AALEME

Légionnaire toujours...

  • Plein écran
  • Ecran large
  • Ecran étroit
  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

2017




Zone de défense Ouest. Le général de Saint Chamas sur le départ

Envoyer

http://www.ouest-france.fr/

Publié le 02/06/2017

Le général de Saint Chamas a passé les troupes en revue, ce vendredi matin. Dans les rangs, des jeunes de la Journée Défense et Citoyenneté (JCD).

Le général Christophe de Saint Chamas, commandant de zone de défense et de sécurité Ouest, va quitter ses fonctions à la rentrée. Il fait valoir ses droits à la retraite. Il était arrivé en poste, à Rennes, en août 2014. Son successeur n'est pas encore connu.

Le général de corps d’armée Christophe de Saint Chamas commande à lui seul l’ensemble de la zone de défense et de sécurité Ouest, la plus vaste et la plus peuplée du pays puisqu’elle comprend vingt départements et englobe les régions Bretagne, Centre-Val de Loire, Normandie et Pays de la Loire.

Il a remis des décorations, notamment à un personnel civil du ministère des Armées.

Il a remis des décorations, notamment à un personnel civil du ministère des Armées. | Ouest-France

Un nouveau général à la rentrée

En poste à Rennes depuis août 2014, il est sur le point de quitter ses fonctions, pour faire valoir ses droits à la retraite. On ne connaît pas encore le nom de son successeur.

« Je continuerai à servir, à travailler »

Ce vendredi, à la caserne Foch, à Rennes, il a présidé sa dernière cérémonie des couleurs, laissant apparaître une certaine émotion. « Je regarde désormais vers la porte. De l’autre côté, il y a ma famille, mon cercle le plus proche, confie-t-il au moment de son discours. Je continuerai à servir, à travailler. »

Général de corps d'armée (quatre étoiles), Christophe de Saint Chamas a été formé à l'école spéciale militaire de Saint-Cyr.

Général de corps d'armée (quatre étoiles), Christophe de Saint Chamas a été formé à l'école spéciale militaire de Saint-Cyr. | Ouest-France

Auparavant à la tête de la Légion étrangère

Né en 1959, cet ancien élève de Saint-Cyr a d’abord servi dans l’Arme légère cavalerie, avant d’intégrer la Légion étrangère. Un corps prestigieux qu’il commandera de 2011 à 2014, avant d’arriver en Bretagne.

Théâtres d’opérations extérieures

Au cours de sa carrière, il a occupé de nombreuses responsabilités à l’étranger, sur des théâtres d’opérations extérieures : Tchad, Centrafrique, Congo-Brazaville, Côte d’Ivoire. Également en ex-Yougoslavie et en Afghanistan, ainsi que lors de la Guerre du Golfe.


Jean-Pierre Dijou, nouveau porte-drapeau

Envoyer

http://www.varmatin.com/

Publié le 31/05/2017

De gauche à droite : Daniel Mennegand, Pascal Verrelle, Arthur Maquet et Jean-Pierre Dijou.

Samedi après-midi, dans les locaux du 35, rue de la République, l'adjudant Arthur Maquet, le président de l'Amicale des anciens de la Légion étrangère, section Le Luc et environs, a remis le drapeau de la section locale à l'adjudant-chef Jean-Pierre Dijou.


Parmelin est mort en héros

Envoyer

http://www.24heures.ch/


Sorgues - A7 : deux légionnaires de l'Aveyron blessés dans un accident

Envoyer

http://www.laprovence.com/

Vendredi 19/05/2017


Deux légionnaires appartenant à la 13e division blindée de la Légion étrangère de Millau (Aveyron) ont été blessés dans un accident sur l’autoroute A7 à hauteur de Sorgues, près de la zone du Fournalet. C'est dans le sens Sud-Nord que l’accident impliquant leur véhicule militaire et un poids lourd s'est produit aux environs de 13h30 cet après-midi.

Dans le choc, les deux légionnaires, tous les deux âgés de 25 ans, ont été blessés. La circulation a été réduite sur deux voies le temps de permettre aux secours et aux équipes de Vinci d'intervenir. Les deux légionnaires, blessés légèrement, ont été évacués vers le centre hospitalier d'Avignon.


