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Légionnaire toujours...

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2013


Les hommages se préparent à aller au front

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Publié le 18/11/2013

La première commémoration du centenaire 1914- 1918 a été célébrée le 11 novembre à Proyart. Tour d'horizon de quelques initiatives originales à venir.

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Le centenaire de la Première Guerre mondiale approche à grands pas. Et inspire associations et collectivités au Pays du coquelicot, qui concentre les lieux de mémoire, mais pas seulement.

Cérémonies officielles ou manifestations originales, tour d'horizon non exhaustif (hormis les expositions, conférences et autres cérémonies aux monuments aux morts qui seront nombreuses entre 2014 et 2018) des hommages qui jalonneront les cinq années du centenaire.
 

1 UN SITE DE GUERRE CLASSÉ PAR L'UNESCO À MOREUIL ?

Ce serait la bonne surprise de ce centenaire. « Un soldat de la Grande Guerre, tué au combat, avait été retrouvé dans un bois de Moreuil », explique Pierre Boulanger, maire (DVD) de Moreuil. L'endroit pourrait être classé parmi les sites de guerre répertoriés par l'Unesco. L'heure est aux réunions. « Nous ne savons pas quand la décision sera prise. Si le site rejoint la liste, nous l'étofferons d'un monument. »
 

2 DES CHEMINS DE LA MÉMOIRE DANS LE SANTERRE

C'est la réalisation ambitieuse de l'association Santerre 2014-2018. Le premier chemin a été inauguré le lundi 11 novembre, entre Vauvillers, Framerville-Rainecourt et Proyart, en hommage à Adrienne Dumeige, une institutrice qui s'est improvisée infirmière puis chirurgien dans un hôpital clandestin. « Dans chaque commune, il y aura des panneaux informatifs », explique Marcel Queyrat, secrétaire de Santerre 2014-2018. Les derniers panneaux seront posés en juin 2014.
 

3 UN HABITANT, UNE FLEUR SUR UNE TOMBE À MONTDIDIER

« Nous avons plus de militaires dans le cimetière national que d'habitants. » C'est à partir de ce constat que le maire (PS) de Montdidier, Catherine Quignon, et son équipe ont monté un projet pour le 11 novembre 2014. Chaque habitant sera invité à déposer une fleur sur la tombe d'un soldat tué.
 

4 UN SON ET LUMIÈRE À PROYART

Un spectacle son et lumière sera organisé autour du monument aux morts de Proyart les 29, 30 et 31 août 2014. Le spectacle, organisé par l'association Santerre 2014-2018, évoquera le quotidien des civils de 1913 à 1919.
 

5 LA LÉGION ÉTRANGÈRE À BELLOY-EN-SANTERRE

La légion étrangère, qui comprenait de nombreux soldats espagnols, a été décimée le 4 juillet 1916 à Belloy-en-Santerre. Elle sera représentée le 4 juillet 2016, lors d'une cérémonie qui rendra également hommage à quatre poètes morts dans le secteur : l'Américain Alan Seeger, l'Espagnol Camil Campana, les Allemands Reinhard Sorge et Alfred Lichtenstein.
 

6 UNE CHAÎNE HUMAINE DANS LE SANTERRE

En septembre 2018, l'association Santerre 2014-2018 invitera les Samariens à prendre place sur le tracé entre les cimetières français de Dompierre-Becquincourt, britannique d'Assevillers et allemand de Vermandovillers. Équipés de flambeaux, ils réaliseront une chaîne humaine de 20 km.



7 LA GUERRE AU QUOTIDIEN À ALBERT

Pendant les cinq années du centenaire, les historiens du Pays du coquelicot, jeunes et anciens, raconteront le conflit au jour le jour sur Facebook. Le 25 avril 2014, la Ville d'Albert lancera par ailleurs le compte-à-rebours des « 100 jours avant le début de la guerre » à la basilique. Le 2 août, une autre éphéméride sera lancée, cette fois celui des 1 651 jours de la Grande Guerre.



8 RECONSTITUTIONS HISTORIQUES UN PEU PARTOUT

La guerre, les plus jeunes ne la connaissent qu'à travers les livres. Pour donner corps au conflit, plusieurs reconstitutions historiques sont prévues. Le 3 août 2014, la mobilisation se répétera sur l'esplanade de la Gare à Albert . À Saint-Léger-les-Authie, c'est un camp militaire qui se matérialisera en juin 2015. Du 1 er au 13 juillet 2016, les enfants de Mailly-Maillet feront, eux, revivre un hôpital militaire. À Authuille, enfin, c'est la relève franco-britannique qui sera reconstituée en 2015.

