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2017




Laudun-l'Ardoise : la cérémonie du 8 mai

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http://www.midilibre.fr/

Publié le 11/05/2017

Laudun-l'Ardoise : la cérémonie du 8 mai

Le dépôt de gerbes avec les enfants

Laudun-l'Ardoise : la cérémonie du 8 mai

Une partie des autorités

Laudun-l'Ardoise : la cérémonie du 8 mai

Les anciens combattants

Laudun-l'Ardoise : la cérémonie du 8 mai

Les porte-drapeaux

Le rassemblement pour la cérémonie commémorative du 8 mai 1945 s'est déroulé sur le lieu de mémoire au plan de Lascours, en présence d'un public nombreux.

Dans l'assistance on notait la présence des autorités civiles, militaires, des adjoints et des élus du conseil municipal, des services de la commune avec la participation, ainsi que du député Patrice Prat ; du chef de corps du 1er REG le colonel Emmanuel Phelut ; du président de l'association locale des anciens combattants Yves Francini ; du président de l'association des anciens de la Légion Etrangère Manfred Holzhauser ; du service départemental d'incendie et de secours, le capitaine Mancini ; de la gendarmerie de Laudun-l'Ardoise, l'adjudante Laetitia Giovinazzo ; les trois portes drapeaux, mairie, anciens combattants et Légion. C'est le piquet d'honneur de la 3e compagnie du 1er REG et son clairon, qui rendait les honneurs.

Le maire Philippe Pécout (absent) était remplacé par son premier adjoint Gérard Privat. Il appartenait au président Yves Francini de lire le manifeste national des anciens combattants ; puis le maire adjoint Gérard Privat de donner lecture du message du secrétaire d'état auprès du ministre de la défense.

Après la sonnerie aux morts, s'est déroulé le dépôt des gerbes au pied du monument par les enfants de la commune et les officiels civiles et militaires. La Marseillaise et le chant des partisans a résonné dans un silence de cathédrale malgré un fort mistral.

Le maire adjoint, avant de remercier tous les participants,  a invité l'assistance à boire le verre de l'amitié dans le hall du forum.


La Légion étrangère célèbre la bataille de Camerone

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http://www.ladepeche.fr/

Publié le 11/05/2017

La Légion étrangère rend hommage aux morts pour la France devant le monument aux morts d'Arbéost.

La Légion étrangère rend hommage aux morts pour la France devant le monument aux morts d'Arbéost.

L'histoire de la Légion étrangère est jalonnée de nombreux combats héroïques depuis sa création par Louis-Philippe en 1831. L'un d'entre eux a été choisi pour symboliser les valeurs de la Légion étrangère : Camerone. Le 30 avril 1863, dans l'hacienda de Camerone au Mexique, 3 officiers et 62 légionnaires résistèrent pendant toute une journée à 2.000 Mexicains. En se battant jusqu'à la dernière extrémité, les légionnaires avaient empêché les Mexicains d'attaquer le convoi qu'ils devaient protéger. En se sacrifiant, ils avaient permis au convoi de passer. Ils avaient rempli leur mission. Ce combat est resté le symbole de la fidélité à la parole donnée, de la mission remplie quel qu'en soit le coût. Le symbole du devoir et du sacrifice.

Le 30 avril est devenu la fête traditionnelle de la Légion étrangère : à cette date, toutes ses entités, où qu'elles soient, se regroupent pour assister à la lecture du combat. L'amicale des anciens de la Légion étrangère des Hautes-Pyrénées a pris pour habitude de célébrer le combat de Camerone sur les différents lieux de résidence de ses membres. Cette année, c'est à Arbéost, village d'adoption du président de l'amicale, le chef d'escadrons Gilbert Hensinger, que s'est déroulée la célébration, en présence du maire, André Mallecot, et d'une vingtaine d'anciens légionnaires, accompagnés de leur famille et amis. Après un hommage aux morts pour la France et la lecture du récit du combat de Camerone, l'assemblée s'est retrouvée autour du traditionnel «boudin-vin blanc» suivi d'un repas de cohésion rythmé par les non moins traditionnels chants «Légion».