« L’As des as » américain est tombé de l’avion en feu

Envoyer

http://www.ouest-france.fr/

Par Michel DERRIEN

Il y a 99 ans, jour pour jour, Gervais Raoul Lufbery tombait de son avion en flammes dans le ciel lorrain. Ainsi se terminait la vie aventureuse de « l’As des as » américain, né en Auvergne, 33 ans auparavant.

Il avait l’étoffe d’un héros et sa vie aventureuse est digne d’un scénario de film. George Lucas ne s’y est pas trompé d’ailleurs, en le faisant le héros d’une des aventures du Jeune Indiana Jones, Attack of the Hawkmen (1995) ou la vie trépidante et dangereuse des as de l’aviation durant la Première Guerre mondiale.

 

Le 14 mars 1885, à 5 h du soir, avenue de la Poudrière à Chamalières (Puy-de-Dôme), vient au monde Gervais Raoul Victor Lufbery. Son père, Edward, est américain. Sa mère, Anne Veissière, Chamaliéroise. Le petit garçon ne connaîtra quasiment pas ses parents. Sa mère meurt un an après sa naissance et son père, ingénieur chimiste à la manufacture de caoutchouc Torrilhon, retourne dans son pays au Connecticut, laissant le petit Raoul, ainsi qu’il se fera appeler, et ses deux frères, à leur grand-mère maternelle.

Une vie d’aventures

Ce n’est qu’en 1906 qu’il découvre l’Amérique. Il y apprend l’anglais et demande la citoyenneté américaine. Il s’engage pour deux ans dans l’armée de son pays qui l’envoie aux Philippines, prélude d’une vie aventure sur les tous les continents où il endosse les métiers les plus improbables : infirmier au Caire, débardeur à Calcutta, chasseur de tigre, chef de gare en Inde…

Rapoul Lufbery avec Whisky, une des mascottes de l’escadrille. (Photo : DR)

Jusqu’à ce jour de 1912, où, à Saïgon, dans l’Indochine française, il croise Marc Pourpe, un autre aventurier. Un Lorientais de son âge, fils de Liane de Pougy, qui deviendra une des plus grandes courtisanes de Paris. Pourpe gagne sa vie comme pilote en faisant des exhibitions. Il a raconté sa rencontre avec Lufbery :

« J’étais en train de travailler à ma « Curieuse », du cercle de spectateurs qui m’entourait, je vois se détacher un jeune homme qui vient à moi et me demande quelques instants d’entretien. De ma taille, bien découplé, les yeux francs et loyaux, un perpétuel sourire gouailleur fin, l’air honnête, tel était l’aspect que me produisit le nouveau venu

- Vous cherchez un mécanicien ? me dit-il.

- Certes. Voulez-vous de moi ?

- Vous êtes mécanicien ? Vous ne connaissez pas le moteur d’avion ?

- Non !

- Alors pourquoi vous présenter ? Vous vous fichez de moi ? J’ai autre chose à faire qu’à amuser les gens. Adieu.

- Permettez-moi d’insister. Vous, le jour où vous avez travaillé sur un moteur pour la première fois, étiez-vous compétent ? Non. Et pourtant, n’êtes-vous pas devenu très habile ? Pourquoi n’en serait-il pas ainsi de moi ? J’ai la prétention d’être dégourdi et travailleur. Ce que vous m’aurez montré une fois, je le saurai pour toujours. Je suis certain que vous ne regretterez pas de m’avoir accepté.

Le raisonnement était plein de logique, la rencontre était originale. J’acceptai… »

 

Dans la crypte du Mémorial de l’escadrille La Fayette, la tombe de Raoul Lufbery. (Photo : DR)

C’est le début d’une grande amitié. L’Américain devient le mécanicien attitré du Français. En janvier 1914, il participe logiquement au raid Le Caire - Karthoum au Soudan. Une première mondiale : 4 500 km au-dessus de terres inconnues et désertiques.

La guerre bouleverse les projets de deux hommes et notamment une traversée de l’Atlantique en avion ! Dès août 1914, Pourpe s’engage dans l’aviation française. Lufbery l’Américain dans la Légion étrangère. Le Français fait des pieds et des mains pour le faire verser comme mécanicien dans son dépôt d’aviation dans la Somme.

Il devient aviateur pour venger son ami

2 décembre 1914, Lufbery assiste, impuissant, à la mort de son ami. De retour d’une mission, l’avion de Marc Pourpe s’écrase. Lufbery jure alors de devenir pilote et de venger son ami. Il apprend le job à Chartres, dans une école de pilotage. Il décroche son brevet et est versé dans une escadrille de bombardiers.

