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La Newsletter 14/02 de l'AALEME

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La Newsletter 14/02 de l'AALEME

EXPOSITION : les blessés dans l'Armée de terre

Dimanche, 02 Mars 2014 12:56

Sauvage 1. Les damnés d'oaxaca

Mardi, 04 Mars 2014 10:30

2013-09-12

Juillet 1864, dans l’immensité aride et caniculaire du désert mexicain, des troupes françaises progressent péniblement. Elles font partie du corps expéditionnaire envoyé par les puissances européennes – dont la France de Napoléon III – pour se tailler un empire en Amérique, en profitant de la faiblesse de l’État mexicain.
Parmi les soldats, souvent des hommes de sac et de corde et de peu d’éducation entrés dans l’armée impériale pour la solde qu’elle procure, un jeune lieutenant, Félix Sauvage, tranche par sa prestance et son air farouche. Lui n’est pas devenu militaire au Mexique pour l’argent, mais pour venger une tragédie familiale. Et l’homme dont il cherche à retrouver la trace se trouve quelque part, comme lui, au sein de cette armée.
Sur la piste, les Français sont témoins de l’attaque de la malle poste de Chihuahua par des soudards mexicains et interviennent juste à temps pour sauver du massacre un journaliste américain en reportage et une séduisante jeune femme blonde, si intrépide qu’elle se lance seule à la poursuite de ses assaillants en fuite…

Lire les 10 premières planches

 

Sauvage 1. Les damnés d'Oaxaca

  • Scénario : Yann
  • Dessin : Meynet, Félix
  • Couleurs : Meynet, Félix
  • Dépot légal : 08/2013 (Parution le 25/09/2013)
  • Editeur : Casterman
  • Collection : Autres séries
  • ISBN : 978-2-203-05773-9
  • Pages : 46

L'Amicale des anciens de la Légion Etrangère a tenu son assemblée générale

02/03/2014

La table de la présidence
Les membres de l'Amicale
Le dépôt de gerbes
Le salut aux monuments aux morts du régiment
Les amicalistes au dépôt de gerbes

L'assemblée générale de l'Amicale des Anciens de la Légion Etrangère s'est déroulée sous l'autorité de son président fondateur Manfred Holzhauser

C’est au Quartier Général Rollet du 1er Régiment étranger de Génie que s’est tenue l’assemblée générale ordinaire de l’Amicale des Anciens de la Légion étrangère, ce samedi 1er mars 2014.

Sous la présidence de Manfred Holzhauser, cette réunion s’est déroulée dans la salle des caporaux chefs du régiment, en présence du général Philippe Houbron, ancien chef de corps du 1er REG et du colonel Alexandre Coulet, chef de corps du régiment. Le général Roland Petersheim, délégué départemental des Amicales de la Légion étrangère, ancien chef de corps et président d’honneur de l’Amicale du 1er REG de Laudun, absent excusé, a transmis un message de félicitations et de solidarité à tous les membres de l’Amicale.

A la table de la présidence, on notait la présence du député maire Patrice Prat et dans la nombreuses assistance les présidents des amicales du sud est de la France, et les différents portes drapeaux des amicalistes.
Après avoir souhaité le bienvenue à tous les participants, le président Manfred Holzhauser a donné lecture du rapport moral alors que le vice président Michel Spinhirny celui du rapport d’activité.

Avec la lecture du bilan financier tous les comptes rendus ont été votés à l’unanimité. Le député maire a tenu a adressé au chef de corps et au président de l’Amicale les remerciements de la municipalité pour les actions de solidarité, d’aide et d’assistance apportées à la population laudunoise, par les militaires du quartier général Rollet dans les moments difficiles qu’à traversé la commune (inondations, secours à la population 2002 et 2003.), en précisant que c’était son dernier mandat de maire depuis 1995

Le dépôt de gerbe au monument aux morts du Régiment a été effectué par Manfred Holzhauser, entouré du général Philippe Houbron et du colonel Alexandre Coulet, chef de corps. Une section de légionnaires du 1er REG et son clairon rendait les honneurs. Un apéritif d’honneur a précédé le repas servi au Mess.

Castelnaudary. «La Légion dans la peau»

Publié le 24/02/2014

Victor Ferreira, auteur de «La légion dans la peau».