La Légion, modèle de vertu

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https://www.valeursactuelles.com/

Par Denis Tillinac / Jeudi 11 mai 2017

 

 

L’impressionnante commémoration, à Aubagne, de la bataille de Camerone est l’occasion de raviver la flamme de notre patriotisme.

Il y a des moments où l’on a besoin de prendre ses distances avec les réalités pour s’ébattre dans un univers moins frelaté. Ainsi, l’autre dimanche, tandis que la campagne présidentielle tournait à la foire d’empoigne sur les estrades médiatiques, eus-je le privilège de découvrir à Aubagne un théâtre digne de l’antique : le commandement de la Légion étrangère. Depuis toujours, je rêvais d’assister à la commémoration de la bataille de Camerone, 30 avril 1863, dans ce décor dont les photos ont ensoleillé mon imaginaire : la “voie sacrée”, le fameux monument aux morts ramené de Sidi Bel-Abbès avec sa “boule”, le musée et un pan de montagne sur la ligne d’horizon. Partout les képis blancs ou les bérets verts de légende, de belle légende — et rien d’essentiel ne distingue l’étoilé du simple galonné, non plus que l’autochtone de l’étranger : la Légion est une famille, soudée par une mémoire.

J’ai retrouvé un ami d’enfance, ancien colonel de la Légion en retraite depuis des lustres, mais chaque 30 avril il revient à Aubagne, où il a servi, pour communier avec ses frères d’armes dans une même ferveur. Car une religiosité ennoblit le cérémonial ; une liturgie au rituel immuable le hisse à l’altitude d’une sacralité étrangement pure. Les régiments défilent au pas rythmé par la fameuse musique devant une assistance nombreuse et recueillie. Lecture est faite par un soldat du récit de la bataille de Camerone — l’exploit inouï de quelques légionnaires, repliés dans une hacienda, accablés par la chaleur et torturés par la soif, face à des soldats mexicains infiniment supérieurs en nombre.

Ce texte récité par coeur devrait être connu de tout écolier. Le fol héroïsme qu’il évoque mérite la comparaison avec celui de Roland à Roncevaux. À ceci près que les faits attestés ont précédé le mythe et que, sur les cinq continents, la Légion étrangère, depuis sa création en 1831 sous le règne de Louis-Philippe “roi des Français”, a illustré des vertus cardinales : honneur, fidélité, bravoure, oubli de soi. Elle a forcé le respect des états-majors du monde entier et aujourd’hui encore on cite ses actions en exemple. L’ordre du jour de Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, fut remarquable dans sa sobriété ; chaque mot sonnait juste. Les gorges se nouèrent lorsque le sergent-chef Nguyen Van Phong, un ancien supplétif des campagnes d’Indochine, porta, telle une relique, la main de bois du capitaine Danjou, ramenée de Camerone par les rares survivants. Un soldat de chaque régiment l’accompagnait, innovation bienvenue pour étayer la double symbolique de l’esprit de corps et des accointances entre l’ère des pionniers et le temps présent.

À ce moment crucial de la liturgie s’exalte en vert et rouge l’âme de la Légion. La Marseillaise, qui a retenti sous un ciel tourmenté après que le général Maurin eut présenté ses soldats au ministre, m’a (presque) convaincu que l’âme de la France a des restes de jouvence. La naturalisation par le même ministre de deux légionnaires — un Japonais et un Kirghize — suggérait en filigrane ce que pourrait signifier le mot “intégration”. Ou “assimilation”, comme on voudra. Rien de plus français qu’un légionnaire de provenance tropicale, équatoriale ou autre. Rien de plus réconfortant que cette commémoration quand on a encore envie de rêver une France un peu idéale. Coiffée d’un képi blanc, on voudrait la croire altière et invincible. Rien de plus émouvant que cette famille disséminée sur les champs de bataille, rameutée par le culte de ses glorieux ancêtres.