 

9 LES CÉRÉMONIES DU 1 ER JUILLET

Impossible de parler du centenaire sans évoquer les cérémonies qui animent les sites du souvenir chaque 1 er juillet, jour de la Bataille de la Somme. Bus-les-Artois, Courcelette, La Boisselle, Contalmaison, Thiepval, Beaumont-Hamel, Fricourt ou encore Albert s'attendent à voir converger les touristes pour ces cérémonies poignantes.
 

10 LES VALISES DU TEMPS

Chacune des 67 communes du Pays du coquelicot va créer sa frise chronologique en 3D, avec les faits de guerre qui ont marqué la vie du village. Les communes seront aidées d'un plasticien. Objectif : sortir un almanach en 2018 qui compilera tous les faits de guerre.
 

11 UNE CHAÎNE HUMAINE À ALBERT

Le musée Somme 1916 d'Albert envisage également de créer une chaîne humaine reliant 1916 personnes, fin juin ou début juillet 2016, pour symboliser 1916 vies sacrifiées.
 

12 UN SON ET LUMIÈRES À POZIÈRES

À Pozières, le Son et lumière de l'association The Digger cote 160 (20 tableaux, 80 comédiens, 90 minutes de spectacle) fera revivre la Bataille de la Somme les 15,16 et 17 et 22, 23 et 24 juillet 2016 ainsi que les 20, 21 et 22 et 27, 28 et 29 juillet 2018.
 

CÉCILE LATINOVIC, VINCENT FOUQUETET EMMANUELLE BOBINEAU


MARATHON Le Français Kiprotich victorieux à Istanbul

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18/11/2013

Le Français Abraham Kiprotich a remporté hier le marathon d'Istanbul en 2 h 12'28 '', 51 secondes devant l'Éthiopien Siraj Gena Amda et 2'15" devant un autre Éthiopien, Deriba Merga Ejigu. 3e du marathon de Dusseldorf en 2012, cet ancien légionnaire avait participé au marathon olympique de Londres, lors duquel il avait abandonné. Le marathon d'Istanbul, à cheval entre les continents, débute en Asie avant de rejoindre l'Europe par le pont au-dessus du Bosphore. Le parcours emmène ensuite les concurrents le long de la côte de la mer de Marmara avant de se terminer à l'entrée de la Mosquée bleue.

BIATHLON Sélections mondiales : Fourcade renonce

Le numéro 1 mondial français, Martin Fourcade a abandonné hier lors de la mass-start des sélections norvégiennes pour la Coupe du monde de biathlon à Susjoen en Norvège. L'épreuve a été remportée par le vétéran norvégien Ole-Einar Bjoerndalen.
Cinquième du sprint samedi, le Français, quintuple champion du monde, vainqueur de tous les globes de cristal du biathlon la saison passée, n'était pas en grande forme face aux cibles ce week-end. Auteur d'un raté au tir couché samedi, il a encore échoué par deux fois sur ce même tir, hier, avant de faire d'autres erreurs au tir debout et de quitter l'épreuve, visiblement agacé.
Bjoerndalen, le patriarche norvégien de 39 ans, six fois champion olympique, a lui répété et même amélioré sa prestation de samedi.
Comme l'an dernier, la Coupe du monde débutera dans la station suédoise d'Ostersund, dimanche prochain, par un relais mixte, trois jours avant les premières épreuves individuelles.


Après l'affront, le pardon du maire…

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18/11/2013

L'Abbevillois François Pellegrin, président national du collectif des anciens volontaires d’OPEX, a obtenu les excuses du maire de Jussy après ses propos tenus le 11 novembre.