Première mission en janvier 1916 pour bombarder la gare de Metz-Sablon, alors en territoire allemand. Lufbery ronge son frein. Il voudrait rejoindre la chasse.

Son vœu est exaucé en mai 1916. D’autant plus facilement que l’état-major français a décidé de créer une escadrille pour regrouper les pilotes américains volontaires combattant pour la France alors que leur pays observe une stricte neutralité. C’est dans cette escadrille, baptisée plus tard escadrille La Fayette, que Lufbery va se couvrir de gloire au côté de Chapmann, Norman Prince, Kiffin Rockwell…

La tête de chef Sioux, emblème de l’escadrille La Fayette. (Photo : DR)

Il décroche sa première victoire le 30 juillet 1916 dans le ciel de Verdun. Il abat un second appareil allemand, le 4 août. Un troisième le 8. Un Aviatik qui tombe en flammes près du fort de Douaumont.

Une fois au sol, Lufbery sacrifie à la tradition de l’escadrille La Fayette après chaque victoire homologuée : déguster un verre de vieux bourbon, provenant de la « bouteille de la mort ». Le nectar avait été offert par Paul Rockwell à son frère Kiffin, auteur de la première victoire de l’escadrille, le 18 mai 1916.

Il a le combat dans le sang

Lufbery retrouve aussi Whisky et Soda, deux lionceaux devenus les mascottes de la base. Ils font la joie des pilotes et la terreur des visiteurs jusqu’au moment où devenus trop grands, les deux lions sont offerts au jardin des Plantes à Paris.

Le pilote américain accumule les victoires. Tout n’est pas simple pourtant. Perclus de rhumatisme, il faut parfois le porter pour qu’il puisse prendre place à bord de son Nieuport. Il acceptera, la mort dans l’âme, de se faire soigner à l’hôpital en janvier 1917. Il compte alors sept victoires.

Le mémorial de l’escadrille La Fayette à Marne-la-Coquette, à l’ouest de Paris. (Photo : Daniel Fouray/Ouest-France)

Avril 1917, l’escadrille La Fayette est engagée lors de la bataille du Chemin des Dames. Lufbery est décoré de la médaille militaire anglaise ; il est promu sous-lieutenant dans l’armée française. Plus tard, il reçoit cette citation, une énième : « Pilote de chasse qui a livré en deux semaines seize combats au cours desquels il a touché et fait tomber désemparés six avions ennemis et en abattu un autre le 4 septembre 1917 (11e victoire) ; a eu son appareil cinq fois atteint gravement dans ces combats. »

Février 1918, dix mois après l’entrée en guerre des États-Unis, l’escadrille La Fayette passe avec hommes et matériels sous commandement américain. Lufbery, promu major, est chargé de l’instruction des jeunes pilotes. Mais il a le combat dans le sang.

Un corps se détache de l’avion en flammes

Le 19 mai 1918, jour de la Pentecôte, Raoul Lufbery décolle du terrain de Toul (Meurthe-et-Moselle) pour venir en aide à un pilote inexpérimenté aux prises avec un avion ennemi. Il place son Nieuport en position de tir. Une courte rafale, la mitrailleuse s’enraye. L’Allemand réplique et touche.

La mort de Raoul Lufbery racontée en BD. (Photo : DR)

Des témoins décrivent qu’ils ont vu soudainement un corps se détacher de l’avion en flammes puis s’écraser dans un jardin dans le village de Maron, à une douzaine de kilomètres au sud-est de Toul.

A-t-il sauté pour ne pas griller ? Lufbery avait l’habitude de dire à ses pilotes : « Dans un avion en feu, ne jamais sauter, sauter c’est la mort certaine. Il vaut mieux rester dans un avion en feu, il y a quatre ou cinq cas où le pilote a survécu. » L’autre hypothèse est que le pilote américain qui a décollé en urgence, a oublié de boucler sa ceinture. I

Son corps est transporté dans une chapelle ardente par les villageois. Ses obsèques sont célébrées le lendemain à Toul, en présence de très nombreux soldats français et américains. Il repose aujourd’hui dans la crypte du Mémorial de l’escadrille La Fayette à Marne-la-Coquette, à l’ouest de Paris, aux côtés de 52 de ses camarades morts au combat dans le ciel de France pour une immense majorité d’entre eux.