En retrouvant le monde profane dans les rues de Marseille aux murs maculés par les affiches électorales, j’avais l’impression pas très rassurante d’avoir perdu la boussole de mon patriotisme. N’importe, je sais où elle se trouve : à Aubagne, au bout de la “voie sacrée”, dans le tabernacle où la main fraternelle du capitaine Danjou montre à bon entendeur le chemin de l’espoir.


Pourquoi Genève aime tant la France

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http://www.tdg.ch/

05.05.2017 Claude Bonard

 

Sur les réseaux sociaux, je vois revenir cette question posée parfois avec agacement par des internautes français… Pourquoi vous, les Genevois et plus largement les Suisses, vous mêlez-vous de ce qui se passe en France? C’est notre élection présidentielle, pas la vôtre!

Voici quelques éléments de réponse qui me viennent à l’esprit: Calvin venait de Noyon, terre de France. Je pense aussi aux victimes «genevoises» de la nuit de l’Escalade de 1602, dont plusieurs sont issues des régions voisines. Notre Mère Royaume était Lyonnaise. Je pense aussi à notre compatriote Jean-Jacques Rousseau, dont la dépouille repose au Panthéon. Voltaire faisait imprimer ses œuvres à Genève chez Jean-Léonard Pellet. Et que dire de Jacques Necker, ministre des Finances du roi Louis XVI et de sa fille Germaine (de Staël)? Et Benjamin Constant, de Lausanne, n’est-il pas inhumé au cimetière du Père-Lachaise?

Sous la Révolution, Jean-Paul Marat, originaire de Boudry, a été assassiné à Paris par Charlotte Corday! Le 14 juillet 1789, c’est un déserteur genevois, Hulin, qui s’empara de la Bastille à la tête de la populace parisienne. Trois ans plus tard, les Gardes suisses se font massacrer le 10 août 1792 en tentant de protéger aux Tuileries un palais vide. En 1812, toujours à Paris, c’est à nouveau Hulin, devenu général, qui sauve le régime de Napoléon, mettant en échec la conspiration du général Malet. Et puis, faut-il rappeler que de 1798 à 1813, Genève était le chef-lieu du Département du Léman?

Napoléon III fut capitaine d’artillerie bernoise avant d’être empereur des Français. A la fin de son règne, le 1er février 1871, en pleine retraite, l’armée du général Bourbaki trouve refuge en Suisse. Ce sont aussi les Suisses qui constituent dès 1831 l’armature de la Légion étrangère. Au plan scientifique, Pierre Curie devait venir enseigner à l’Université de Genève.

S’agissant des Lettres, l’écrivain neuchâtelois Blaise Cendrars s’engage dans l’armée française. Blessé le 28 septembre 1915, il est amputé du bras droit. On lui doit un récit, «La main coupée». Le 16 février 1916, il est naturalisé français. Pendant la Seconde Guerre mondiale, Genève a servi de base arrière à la résistance française.

Plus près de nous, en mai 1946, c’est à la basilique Notre-Dame à Genève que le général de Gaulle assiste au mariage de sa nièce Geneviève avec M. Bernard Anthonioz. C’est aussi à Genève, en 1954, que furent signés les accords mettant fin à la guerre d’Indochine, sans parler du rôle de Genève au moment de la signature des accords d’Evian mettant fin à la guerre d’Algérie. Et en 2003, c’est Genève encore qui eût à encaisser le choc des violentes manifestations altermondialistes contre le G8 qui se tenait à Evian.

Alors résumons-nous: nous avons 103 km de frontière commune avec la France et 4,5 km avec notre pays, la Suisse. Comme me le rappelle justement un ami, vous êtes 112 000 à résider en Suisse romande, dont de nombreux binationaux! Nos hôpitaux et cliniques, nos entreprises bénéficient de l’apport de travailleurs de vos régions, même si ça hérisse certains.