Choqué, révolté, écœuré… François Pellegrin n’est pas prêt d’oublier cette cérémonie du 11 novembre quand il a appris que le maire d’une commune de l’Aisne avait sali la mémoire de militaires.
“Le maire de Jussy Richard Trépant a traité de ”mercenaires“ les soldats français, morts pour la France, lors de l’opération Serval, au Mali. En plus, ce maire a refusé de respecter la minute de silence envers ces soldats qui ont perdu la vie. En plus, il a comparé les officiers de la grande guerre à des cons… ” déplore François Pellegrin, président national du collectif des anciens volontaires d’OPEX (opérations extérieures).
Rejoint par plusieurs associations patriotiques, l’ancien militaire abbevillois a dès lors écrit au ministre délégué auprès des anciens combattants et au ministre de la défense pour dénoncer ce qu’il considère comme un “affront”au monde combattant. “J’ai même eu le directeur de cabinet de Jean-François Coppé au téléphone qui m’a dit qu’ils allaient vérifier” précise François Pellegrin qui souhaitait des excuses publiques de l’élu.
Si pour le maire de Jussy “ce n’était pas péjoratif”, l’ancien militaire abbevillois rappelle “un légionnaire est prêt à se sacrifier pour sauver un camarade ! Les militaires ne font pas ça pour l’argent. ” Pour laver cet affront, François Pellegrin accompagné de plusieurs anciens combattants se sont réunis au monument aux morts de Jussy samedi dernier. “On a a observé une minute de silence et on a entonné la Marseillaise” relate l’ancien militaire dont le souhait a été exaucé. “Le maire de Jussy a ensuite pris la parole et s’est excusé publiquement en indiquant : ”Ce mot, je l’ai dit sans intention malveillante et je regrette de l’avoir dit“. L’élu a également promis d’honorer chaque 11 novembre en associant les engagés volontaires de l’armée française.”


Fleurance. Jean Doazan, témoin de la Grande Guerre

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Publié le 17/11/2013

Jean Doazan, un Fleurantin témoin et acteur du premier conflit mondial./ Photo DDM reproduction.
Jean Doazan, un Fleurantin témoin et acteur du premier conflit mondial./ Photo DDM reproduction.

Témoin de la Grande Guerre, le docteur Jean Doazan relate, dans une abondante correspondance de 164 lettres, ses aventures au Maroc oriental. Il va consigner ses mémoires sur un recueil, resté à l’état de manuscrit mais constituant un véritable livre sur le conflit mondial. Son titre : «Képis et burnous, mes 44 mois d’aventures militaires au Maroc». Documents et effets militaires du médecin sont conservés au musée des frères Xavier et Elian Da Silva. Né le 4 décembre 1887 à Fleurance, Jean Doazan est domicilié rue Pasteur. Après ses études à la faculté de médecine de Toulouse, il est nommé docteur en médecine le 24 juillet 1912. Appelé au service militaire le 10 octobre 1912, il est ensuite désigné en 1913 pour rejoindre le protectorat français du Maroc, où l’armée française lutte contre les tribus berbères. Il écrit : «Le 25 septembre 1913, je n’étais encore que soldat inoffensif de 2e classe lorsqu’éclatait à mes oreilles cette ahurissante nouvelle : le médecin Doazan est désigné pour le Maroc oriental. Tiré au sort dans le propre képi du médecin inspecteur, horreur et stupéfaction !». Le 1er août 1914, le médecin relate : «Stupéfaction ! La guerre avec l’Allemagne ! Qui s’en fût douté dans notre bled ignoré ! Nous l’avons accueilli avec un exubérant patriotisme…». Le 19 février 1915, il est affecté à l’hôpital Cocard de Fez puis muté au 2e Régiment de la Légion étrangère. Le 24 juin 1917, après 3 ans et 4 mois au Maroc, Jean Doazan est rapatrié en France à l’hôpital de Bar-le-Duc. Le médecin, aide-major de 1re classe (lieutenant), note dans ses mémoires : «Hurrah ! Je rentre en France… J’en serai donc du coup de torchon final, là-bas en Champagne, chez nous quoi. Je quitterai le Maroc sans regret, où j’aurai par-dessus tout fait mon devoir. Et maintenant, en route vers la France meurtrie !». En décembre 1917, il est dirigé vers le 22e Régiment d’infanterie où il sera fait prisonnier le 28 janvier 1918. Démobilisé en juillet 1919, ce compatriote est rappelé à l’activité le 2 septembre 1939. La France est de nouveau en guerre. Radiologue à Fleurance jusqu’au début des années «50», le docteur Jean Doazan est décédé le 5 décembre 1962.

La Dépêche du Midi

Le Souvenir français expose sur la guerre

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Publié le 15/11/2013

Le Souvenir français expose sur la guerre
Monique Sémavoine, maire ; Georgette Boisson Meignen, présidente du Souvenir français; Nicole Le-Dieu-De-Ville, adjointe, et les anciens combattants de différentes section. © Photo
D. J.-H.

