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La Newsletter 12/27 de l'AALEME

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La Newsletter 12/27 de l'AALEME

De « l'indiférence générale » au...

Devoir de mémoire...

Pour que l’oublie ne se creuse au long des tombes closes,

pour qu’ils ne soient pas morts, pour une chose morte.

 

Sur l'excellent site officiel, https://www.cheminsdememoire.gouv.fr/ , le cimetière militaire de Diégo Suarez, seul et unique représentant officiel des nombreux cimetières militaires du Nord de la Grande Ile, présente sur la page : https://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/cimetiere-militaire-diego-suarez ce magnifique Hommage de le France reconnaissante à ses Enfants.

 

le monument « aux Morts pour la France »

est en dehors du cimetière militaire,

sur un chemin passager quotidien : il a été oublié !

Aujourd'hui, il ne reste pas grand-chose, ni plaque, ni chaine...

Et son regard, ne balaye pas les tombes de ceux qui sont tombés...

L'entrée du cimetière militaire ; le portail HS est chez le gardien (civil payé par la mairie, 11 euros/mois) il a fait des

demandes au consulat, jamais eu de prise en compte : cimetière portes ouvertes.

Une plaque commémorative pour un civil disparu en mer... Paix à son âme...

Un monument, la tombe du capitaine de frégate commandant le Bougainvillier , mort au combat à Diégo Suarez en 1942 (anglais) ;

la marine en a fait avec raison une gloire, la Légion débroussaille…







Des tombes de civils malgaches , surtout de 1982…Un président malgache qui se fichait pas mal de la France.

 

Mais aussi...





Il en manque un ...

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La Légion étrangère et l'Algérie 1954 - 1962

Le premier hors-série du magazine Légion étrangère, histoire, patrimoine et traditions vient de paraître sous la plume de Jean Balazuc, polytechnicien, président de l'Union des Anciens Combattants de EDF-GDFet président délégué de la fédération André Maginot; Né à Birtmandreïs, dans le département d'Alger, il a participé à la guerre d'Algérie comme chef de section au 1/7e RAAC puis au 3e RPC. Avec ce travail chronologique, il livre une somme importante d'événements qui permettent de mieux comprendre le conflit algérien. L'intégralité des droits d'auteur est reversée à l'Entraide Légionnaire. Disponible en kiosque à partir du 24 août.

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Editorial par Jean-Luc Messager

À Sidi-Bel-Abbès, son sanctuaire, non loin du Musée du Souvenir où sont rassemblées les reliques recueillies sur mille champs de bataille, quatre guerriers en armes montent jour et nuit une garde inlassable. Ces quatre légionnaires veillent autour du monument élevé à la mémoire de tous leurs camarades morts au combat, de tous ceux qui, fidèles à une discipline librement consentie et dans le respect de la parole donnée, sont devenus « fils de France, non par le sang reçu mais par le sang versé ». Ainsi s’exprimait le Maréchal Juin, le 15 novembre 1957 en préfaçant la deuxième édition du Livre d’Or de la Légion étrangère.

Oui, l’Algérie fut le berceau de la Légion étrangère après que cinq bataillons furent envoyés à Alger, Bône et Oran dès la fin de 1831. Peu à peu, cette terre de conquête deviendra d’élection avec Sidi-Bel-Abbès comme épicentre, les légionnaires forgeant avec leur sueur et leur sang, un ailleurs lointain qui deviendra leur.

Au rythme de l’Histoire, ils y viendront, reviendront et finiront par en partir un jour sombre de septembre 1962 quand les dépouilles de général Rollet, du prince Aage de Danemark et du légionnaire Zimmerman, dernier tué à l’ennemi, s’en iront reposer en terre provençale.

Des képis blancs, épars entre Mers-El-Kébir et les sables sahariens, prolongeront la présence légionnaire en Algérie jusqu’en 1968. En quittant l’Algérie, la Légion est revenue de loin. Cette terre qui l’avait vue naître, qu’elle avait contribué à conquérir, qu’elle avait farouchement aimée a failli être son tombeau.

La Légion est repartie.

À l’aventure et au combat.

Elle s’est forgée un autre ailleurs, mais toujours sous la garde de ses quatre légionnaires qui veillent jalousement sur leurs innombrables camarades, debout pour l’éternité.

JB 4

L'auteur Jean Balazuc

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