La France et Genève ont au cours de l’histoire développé des liens tantôt heureux, tantôt tragiques. Alors, chers voisins, entre vous et nous, c’est un peu «je t’aime moi non plus» ou la «mésentente cordiale», mais voyez-vous, finalement on s’aime bien! (TDG)


Les légionnaires se souviennent

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http://www.centre-presse.fr/

05/05/2017

 

Bernard Sireau reçoit la médaille de la Fédération des anciens de la légion étrangère.

 

Ce week-end, l'amicale des anciens de la légion étrangère de la Vienne s'est réunie à Charroux pour commémorer le 154 anniversaire du combat de Camerone.

Combat qui opposa une compagnie de la légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition française au Mexique. Soixante-deux soldats de la légion, assiégés dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camarón de Tejeda, résistèrent plus d'une journée à l'assaut de 2000 soldats mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, se rendent à leurs adversaires à condition de garder leurs armes et de pouvoir secourir leurs camarades blessés.
Ce souvenir est l'occasion pour les « Fortes têtes » d'inviter la population à mieux les connaître. Après la levée des couleurs, Jacques Vendrell, le président de l'amicale a rendu hommage à Jean Stamm, décédé le 13 avril dernier alors que onze médailles allaient lui être rendues.
A cette occasion, Jacques Vendrell a souhaité rappeler le sort de ces anciens combattants d'un certain âge esseulés: « Ne les laissez pas dans l'oubli, prenez soin d'eux, apprenez aux jeunes populations, qu'ils ont de la chance d'avoir une France libre ».
En fin de cérémonie, Bernard Sireau a reçu la médaille de la Fédération des anciens de la légion étrangère.

Contact: Jacques Vendrell, 6 rue du pâtis 86470 Bennassay, Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.


Le caporal Louis Maine honoré par ses pairs de la Légion

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http://www.sudouest.fr/

Publié le 04/05/2017 à 3h39 par Nicolas Caminel.

Le caporal Louis Maine honoré par ses pairs de la Légion

Louis Maine repose au cimetière de Douzillac. Photo Nicolas Caminel

Comme chaque année, les légionnaires résidant en Dordogne se sont réunis, dimanche à Douzillac, pour une messe commémorative suivie d’un recueillement sur la tombe du caporal Louis Maine, héros de la bataille de Camerone, fait d’arme en première place dans la tradition de la Légion étrangère.

En effet, le 30 avril 1863, à Camerone, au Mexique, un combat sans merci a opposé une poignée de légionnaires, compagnie dirigée par le capitaine d’Anjou, à plus de 2 000 Mexicains aux ordres du colonel Milan. Devant la situation désespérée des combattants et pour sauver l’honneur de la Légion étrangère, le capitaine d’Anjou leur a fait jurer de se défendre jusqu’à la dernière cartouche, ce qui signifiait d’accepter le sacrifice suprême de la mort au combat. Après de longues heures d’affrontements, il ne restait plus que trois légionnaires debout dont le caporal Maine, originaire de Douzillac, où il est d’ailleurs enterré dans le cimetière du village. Et au moment de se faire massacrer par l’ennemi, alors qu’ils n’avaient plus de munitions, ils étaient miraculeusement épargnés pour leur bravoure. C’est ainsi que le nom de Camerone figure désormais sur le drapeau de la Légion.


Ils se sont battus jusqu'au dernier souffle

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http://www.lanouvellerepublique.fr/

03/05/2017

Les officiers généraux et le maire ont reçu le récit de la bataille sous verre. - Les officiers généraux et le maire ont reçu le récit de la bataille sous verre.

Les officiers généraux et le maire ont reçu le récit de la bataille sous verre.

 

En mémoire du 30 avril 1863, où 62 valeureux soldats de la 3e compagnie du régiment étranger d'infanterie sous le commandement du capitaine Danjou se sont illustrés au cours de la célèbre bataille de Camérone au Mexique, ce samedi 29 avril 2017, c'est à Marcé-sur-Esves, ville natale de Jean-Baptiste Serreau, sergent du 1er Régiment de Marche de la Légion Étrangère (RMLE) mort en 1918, des suites d'une maladie contractée en service que le maire, Gérard Dubois, a accueilli pour cette commémoration, le général de Corps Aérien Jean-François Dischamps, le Général de division Jean-Claude Gautier et le Général-médecin Christian Maurice en présence des corps de la gendarmerie, des pompiers, des élus et d'un public venu en grand nombre.