Le Souvenir français a sollicité la mairie de Mazères-Lezons, avec l'accord du maire, Monique Sémavoine, qui s'est dite honorée de valider une exposition sur la Première Guerre mondiale (1914-1918) dans sa commune l'année de la commémoration du centenaire. En présence de Nicole Le -Dieu-De-Ville, adjointe, et des membres de l’Union nationale des combattants (UNC), de l'Association des combattants d'union française (Acup), de la Légion étrangère, des Anciens combattants prisonniers de guerres (ACPG) et de la Fédération nationale des anciens combattants d'Algérie (Fnaca), Georgette Boisson Meignen, présidente de l'association Souvenir français comité Béarn, a présenté le but de cette exposition et la mission du Souvenir français.

Le but de cette exposition est de faire connaître les bienfaits de cette association créée en 1872 suite à la guerre de 1870. En 1914 et 1919, le Souvenir français apportait le soutien nécessaire aux familles lors des enterrements et veillait sur leurs sépultures. Ainsi l'association La Cocarde du souvenir qui s'est donnée pour mission de placer sur les tombes dispersées des champs de bataille l'inscription des noms des soldats tués et une cocarde tricolore, s'est associée au Souvenir français afin de renseigner élèves et adultes sur cette grande guerre à travers des jeux pour les enfants et des photographies.

L'association du Souvenir français s'est donnée pour mission de conserver la mémoire de ceux qui sont morts pour la France au cours de son histoire, ou l'ont honoré par de belles actions tout en transmettant le flambeau aux jeunes générations, le sens du devoir, l'amour de la patrie et le respect de ses valeurs..

125 adhérents

Le comité de Pau Béarn compte 125 adhérents et 26 associations adhérentes. Il entretient pour Pau 58 tombes et 35 dans les villages environnants. Pour passer le flambeau aux jeunes générations, il le fait par l'intermédiaire des expositions (deux ou trois par an). Pour assister à cette exposition, présentée par l'Office national des anciens combattants et de guerre sur la grande guerre à la mairie de Mazères-Lezons, des écoles ont été invitées. Les transports en bus pour les écoles seront pris en charge par le Souvenir français.

Permanence du lundi 18 novembre jusqu'au samedi 23 novembre : de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures Entrée libre.


Esprit de corps, un documentaire sur l'institution pour légionnaires à Puyloubier, à 8h45 sur France 3 Alsace

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Alsace

Par Thierry Beck Publié le 14/11/2013

Que deviennent les légionnaires en fin de carrière ? L’institution des invalides de la légion étrangère  près d'Aix en Provence en accueille une centaine pour quelques mois ou pour toujours.

Aujourd'hui à 8h45 sur France 3 Alsace, découvrez un documentaire passionnant et très émouvant sur l’institution qui accueille, à Puyloubier, des légionnaires, en fin de vie pour certains, dans le besoin pour d’autres.

Ils s’appellent Sandor, Julian, Henry, Berthold…
Ils avaient entre 17 et 20 ans lorsqu’ils ont abandonné leur langue, leur nationalité, leur identité pour coiffer le képi blanc.
Certains sont devenus légionnaires par goût de l’aventure, ou parce qu’ils avaient commis ce qu’ils appellent "des bêtises"
D’autres se sont engagés poussés par la misère, par les aléas de l’histoire ou simplement parce qu’ils rêvaient depuis toujours d’être là, à la guerre, de renifler l’odeur du danger , celle de la mort. Les plus anciens ont connu "l’Indo", l’Algérie.
Les plus "jeunes" sont partis en opération dans les Balkans, au Liban, au Tchad, ou ont sauté sur Kolwezi…

Ils vivent aujourd’hui à l’institution des invalides de la légion étrangère, près d’Aix-en-Provence. Un établissement unique au monde, où la légion accueille, sans condition, tous ceux qui ont servi sous le drapeau rouge et vert et qui, à un moment de leur parcours, ont eu besoin de poser leurs bagages.
Certains y font halte pour quelques mois. Pour d’autres, c’est la dernière demeure.