Avec dix-sept victoires homologuées et une quinzaine d’autres probables, Raoul Gervais Lufbery est « l’As des as » américain de la Première Guerre mondiale. Il est titulaire de la Légion d’honneur, de la Médaille militaire, de la Croix de Guerre et de la British Military Medal. Il avait 33 ans.


A 94 ans, Alexis Buonfils, colonel de la Légion étrangère, s'est éteint à Antibes

Envoyer

http://www.nicematin.com/

Publié le 18/05/2017

Colonel de la Légion étrangère, cet Antibois est décédé à l'âge de 94 ans. Il s'est également battu pour sa ville en politique et dans plusieurs associations - dont l'Amicale des Antibois

Un grand homme, un grand soldat vient de déposer les armes. Alexis Buonfils, cousin de Camille Rayon, est décédé à l'âge de 94 ans.

Né à Antibes en 1922, il a fréquenté l'école de la Pinède avant d'entrer au collège Roustan. Après un bac philo, il fait une année de droit.

Lorsque la guerre éclate, réfractaire au service du travail obligatoire (1) et insoumis aux chantiers de jeunesse, Alexis prend le commandement d'un groupe de résistance (Force unies de la jeunesse patriotique). Il devient membre du Comité de Libération de la ville d'Antibes en 1944. Je n’étais pas fait pour l’armée, disait-il, mais cela m’a poussé à m’engager. Après mes classes, j’ai intégré l’École militaire interarmes d’où je suis sorti officier dans la promotion Victoire".

En 1946, il part pour l’Indochine et se trouve affecté à la 13e demi-brigade de la Légion étrangère, dont il en deviendra le commandant par intérim en 1948. Jacques Peyrat a été sous ses ordres.

"Un grand homme"

Lors d'un rassemblement national des bérets verts à Juan-les-Pins, l’ancien maire de Nice avait déclaré : "Alexis était un grand homme, je lui dois beaucoup, il m’a sauvé la vie dans les rizières".

Jusqu’en 1957, le colonel suivra ses régiments sur nombre de théâtres d’opérations entre l’Algérie et le Tonkin. En 1973, commandeur de la Légion d’honneur et décoré à de nombreuses reprises, il quitte l’armée et rentre à Antibes.

Créateur de l’Amicale des Antibois, Alexis Buonfils a aussi été le patron local du RPR et membre du Rotary. Ses obsèques seront célébrées lundi 22 mai à 11 heures en l’église de la Pinède à Juan-les-Pins.

1. Le service du travail obligatoire (STO) fut, durant l’Occupation, la réquisition et le transfert vers l’Allemagne de centaines de milliers de travailleurs français contre leur gré, afin de participer à l’effort de guerre allemand. (Photo archives Sébastien Botella)


Camerone : vibrante commémoration pour la Légion

Envoyer

http://www.ladepeche.fr/

Publié le 17/05/2017

La Légion étrangère à Balma pour la commémoration des combats de Camerone.

La Légion étrangère à Balma pour la commémoration des combats de Camerone.

Samedi, place de la Libération, 150 personnes se sont recueillies devant le monument aux morts, entourées de légionnaires en armes, pour commémorer les combats de Camerone. Lors de la cérémonie, l'émotion était palpable. Le général Eric Bellot des Minières, commandant la 11e brigade parachutiste, a rappelé qu' «une poignée de légionnaires aux ordres du capitaine Danjou firent, le 30 avril 1863, le serment insensé de se battre jusqu'à la mort» pour retarder les 2000 Mexicains du colonel Milàn.

Gérard Drouin, ordonnanceur, a lu le vibrant récit du combat de Camerone durant lequel, 12 heures durant, la 3e compagnie du régiment étranger fit preuve d'une solidité qui forçat l'admiration des troupes mexicaines et insuffla à la Légion étrangère un état d'esprit dont elle ne s'est jamais départie. À la fin de cette terrible journée, les six légionnaires encore en état de combattre acceptèrent de se rendre, faute de munitions, à condition de garder leurs armes et de pouvoir secourir leurs camarades blessés ce qui leur fut accepté compte tenu de leur vaillance au combat.

En fin de cérémonie, les personnes présentes ont fait résonner la place de la Libération en entonnant haut et fort «La Marseillaise».