Pour ce 154e anniversaire, une messe commémorative a été célébrée par le père Bernard Taudière en l'église Saint-Martin accompagné par les trente choristes des vocalises du Brignon de Betz-le-Château et de la formation Chanter en Cœur de Ligueil sous la direction de Franck Lespagnol. C'est ensuite accompagné par la musique départementale des sapeurs-pompiers de Touraine sous la baguette du capitaine Thierry Piedallu que le cortège s'est rendu au monument aux morts où en présence des trente-deux porte-drapeaux des associations d'anciens combattants, Jean-Jacques Marcucetti a fait lecture du récit poignant de cette épopée qui sera remis par Lorailler sous la forme d'un tableau au maire et officiers généraux.

Cameron de Tejeda est un village mexicain situé à l'ouest du port de Véracruz connu pour l'épisode dramatique de sa bataille. Un monument rappelle ce combat.


Pérols : hommage aux combattants de Camerone

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Publié le 03/05/2017

Pérols : hommage aux combattants de Camerone

Au cimetière de Pérols DB

Pérols : hommage aux combattants de Camerone

Le défilé en direction du monument aux morts DB

La Légion et les autres corps d'armes réunis.

La Légion et les autres corps d'armes ont rendu hommage aux légionnaires, samedi matin 22 avril, au cimetière de Pérols. Le 30 avril 1863, 63 légionnaires tiennent tête à l'armée mexicaine dans le village de Camerone ; les huit survivants héroïques se rendront à l'ennemi à une seule condition, se rendre avec leurs armes et que les blessés soient soignés. Les Mexicains acceptent, en reconnaissance du courage et de la bravoure des légionnaires. Depuis, la Légion honore cette date. Dont le président de l'Amicale Aaleme (Amicale des anciens de la Légion Étrangère de Montpellier et environs).

Et de préciser : "Nous avons trois communes de cœur : Le Crès où est érigé le monument en souvenir de nos soldats, Castelnau-le-Lez, lieu de notre siège, et Pérols où reposent les anciens dans le caveau." Le maire, JeanPierre Rico, a déposé une gerbe, accompagné des autorités militaires. "C'est un honneur pour Pérols de renouer avec cette tradition oubliée depuis près de trente-cinq ans. Nous tissons des liens forts avec la Légion ; d'ailleurs ils sont présents à nos défilés." "Nous attendons une remise de képis blancs", a commenté Jean-Marc Leiendeckers, élu et correspondant Défense.


Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

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Publié le 03/05/2017

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

L'arrivée du drapeau du régiment

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

La foule considérable des visiteurs

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Les sapeurs pompiers de Paris

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Les autorités civiles et militaires

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Le général et le chef de corps

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Les pionniers du régiment

Laudun-l'Ardoise : le combat de Camerone, célébré avec faste et solennité

Le chef de corps a ouvert le défilé

Le 1er Régiment Etranger de Génie du quartier général Rollet  de Laudun-l'Ardoise  a célébré l'anniversaire de la bataille de Camerone ce dimanche 30 avril 2017.

Ce haut fait d'armes historique  a opposé une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition française au Mexique. La soixantaine de soldats de la Légion, assiégée dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camerone de Tejeda, résista plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, chargèrent les troupes mexicaines à la baïonnette.
Cette cérémonie était placée sous l'autorité du le général Benoit Durieux commandant la 6e brigade légère blindée. Le chef de corps le colonel Emmanuel Phelut a présenté au général les unités du régiment présentes à cette commémoration.