Un documentaire réalisé par Joëlle Stechel
Coproduction TGA Production / France Provence-Alpes & Côte d’Azur


En direct de Surobi

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14.11.2013

Le fracas de la guerre. Tout un imaginaire sonore, le déchirement des obus, le sifflement des roquettes. Pourtant, c’est une histoire curieusement douce aux oreilles que nous raconte Raphaël Krafft. En 2009, ce reporter, habitué à bourlinguer (en France de préférence à vélo, ailleurs dans des zones si possible dangereuses), décide de s’enrôler dans la Légion étrangère pour aller former des journalistes afghans à l’animation d’une radio locale. La base de Tora où est implantée l’antenne est bel et bien une zone d’opérations – elle se situe dans le district de Surobi. Mais de la guerre directement, de ses vibrations, il est peu question dans le récit sensible et élégamment décalé que Raphaël Krafft livre de son expérience de « bleu ».

Bien sûr, les légionnaires du 2e régiment d’infanterie possèdent, sous la plume de leur...

L’accès à la totalité de l’article est protégé


Belpech. Journée du souvenir

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Publié le 14/11/2013

Une cérémonie réussie. /Photo DDM,G. F.
Une cérémonie réussie. /Photo DDM,G. F.

La commémoration de la fin de la Grande Guerre 1914-1918 s’est déroulée cette année encore dans la plus grande ferveur. Cette journée ensoleillée avait attiré beaucoup de monde. C’est devant la mairie que s’est formé, autour de l’association des anciens combattants et de son président, le traditionnel cortège, qui s’est dirigé vers le monument aux morts. Le conseiller général, le maire et les conseillers municipaux, les représentants des pompiers, de la gendarmerie, de nombreux maires du canton, les enfants des écoles et leurs maîtres, les présidents de diverses associations et les habitants du village, drapeaux et musique en tête

ont défilé dans la rue principale. Au monument aux morts un imposant piquet d’honneur de la légion étrangère a donné à cette cérémonie une grande ampleur. Après la lecture des messages par les enfants des écoles et le président des anciens combattant, le dépôt de gerbes et de fleurs, la «Sonnerie aux morts» et la «Marseillaise» donnèrent à cette cérémonie beaucoup de grandeur et d’émotions. Le verre de l’amitié offert et servi par les anciens combattants dans la salle polyvalente clôtura dans une belle ambiance cette manifestation. Un chaleureux et délicieux repas fut ensuite servi au restaurant Le Vixiège


Commémoration de l'armistice du 11 novembre à Saint-Victor-la-Coste

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Publié le Mercredi 13/11/2013

Commémoration de l'armistice du 11 novembre à Saint-Victor-la-Coste
 
Commémoration de l'armistice du 11 novembre à Saint-Victor-la-Coste

Les enfants de l'école ont participé en nombre  à cette commémoration

A Saint-Victor, la cérémonie de commémoration de l'armistice de la première guerre mondiale, ce lundi 11 novembre, s'est déroulée en présence du conseil municipal, d'une délégation des enfants de l'école, des représentants des Anciens Combattants et du Souvenir Français, d'un détachement de la Légion Etrangère basée à Laudun formant le piquet d'honneur et de nombreux villageois venus se recueillir.


Le maire, Robert Pizard-Deschamps, lors de son discours, a honoré les Saint-Victorains morts au champ d'honneur durant ce premier conflit mondial en citant leurs noms gravés sur le monument aux morts du village. Puis, il a procédé au dépôt de gerbe en hommage aux soldats disparus.


Auparavant les enfants de l'école, sous la conduite de leur directeur, Kader Aïnine, ont chanté La Marseillaise, en écho de celle jouée par la fanfare des frères De Maria, et ils ont lu un texte de Maurice Genevoix.


Gérard Guintini a rappelé l'utilité du Souvenir Français, devoir de mémoire envers ceux qui ont donné leur vie et en a profité pour remercier tous ceux qui se sont impliqués lors de la journée nationale de la Toussaint.


Jacqueline Linder a lu le texte officiel remis par le ministre.


Le maire a ensuite invité la population à partager le verre de l'amitié dans la salle Jean Vilar.

Le nom de l'adjudant Harold Vormezeele sur le monument aux morts de Calvi

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Publié le Mercredi 13/11/2013

Une plaque en mémoire de l'adjudant Harold Vormezeele, tué en février au Mali lors de l’opération Serval, a été apposée sur le monument aux morts de Calvi. Elle a été dévoilée lors du 95e anniversaire de l’armistice du 11 novembre 1918.

 

Pour l’occasion, la mère du légionnaire d'origine belge, avait fait le déplacement.

Engagé en 1999, « Calvais d’adoption depuis 14 ans », l’adjudant a passé environ un tiers de ses années de service sur le théâtre d’opérations extérieures.


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