S'adressant aux légionnaires, le maire Vincent Terrail-Novès a déclaré : «Avec modestie, courage et don de vous, vous ne cessez de respecter les vertus d'honneur et la fidélité qui président votre engagement pour la France, merci à vous», avant de remettre la médaille de la ville au lieutenant-colonel Bernard Ghestin.

La Dépêche du Midi


Les anciens légionnaires se souviennent

Envoyer

http://www.lest-eclair.fr/

Publié le 13/05/2017

À l’issue de l’assemblée générale, des gerbes ont été déposées au monument aux morts.

À l’issue de l’assemblée générale, des gerbes ont été déposées au monument aux morts.

Cette année, l’Association des anciens légionnaires de l’Aube avait choisi la commune de Chessy-les-Prés pour organiser son assemblée générale.

En présence du maire, Mme Lhuillier, et de membres de l’association haut-marnaise, le président, Jean-Philippe Ferraro, a animé les débats.

Après l’assemblée et une messe célébrée par le père Julien Bécot, les participants se sont retrouvés autour du monument aux morts pour célébrer le souvenir de la bataille de Camerone, qui opposa la Légion étrangère aux troupes mexicaines, le 30 avril 1863, lors de l'expédition française au Mexique.


Larzac : la nouvelle vie des femmes de légionnaires

Envoyer

http://www.midilibre.fr/

Publié le 12 mai 2017

Une dizaine de femmes de légionnaires suivent les ateliers linguistiques de Myriade. EVA TISSOT

Larzac : la nouvelle vie des femmes de légionnaires

Une dizaine de femmes de légionnaires suivent les ateliers linguistiques de Myriade. EVA TISSOT

Les militaires de la 13e DBLE ne sont pas tous venus seuls. Mariées à des képis blancs, Anna et Irina arrivent de très loin. Elles racontent l'aventure de leur intégration dans la cité du gant.

De la république de Bachkirie à Millau, il n'y a qu'un pas. Anna (*) , 24 ans, est originaire de cette région de la Russie coincée entre la Volga et les monts de l'Oural. Pour suivre son mari, elle a récemment déménagé à Millau . Le même destin suivi par Irina, 22 ans, qui depuis la lointaine Moldavie est venue s'installer avec son conjoint dans la ville sud-aveyronnaise. Toutes les deux ont un grand point en commun : elles sont mariées à un légionnaire. Une vie quelque peu différente de l'ordinaire. Irina est d'abord passé par la Corse, à Calvi, où était affecté son compagnon, puis, il y a quelques...


La Légion étrangère célèbre la bataille de Camerone

Envoyer

http://www.ladepeche.fr/

Publié le 11/05/2017

La Légion étrangère rend hommage aux morts pour la France devant le monument aux morts d'Arbéost.

La Légion étrangère rend hommage aux morts pour la France devant le monument aux morts d'Arbéost.

L'histoire de la Légion étrangère est jalonnée de nombreux combats héroïques depuis sa création par Louis-Philippe en 1831. L'un d'entre eux a été choisi pour symboliser les valeurs de la Légion étrangère : Camerone. Le 30 avril 1863, dans l'hacienda de Camerone au Mexique, 3 officiers et 62 légionnaires résistèrent pendant toute une journée à 2.000 Mexicains. En se battant jusqu'à la dernière extrémité, les légionnaires avaient empêché les Mexicains d'attaquer le convoi qu'ils devaient protéger. En se sacrifiant, ils avaient permis au convoi de passer. Ils avaient rempli leur mission. Ce combat est resté le symbole de la fidélité à la parole donnée, de la mission remplie quel qu'en soit le coût. Le symbole du devoir et du sacrifice.


Page 11 sur 20

Traduction

aa
 

Visiteurs

mod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_countermod_vvisit_counter
mod_vvisit_counterAujourd'hui2749
mod_vvisit_counterHier5984
mod_vvisit_counterCette semaine19755
mod_vvisit_counterSemaine dernière18442
mod_vvisit_counterCe mois55869
mod_vvisit_counterMois dernier119907
mod_vvisit_counterDepuis le 11/11/0919915205

Qui est en ligne ?

Nous avons 7110 invités en ligne

Statistiques

Membres : 17
Contenu : 14344
Affiche le nombre de clics des articles : 42710594
You are here PRESSE XXI° 2017