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La Newsletter 16/51 de l'AALEME.

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A REDIFFUSER SANS MODÉRATION

2017

2017

Liebe Vereinsmitglieder

Ein weiteres Jahr neigt sich dem Ende zu, Zeit um einen Moment inne zu halten und sich Gedanken zum vergangenen Jahr zu machen. Es war für uns eine Freude, dem Verein vorzustehen und schöne Momente wie zum Beispiel die Reise nach Marseille mit Euch zu erleben. Die persönlichen Kontakte waren für uns eine Bereicherung und bescherten schöne Momente und Erinnerungen.

 

Wir sind frohen Mutes, dass wir 2017 vermehrt Aktivitäten zusammen erleben werden und somit den Verein auch erfolgreich in die nächsten Jahre führen werden. Wir bedanken uns bei allen Mitgliedern für Ihre Unterstützung und Beiträge.

 

Wir wünschen Euren Familienangehörigen und Euch schöne Festtage und einen guten Start in ein erfolgreiches, glückliches und gesundes 2017. Wir freuen uns auf bereichernde und motivierende Treffen im neuen Jahr.

 

Der Vorstand der A.A.A.L.E.

Der Präsident

Armée de Terre : et les nommés sont…

actu defense ttu

13 décembre 2016



armee-de-terre-logo

La liste d’aptitude 2017 pour l’armée de Terre est désormais connue. Parmi les généraux de brigade en lice pour le grade de général de division, on notera la présence du général Bellot des Minières (1ère brigade, puis 11e brigade), un des plus jeunes. Légionnaire et parachutiste, il est l’un des représentants de la filière capacités-équipements.

Du même âge, Thierry Burkhard est son «jumeau» : même âge, même arme, même spécialité et est le dernier représentant des très proches collaborateurs du général Georgelin. A son retour de la 13e DBLE, il avait commandé l’EMA/COM puis était parti prendre ses étoiles chez Ange Mancini, alors CNR. Il commande aujourd’hui le J3 du CPCO.

Patron du service militaire volontaire montant en puissance, le général Vianney Pillet (1-11e Cuirassiers) est logiquement promu.

Le général Hervé Gomart (CPOIA) est lui aussi sur la liste. Frère de Christophe Gomart, ce fantassin, légionnaire (3e REI) a commandé la 3e brigade à Clermont-Ferrand et a été chef d’état-major de la MINUSMA.

Le général Charles Beaudouin passe lui aussi à trois étoiles. Il va quitter la STAT, qu’il commandait depuis trois ans. Ce cavalier lourd (6-12e Cuirassiers) pourrait rejoindre l’EMAT.

Pour le grade de général de brigade, deux grands gagnants d’une liste qui «vieillit» : le colonel Pierre Schill, qui est le «terrien» de l’Elysée. Major de sa promotion de Saint-Cyr, ancien du 3e RIMa, il fait l’unanimité.

Du même âge, le colonel Marc Ollier (6-12e Cuirassiers) est lui issu du monde capacités-équipements et a notamment été OCO, sous les ordres du général Bellot des Minières.

Le colonel Bertrand Toujouse (13e RDP) a lui aussi été major de promotion.

Enfin, le colonel Charles Palu (501-503e régiment de chars de combat), chef du bureau Plans de l’EMAT, fait aussi partie des promus.

A quel Peloton / Escadron du R.E.C. appartenaient ces EBR CANBERRA, CASABLANCA, etc…

Photo prise le 11 novembre 1964 sur le tarmac de la Base aérienne de Bou Sfer.

A quel Peloton / Escadron appartenaient ces EBR CANBERRA, CASABLANCA, etc…

 

B.Ballanger   Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

Les anciens de la Légion toujours unis

Actualités

Publié le 19/12/2016

Le bureau de l'Amicale des anciens de la Légion étrangère des Hautes-Pyrénées avec le général Jean-Claude Cardinal./Photo Laurent Dard.

Le bureau de l'Amicale des anciens de la Légion étrangère des Hautes-Pyrénées avec le général Jean-Claude Cardinal./Photo Laurent Dard.

