions en juillet, donc après la notification de la rupture de la convention de l'Arco, répondra dans les jours à venir au Point.fr.


Castelnaudary. 4e RE : la rentrée au pas de course

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Publié le 20/09/2012

Aux côtés du colonel Talbourdel, les commandants Lorent et Laparre et le major Charpentier/Photo DDM, Gladys - Tous droits réservés. Copie interdite.

Même si les activités du «4», régiment école, ne s'arrêtent jamais, revoici les grands rendez-vous traditionnels de la rentrée.

Semi-marathon. Ils sont traditionnellement un millier à prendre le départ. Cette année, celui-ci aura lieu le samedi 6 octobre. Le départ ? A 9 h 30 tandis que celui des 10 km et des cadets sera donné à 9 h 45, place de la République aussi. Cette année, la Légion innove : les dossards seront remplacés par une puce électronique, avec un tapis, à l'arrivée qui arrêtera le chrono… Renseignement et inscriptions au 04 68 23 77 14 ou sur le site 4re.legion-etrangere.com. Le bulletin d'inscription est à télécharger.

Anniversaire du régiment. Ce sera sur deux jours, les 15 et 16 novembre prochain, avec footing en ville au petit matin, le 15 ; exposition photos à la galerie Paul-Sibra du 5 au 18 et une prise d'armes au quartier le 16, à 15 heures.

Cérémonies. Ce sera une remise de képis blancs au château de la Cité de Carcassonne le 25 septembre ; une cérémonie aux morts, au carré de la Légion le 2 novembre ; l'inscription «Major El Gharrafi» sur le monument aux morts de Saint-Martin- Lalande où demeure la famille de ce légionnaire tombé en Afghanistan, à la fin de l'année dernière.

Les nouveaux. De nouveaux officiers sont arrivés. Ainsi, le colonel Galaud est le nouveau commandant en second. Nouvel arrivé également, le commandant Laparre, au bureau instruction emploi. Quant au commandant Lorent, il remplace le capitaine Joffredo, actuellement à l'école d'officier d'état-major à Tunis.

La Dépêche du Midi


Les points forts de la rentrée à la Légion étrangère

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20/09/2012

Le colonel Yann Talbourdel, chef de corps du 4e R. E., aux côtés des autres cadres du régiment. (Photo Didier Rumeau)

C'est aussi la rentrée pour la Légion étrangère, qui va s'inscrire dans la vie publique de la cité par un premier temps fort samedi 6 octobre, avec l'organisation de son 35e semi-marathon, une épreuve sportive ouverte à tous.

Cette année, la course aura lieu le matin, avec un rassemblement vers 7 h, pour un départ à 9 h 30. De ce fait, il ne sera pas possible de s'inscrire sur place le jour de l'épreuve (*).

Un quart d'heure après le premier départ, les cadets s'élanceront pour parcourir une épreuve de 10 kilomètres (contre 21 km pour le classique semi-marathon), la remise des récompenses étant prévue à 11 h 45, place de la République. Les organisateurs attendent environ 1 000 concurrents qui, cette année, seront dépourvus de dossards. Une puce électronique sera glissée dans leurs chaussures, celle-ci transmettant un signal au moment ou l'athlète franchit le tapis de la ligne d'arrivée.

Le 15 novembre, le régiment des "Fortes têtes" fêtera ses 92 ans, en souvenir de sa création à Marrakech, au Maroc.

Dès 8 h, un "footing régimentaire" aura lieu, le centre-ville laissant alors la priorité à des baskets entraînées. Après l'accueil du général commandant la Légion étrangère, une messe aura lieu à la collégiale Saint-Michel.

Le lendemain 16 novembre, le 4e RE ouvrira ses portes au public avec une prise d'armes, à 15 h, à l'intérieur de la caserne. A la galerie Paul-Sibra, les autorités militaires visiteront l'exposition photographique traitant de la "Grande Guerre 1914-1918", de "Bir-Hakeim 6 juin 1942" et du thème "Le 4e Régiment étranger depuis son arrivée dans le Lauragais" (**).

Autre grand point fort de cette rentrée des légionnaires, "l'exercice régimentaire" prévu entre les 26 et 30 novembre. 600 hommes et 200 véhicules seront engagés dans une "zone d'action" qui reste à l'étude, prévoyant cependant un départ de Castres avec un repli sud-est vers la caserne. Le colonel Yann Talbourdel, chef de corps du 4e RE, précise que le travail sera accès sur le "combat retardateur". Au contraire du "mode attaque" qui prévoie "d'aller de l'avant", "le combat retardateur a pour objectif de faire gagner du temps et de protéger les personnes qui sont situées à l'arrière des militaires. Il s'agit donc de procéder à une succession d'embuscades afin de freiner et de détruire l'ennemi".

Le dernier événement public de cette année auquel sera convié le public aura traditionnellement lieu à Noël, à l'occasion de la confection de crèches, des crèches réalisées par des soldats de toutes confessions, s'efforçant d'être unis par un même objectif, qu'il soit spirituel ou symbolique.


Les chemins buissonniers de Thierry

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18/09/2012

Dessinateur de formation, rien ne destinait vraiment Thierry Billeau à l'écriture si ce n'est une passion de longue date. « J'ai commencé à écrire des poèmes à 29 ans, raconte le quinquagénaire. J'ai toujours aimé la poésie. Et j'ai surtout la chance d'habiter à côté de Daniel Hervé, mon ancien professeur de français, qui corrige mes textes et me conseille ».

En 2008, sur une impulsion de son professeur, Thierry Billeau franchit le pas avec un premier recueil à compte d'auteur aux éditions Amalthée. « Tiens voila du boudin » raconte la vie d'un légionnaire poétisée.
« L'écriture n'est pas un effort mais une passion. Après m'être consacré à la photo, je me consacre à la poésie. » Deux passions que ce Bressuirais conjugue justement dans son dernier recueil « Mes chemins buissonniers ».
« C'est un ouvrage fluide qui se lit bien et est accessible à tous. Je ne l'ai pas voulu hermétique. » Ecrit encore une fois avec la collaboration de Daniel Hervé, ce recueil est « une manière de dire au monde que j'existe. J'ai ce désir de laisser une trace de mon passage sur cette terre en n'étant pas considéré seulement comme un numéro de sécurité sociale ».

« Mes chemins buissonniers » : éditions Amalthée, 284 pages, 20,80 €, www.éditions-amalthee.com


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