Décoratif ou symbolique le tatouage s’est répandu d’année en année dans la société. Victor Ferreira a posé son regard sur ses camarades de la Légion tatoués, et poussé sa curiosité jusqu’à l’aboutissement de trois ans de prises de vues et de rencontres avec les légionnaires. «Des hommes que je pensais bien connaitre, mais en fait, même après 25 ans passés à la Légion étrangère, j’ai découvert des personnes tout à fait différentes», évoque Victor, qui sortira son livre intitulé «La légion dans la peau» au mois d’avril.

«C’est surprenant de voir ces hommes à travers leur regard. Il arrive un moment où le tatouage s’efface et on est surtout dans la rencontre avec ces hommes-là. Il n’y a aucune mise en scène sur les photos, je leur ai juste demandé de me montrer leurs tatouages. Les photos sont brutes de décoffrage», rajoute Victor. Le livre dévoile des tatouages d’appartenances, d’affiliations, très représentatifs et identitaires, du genre: «Marche ou crève», «Vaincre ou mourir», «le diable rit avec nous». Parfois de véritables œuvres d’art, ou très grossiers visuellement.

«Appartenance, spontané, ce qui est important au travers de mon travail c’est qu’il y a quatre filtres. En premier lieu il y a toujours l’homme derrière la Légion étrangère, ensuite un tatouage et une histoire. Les tatouages ont du sens, c’est pour ça que ça nous touche. Je ne sais pas si tous les légionnaires sont tatoués. Moi, en 25 ans, je ne me suis pas fait tatouer mais je suis marqué par la Légion étrangère de manière différente», explique l’auteur.

La Dépêche du Midi

Tatoueurs de Quimper (1/4). Ray'tattoo, « né avec un crayon dans la main »

24/02/2014

Récemment installé à Quimper, Ray'tattoo est un tatoueur expérimenté, adepte du dessin polynésien et celtique.

Ray'Tattoo était auparavant installé à Brest.

Julien Saliou

Après plusieurs semaines de travaux, Fabrice, alias Ray’tattoo vient d’ouvrir son salon de tatouage rue des Douves.

Ce Parisien d’origine était auparavant à Brest durant vingt-trois ans, puis à Châteaulin. « Mais je n’y suis pas resté très longtemps », raconte cet homme, « né avec un crayon dans la main ». Diplômé en ébénisterie d’art et passionné de peinture chinoise, il découvre le tatouage lors de son passage dans la légion étrangère. « J’y ai rencontré des copains, et leurs tatouages n’étaient pas extras. J’ai commencé avec eux, cela a été le coup de foudre. Pour moi, ce n’est pas un métier, mais un plaisir. Je suis en vacances depuis vingt-trois ans. »

Depuis le début, il ne déroge pas à ses principes, à savoir : refuser les demandes de femmes enceintes ou de personnes ivres ou droguées ; ne pas tatouer sur les mains ou le visage, « sauf pour des gens du type vieux bikers » ; ne pas tatouer les noms des copains ou des petites amies.

« Un tire-bouchon sur la cuisse »

Au cours des années, il a pu voir le métier évoluer. Tout comme les demandes des clients. « Il y a eu la mode du tribal par exemple ou celle du symbole infini. Les gens sont beaucoup influencés par le cinéma. Mes clients ? Quand j’ai commencé, les tatouages attiraient surtout les tolards et voyous. Aujourd’hui, je vois M. tout le monde. »

Ray’Tattoo réalise tous types de tatouages, « du Mickey à la copie de maître », avec tout de même une préférence pour le dessin asiatique, celtique et polynésien.

Mais, bien sûr, il s’adapte à la demande. Même les plus excentriques. « Un jour, une bombe est venue me voir pour que je lui fasse un tire-bouchon sur la cuisse. J’étais surpris, si cela avait été un ivrogne, j’aurais plus compris… On m’a aussi demandé un solex avec une sacoche rouge sur le bras, ou une étoile près de la raie des fesses… »

Le Tattoo, 17 rue des Douves. Tatouage, piercing, bijoux dentaires et onglerie. Cours de tatouage sur demande.