Avec la participation de la musique des sapeurs pompiers de Paris dirigée par son chef de musique ; On notait la présence autour de la place d'Armes : La section des pionniers,  ils portent traditionnellement la barbe, la hache et le tablier de cuir couleur buffle ;  ainsi que les différentes compagnies du régiment et les réservistes

Après les honneurs au drapeau, ce fut l'arrivée des autorités civiles et militaires, le salut au drapeau et la revue des troupes. Le général de la 6e BLB a prononcé la lecture de son ordre du jour puis la remise des décorations a été décernée :
La médaille militaire à l'adjudant chef Cholaert, le major  Phelut et l'adjudant chef Kouch. La médaille de la Défense Nationale avec étoile de bronze au sergent Rémaly Pivot ; au caporal chef Raveloson ; au caporal Kaliniiazov ; au caporal Mikkola ; au caporal Vovtchyk ; au 1re classe Andrianandraina ; au caporal Bolormaa et au sergent Miron.  
A suivi le récit du combat de Camerone,  (a cappella), par un officier du régiment.

Pour clore cette prise d'armes, le 1er Régiment Etranger de Génie a défilé au son du Boudin, marche traditionnelle de la Légion Etrangère devant le très nombreux public venu au Quartier Général Rollet.
En point d'orgue de cette commémoration la traditionnelle  la kermesse du 1er Mai avec l'élection de Miss Képi Blanc, s'est déroulée au quartier Général Rollet.


Bagnols : Camerone a été célébré avec faste et solennité

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Publié le 03/05/2017

Bagnols : Camerone a été célébré avec faste et solennité
Les visiteurs très nombreux pour assister à la cérémonie. DR

Le 1er Reg de Laudun-l'Ardoise a célébré l'anniversaire de la bataille de Camerone.

Le 1er Régiment étranger de génie du quartier général Rollet de Laudun-l'Ardoise a célébré l'anniversaire de la bataille de Camerone, ce dimanche 30 avril. Un haut fait d'armes historique qui a opposé une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863 lors de l'expédition française au Mexique.

La soixantaine de soldats de la Légion, assiégée dans un bâtiment d'une hacienda du petit village de Camerone de Tejeda, résista plus d'une journée à l'assaut de 2 000 soldats mexicains. À la fin de la journée, les six légionnaires encore en état de combattre, à court de munitions, chargèrent les troupes mexicaines à la baïonnette.

La remise des décorations

Cette cérémonie était placée sous l'autorité du général Benoît Durieux, commandant la 6e Brigade légère blindée. Le chef de corps, le colonel Emmanuel Phelut, a présenté au général les unités du régiment présentes à cette commémoration. On notait la présence autour de la place d'Armes de la section des pionniers, ils portent traditionnellement la barbe, la hache et le tablier de cuir couleur buffle, ainsi que les différentes compagnies du régiment et les réservistes mais aussi avec la participation de la musique des sapeurs-pompiers de Paris dirigée par son chef de musique.

Après les honneurs au drapeau, ce fut l'arrivée des autorités civiles et militaires, le salut au drapeau et la revue des troupes. Le général de la 6e BLB a prononcé la lecture de son ordre du jour. Puis ce fut la remise des décorations : a été décernée la médaille militaire à l'adjudant-chef Cholaert, le major Phelut et l'adjudant-chef Kouch. La médaille de la Défense nationale avec étoile de bronze au sergent, Rémaly Pivot ; au caporal-chef Raveloson ; au caporal, Kaliniiazov ; au caporal, Mikkola ; au caporal, Vovtchyk ; au 1re classe, Andrianandraina ; au caporal, Bolormaa et au sergent, Miron.

Il y a eu ensuite le récit du combat de Camerone, (a capella), par un officier du régiment. Pour clore cette prise d'armes, le 1er Régiment étranger de génie a défilé au son du Boudin, marche traditionnelle de la Légion étrangère, devant le très nombreux public. En point d'orgue de cette commémoration, la traditionnelle kermesse du 1er mai avec l'élection de Miss Képi Blanc, s'est déroulée au quartier Général-Rollet.


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