L'Amicale des anciens de la Légion étrangère des Hautes-Pyrénées vient de tenir son assemblée générale, ce samedi, à la brasserie Le Parisien à Tarbes, sous la présidence du chef d'escadron Gilbert Hensigner et en présence du général Jean-Claude Cardinal, délégué régional de la fédération d'anciens de la Légion étrangère pour le Grand Sud-Ouest. Pas moins de 26 membres de l'amicale ont assisté à la réunion qui s'est ouverte par une minute de silence à la mémoire de trois grands anciens décédés au cours de l'année : le colonel René Pérignon, l'adjudant-chef Werner Berg et l'adjudant André Dantagnan, valeureux combattants des guerres d'Indochine et d'Algérie.

Après la présentation des rapports d'activité, moral et financier présentés par les membres du bureau, le général Cardinal a livré plusieurs informations concernant la fédération et la Légion étrangère d'active.

Le traditionnel «boudin vin blanc» a ouvert la partie conviviale de l'assemblée générale, suivi d'un repas de cohésion, rythme par les non moins traditionnels «chants Légion».

La Dépêche du Midi

Ce qui est en ligne depuis la dernière Newsletter...

La crèche des légionnaires ouverte au public jusqu’à vendredi

La Voix du Nord

Par C.-D. C. (CLP) | Publié le 14/12/2016

 

C’est une tradition presque aussi vieille que la Légion. Depuis le début du XXe siècle, époque où sont incorporés des soldats d’Europe Centrale très attachés au symbole de la nativité, les légionnaires réveillonnent à Noël autour d’une crèche avec tous ceux qui, loin des leurs, ont sacrifié leur confort de vie pour défendre la France.

La crèche de la Légion est une tradition presqu’aussi vieille que la Légion.

La crèche de la Légion est une tradition presqu’aussi vieille que la Légion.

 

« Elle est généralement installée par les plus jeunes, souvent en rupture familiale » explique le lieutenant-colonel Yann Doutey commandant du Groupement de recrutement de la Légion étrangère. À visiter jusqu’à vendredi.

Crèche de la Légion, visible aujourd’hui de 11 h à 19 h, et demain de 11 h à 16 h. Parc à Boulets, 42 rue du Magasin, Entrée libre. Contrôle d’identité.

La mémoire des Tchécoslovaques de France engagés en 14-18

Radio Prague

14-12-2016

Télécharger: MP3
https://img.radio.cz/pictures/historie/1svv/bitva_u_verdunu_1916.jpg
Qui sont ces Tchécoslovaques qui se sont battus du côté de la Triple-Entente en France ?

« Il y a deux grands groupes. Il y a d’abord les Tchécoslovaques qui vivaient déjà en France, en fait des Tchèques qui étaient déjà présents en 1914 et qui s’engagent à l’été 1914 pour lutter contre l’Autriche-Hongrie. C’est une initiative locale, parisienne en fait, des associations. Ces gens vont rentrer dans la Légion étrangère et combattre à partir de la fin de l’année 1914. Le deuxième contingent, ce sont des brigades qui sont composés des engagés de 1914 qui ont survécu aux premiers combats mais aussi de volontaires qui sont levés dans des camps de prisonniers en Serbie, en Italie, en Russie notamment. Des prisonniers de guerre austro-hongrois en réalité et qui deviennent des membres de ces brigades à partir du décret du président de la République Raymond Poincaré du 16 décembre 1917, qui crée une armée tchécoslovaque autonome. Ils combattront donc sous un uniforme tchécoslovaque. »

A quelles batailles participent ces Tchécoslovaques ? Cette année, on commémore le centenaire des batailles de la Somme et de Verdun. Y ont-ils pris part ?

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Les soldats du 22e régiment posant au Palais Royal, 1918. Photo: BDIC. F ∆ 2048, association Rovnost

« Oui, ils ont participé à ces batailles. Mais en réalité, ils ont surtout combattu en ces lieux en 1917, donc après la bataille de la Somme, après la bataille de Verdun, mais sur ces théâtres d’opérations qui restaient des lignes de front. Ils combattent fin 1914 en Champagne. Ils vont combattre ensuite en Artois au début de l’année 1915 et puis surtout, quand l’armée est créée et est opérationnelle en juin 1918, ils vont être envoyés dans les Vosges, à nouveau en Champagne, à Vouziers dans les Ardennes, à Terron par exemple. »

Vous êtes l’auteur en 2007 d’un article sur les Tchécoslovaques de France et leur mémoire de la participation à la Première Guerre mondiale. On y lit que cette mémoire est apparue très tôt. Comment naît-elle ?