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HISTOIRE - La légion étrangère en Indochine : une histoire allemande

Dimanche, 02 Mars 2014 12:32

Les légionnaires qui combattirent en Indochine étaient pour beaucoup d’origine allemande. Parmi eux, des enfants perdus dans les décombres du IIIe Reich, d’authentiques nazis, mais aussi, plus inattendu, des communistes qui pour certains changèrent de camp. Un documentaire traite de ce brûlant morceau d’histoire.

En 1945, le corps expéditionnaire français d’Extrême-Orient est mis sur pied pour chasser les Japonais d’Indochine. L’effondrement de l’Empire du soleil levant intervenu entre temps, c’est en réalité au mouvement indépendantiste conduit par Hô-Chi Minh que se heurteront les forces françaises, jusqu’au sanglant épilogue de Diên Biên Phu. Le contingent n’étant pas mobilisé, l’armée s’appuie sur des engagés volontaires, au premier rang desquels les légionnaires. Plus de 70.000 d’entre eux servirent en Indochine durant le conflit, auquel ils payèrent le plus lourd tribut côté français, avec plus de 10.000 tués. La forte présence dans leurs rangs d’Allemands et d’Autrichiens a intéressé le documentariste allemand Marc Eberle, qui a réalisé en 2005 pour Arte un film sur le sujet, Légionnaires allemands dans la guerre d’Indochine, diffusé demain à la Metahouse. "J’avais découvert ce fait méconnu en parcourant des livres comme ceux de Graham Greene, où apparaît au détour d’une page la silhouette d’un légionnaire allemand", explique le réalisateur de 40 ans, spécialiste de l’Asie du Sud-Est. D’après les sources, la présence germanique monta parfois à 60% des effectifs de la légion durant le conflit (un chiffre de 70% est même rapporté dans le documentaire).

Tournage du documentaire de Marc Eberle au nord du Vietnam (DR)

Des SS en Indochine

Parmi eux, beaucoup de jeunes gens faits prisonniers dans l’effondrement du IIIe Reich, les ultimes mobilisés par le régime nazi face aux troupes alliées. "Mais c’est certain qu’il y eut parmi eux des criminels, des gardiens de camps et des SS soucieux de se refaire une virginité", explique Eberle. Un fait controversé à l’origine d’une légende noire, qui fit par exemple le succès dans les années 1970 du livre de George Robert Elford, La garde du diable : des SS en Indochine. L’auteur américain disait rapporter le témoignage d’un ex-Waffen SS croisé au Népal, à la tête d’un plein bataillon d’anciens nazis en "Indo". Les historiens ont contesté la véracité du récit, ainsi que son caractère apologique. "Il est difficile d’établir un profil commun aux engagés, reprend Marc Eberle, qui en a interviewé beaucoup. La plupart disent avoir été des jeunes perdus, sans but, dans un pays en ruine. Certains assument une vision idéologique, disant avoir combattu le communisme avec Hitler et continué avec les Français, d’autres contestent la tournure qu’a pris la guerre mais mettent en avant leur sens du devoir, etc."

 

Les légionnaires, les "képis blancs", en Indochine (DR)

Réseaux communistes et désertion

Plus fascinant encore est le parcours des incorporés allemands à la légion avant guerre, pour des motifs tout autres. Ceux-là étaient des militants et intellectuels opposés au nazisme, réfugiés en France, et qui s’engagèrent dans la légion à la veille du conflit (au même titre que des Espagnols républicains et des Italiens antifascistes). Une dizaine d’entre eux désertèrent ensuite en Indochine pour épouser la cause du Vietminh. Marc Eberle prit connaissance de cette histoire en croisant à Hanoi la route du chercheur allemand Heinz Schütte, auteur d’une étude sur le sujet. La figure la plus connue de ce groupe est l’Autrichien Ernst Frey, qui prit le nom de Nguyen Dan et raconta ses mémoires dans Vietnam mon amour : un Juif viennois au service d’Ho Chi Minh (inédit en français). "Malheureusement d’une génération plus âgée, tous étaient morts au moment du film, remarque Eberle, mais j’ai interviewé un officier vietnamien germanophone, chargé de liaison avec eux, et qui s’occupait notamment d’acheminer les contes de Grimm et livres de Marx dans les écoles montées par le Vietminh."

Errance et désenchantement

En 1950, Erich Honecker, futur dirigeant de la RDA, lança un appel aux soldats allemands à "rallier le camp des révolutionnaires vietnamiens où se trouvent beaucoup d’anciens légionnaires allemands", leur promettant l’amnistie et un emploi à leur retour. Le chiffre de 1325 déserteurs allemands de la légion est avancé durant la durée de la guerre. "A leur arrivée en RDA, beaucoup découvrirent la nature répressive du régime et passèrent alors à l’Ouest. Seulement, ils étaient fichés pour désertion auprès de la police militaire française alors stationnée en Allemagne. Beaucoup durent alors se cacher ou refuir de nouveau à l’Est", poursuit Marc Eberle. "C’est un parcours assez incroyable, digne d’une fiction entre le nazisme, les guerres coloniales et le communisme." Un récit à la croisée de toutes les brûlures du siècle écoulé.

Samuel Bartholin (www.lepetitjournal.com/cambodge) mardi 15 janvier 2013

In Foreign Service – German Legionnaires in Indochina (sous-titres anglais), Marc Eberle, mercredi 16, à 16h à Metahouse, 37 bd Sothearos

A lire aussi :

Par le sang versé : la légion étrangère en Indochine, Paul Bonnecarrère, ed. Perrin

Les soldats blancs de Ho Chi Minh, Jacques Doyon, ed. Fayard


Les Doktors germaniques dans le Viet Minh

Dimanche, 02 Mars 2014 13:37

La légion des brêles

Mardi, 04 Mars 2014 00:02

SARAJEVO-TANGO (Hermann) + le dossier de presse

Mardi, 04 Mars 2014 14:20

Ici, je suis ailleurs

Chaman dont les Muscles sont l'Esprit

lundi 3 mars 2014

"En échange d'une certaine somme d'argent, Zvonko Duprez, un ex-légionnaire devenu une sorte de mercenaire, va tenter de ramener auprès de sa mère une fillette détenue à Sarajevo par son père", telle est l'accroche de l'album de BD Sarajevo-Tango.

Cet album est un "coup de gueule" du scénariste/dessinateur Hermann (voir supra), un exemplaire a d'ailleurs été adressé aux journalistes et à toute une flopée de personnalités internationales, suite à ce qui se passait alors en Yougoslavie, et plus précisément devant ce qu'on qualifiait déjà de "siège de Sarajevo" (1992-1996) ; mais c'est surtout le geste d'un homme révolté par l'inaction de l'ONU et des instance gouvernementales.
Hermann choisit de rester dans son domaine de prédilection, à savoir la fiction, mais le personnage de Zvonko Duprez, évolue dans un Sarajevo tout ce qu'il y a de plus réel, du moins c'est l'impression que j'ai en confrontant mes souvenirs à ce que décrit Hermann au fils des pages: une ville quadrillée par les tirs de snipers (autrement dit des tireurs embusqués qui tiraient aussi bien sur les militaires que sur la population civile). Un réel que le lecteur peu voir au détour d'une case, où s'exprime toute la barbarie quotidienne dont l'Homme est capable. D'autant que pour cet album Hermann utilise (pour la première fois je crois) la couleur directe, et que le rendu est saisissant.
Si le portrait d'un sniper du "dimanche" donne à voir ce qu'on peut appeler depuis Hanna Arendt la "banalité du mal" en ce sens que si ses actes sont monstrueux lui est tout à fait ordinaire, ceux de Boutros Boutros-Ghali (alors secrétaire générale de l'ONU), de l'ONU et des téléspectateurs français (?) ressortent indéniablement d'un autre registre : celui de la satire.
Or, donc cet album combine avec beaucoup de brio trois aspects dont le mariage était une gageure : la fiction façon thriller, le témoignage d'une réalité (le siège de Sarajevo) et la satire parodique.
Sarajevo-Tango est donc un album qui de mon point de vue n'a rien perdu de sa force, bien au contraire.
À lire absolument.

Diego Suarez et alentours - 2008

Lundi, 03 Mars 2014 20:53

Photos CCH (er) Scalzini Adriano.


Traduction

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