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La bataille de Somme, photo: John Warwick Brooke

« Effectivement, elle naît très tôt parce que les engagés de l’été 1914 combattent essentiellement à partir de la bataille d’Artois en mai 1915 et on peut dire qu’immédiatement les premiers combats sont tellement meurtriers qu’ils frappent la communauté et il y a immédiatement une volonté de leur rendre hommage. On dit, dès le lendemain du 9 mai 1915, une messe à Paris en leur mémoire. Et à partir de là s’enclenche un processus mémoriel jusqu’à aujourd’hui. »

Parmi les formes que prend cette mémoire, il y a notamment un aspect monumental avec en particulier le cimetière de la Targette…

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Le cimetière de la Targette, Neuville-Saint-Vaast, photo: Archives de Jean-Philippe Namont

« Effectivement, le cimetière de la Targette va être développé sur les lieux mêmes où ont combattu les premiers volontaires le 9 mai 1915. En fait, il y a d’abord un monument qui est érigé en 1925 pour les dix ans de cette bataille, financé par souscription publique, et puis ensuite, à la fin des années 1930, en 1936-38, on décide de créer ce cimetière. Au départ, il était demandé par les Tchécoslovaques de disposer d’un carré au Père Lachaise ; cela sera à la Targette. On va y rassembler les tombes, on y plante des tilleuls de Tchécoslovaquie en 1938 et ce cimetière naît véritablement à partir de là. »

Quelles autres formes prend encore cette commémoration de l’engagement tchécoslovaque ?

« Les autres formes de l’engagement, c’est un engagement politique puisque l’enjeu pour les Tchèques, c’est d’abord d’avoir un statut particulier pour ceux qui vivent en France et qui sont surtout Parisiens, un statut qui les rapproche du cas des Alsaciens-Lorrains, des Polonais, c’est-à-dire non pas des nations ennemies de la France mais plutôt des nations captives. Il y a donc cette volonté d’échapper au sort des Austro-Hongrois, qui est d’être confiné dans des camps et d’avoir ses biens mis sous séquestre. Il y aussi cet engagement réel pour saisir cette occasion de devenir une Bohême, et puis finalement une Tchécoslovaquie indépendante. Il y a donc vraiment cet engagement politique, mais qui avait déjà connu des formes différentes au XIXe siècle et au début du XXe siècle, où l’on voulait souligner l’identité de la nation tchèque et finalement du projet tchécoslovaque. C’est relayé à partir de 1915 par les immigrés politiques importants. C’est Masaryk et puis c’est Beneš. Et puis c’est à Paris qu’est créé le Comité national tchèque puis tchécoslovaque. Paris est à la fois le lieu de l’engagement de l’été 1914 des volontaires, et en même temps le lieu de l’action politique en tant que capitale importante de l’Entente. »

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Štefan Osuský

Il y a une construction de cette mémoire des Tchécoslovaques de France dans leur engagement lors de la Première Guerre mondiale en même temps que ce processus de formation de l’Etat tchécoslovaque avec l’indépendance obtenue en 1918…

« Tout cela va converger ; c’est-à-dire que célébrer les volontaires de la Première Guerre mondiale qui ont combattu, c’est aussi célébrer l’Entente voire l’amitié franco-tchécoslovaque et la validité du projet tchécoslovaque dans l’entre-deux-guerres. C’est extrêmement important et donc il est assez logique de voir l’ambassadeur Štefan Osuský, ou en tout cas les autorités tchécoslovaques, participer au financement de tous ces lieux de mémoire et être physiquement présents lorsqu’il y a des cérémonies. »

Donc cet aspect mémoriel va aussi servir dans le cadre des relations entre la France et ce nouvel Etat tchécoslovaque. Comment cet aspect mémoriel va ainsi être utilisé ?

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L'infirmière tchèque Marcelline Čapek, engagée volontaire dans la Croix-Rouge, photo : BDIC. F ∆ 2048, association Rovnost

« On va rappeler, notamment lors des moments critiques, la solidité, la durée de cette amitié entre les deux pays. Par exemple, on met en avant pendant la guerre de 14-18 les Tchèques qui ont déjà combattu en 1870 pour la défense de Paris. En 1939, l’ambassadeur Osuský va conserver l’ambassade, le consulat, les lieux représentatifs de l’Etat tchécoslovaque en France, et on va rappeler que cette résistance s’inscrit dans une relation de proximité, malgré Munich donc, entre les deux pays. Ensuite, aujourd’hui encore, ces lieux sont des lieux utilisés lors de visites officielles. On peut aussi rappeler par exemple qu’en 2002, le président Vaclav Havel a fait de la remise du drapeau à l’armée tchécoslovaque à Darney en 1918 le jour des commémorations des forces armées tchèques. »

Vous avez travaillé sur l’immigration tchèque et slovaque en France. Qu’en est-il du travail de mémoire dans le cadre de l’intégration de ces populations en France ?

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La plaque apposée en 1934 dans la galerie de Valois, Palais Royal, Paris, photo: Archives de Jean-Philippe Namont

« C’est en effet quelque chose qui est bien compris par les associations tchécoslovaques, devenues tchécoslovaques dans l’entre-deux-guerres, que d’indiquer que c’est certes un combat pour la Tchécoslovaquie qui s’est déroulé en 14-18, mais c’est aussi un combat pour la France, donc pour ce pays d’accueil, qui devient pour la deuxième génération le paix de naissance de ces enfants issus de l’immigration. C’est un élément qui est mis en avant de façon tout à fait continu, ce qui fait d’ailleurs que toutes les commémorations associent des officiels français, où que cela se trouve, c’est-à-dire par exemple à Paris avec les municipalités ou bien par exemple à Targette avec la municipalité de Neuville-Saint-Vaast où se trouve le cimetière tchécoslovaque. »

On parle de la célébration de l’engagement tchécoslovaque dans les combats de la Première Guerre mondiale mais y a-t-il également une mémoire traumatique ? Est-ce que ces Tchécoslovaques de France vont développer une aversion pour la guerre, des mouvements pacifistes ?

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L'ambassadeur de la République tchèque Pavel Fischer rendant hommage aux soldats de l'armée tchécoslovaque morts pendant la Première Guerre mondiale, cimetière du Breuil, Cognac, 2007, photo: Archives de Jean-Philippe Namont

« Pas vraiment et même pas du tout dans la mesure où les familles qui ont été frappées sont relativement nombreuses pendant la Première Guerre mondiale mais cela reste un engagement qui est valorisé parce que c’est un sacrifice qui était jugé nécessaire. On n’a pas de doute sur le sens du combat qui a été mené. Et puis il y a dans les années 1920, dans les années 1930, un renouvellement considérable. On passe d’une petite communauté de quelques milliers de personnes, 3000 environ, peut-être un peu plus, en 1914, à une communauté de près de 80 000 personnes au maximum en 1930. Donc la plupart des Tchécoslovaques qui vivent en France n’ont absolument pas connu cette période, n’ont pas souffert directement de cet épisode et il ne reste donc guère plus que la mise en valeur positive de l’engagement. L’aspect traumatique n’apparaît pas. »

Sur cette mémoire de la Première Guerre mondiale s’est ensuite ajoutée la mémoire de la Seconde ; les volontaires tchécoslovaques qui ont combattu en France lors de la Seconde Guerre mondiale sont également enterrés au cimetière de la Targette. Comment a évolué la mémoire de la participation tchécoslovaque à ces deux guerres jusqu’à aujourd’hui ?

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Le cimetière de la Targette, Neuville-Saint-Vaast, photo: Archives de Jean-Philippe Namont

« Les lieux qui restent importants dans la célébration restent associés à la Première Guerre mondiale. Ça, c’est très clair. C’est-à-dire qu’aujourd’hui encore, on fête le 28 octobre, le jour de la fête nationale tchécoslovaque, par une cérémonie sur la tombe du soldat inconnu à l’Arc de triomphe. Le 9 mai, anniversaire de la Targette, on dépose également une gerbe à l’Arc de triomphe. A la Toussaint, c’est au cimetière du Père Lachaise, parce qu’il y a un monument, qu’on célèbre tout cela. Il y a donc association entre les deux mais avec des lieux qui restent d’abord associés à la Première Guerre mondiale. »

Pour en savoir plus : https://www.cairn.info/r

Fontenay : la crèche des légionnaires fait revivre la guerre d’Indochine

18 décembre 2016,

Fontenay-sous-Bois, ce samedi. Les légionnaires du Fort de Nogent ouvrent leurs portes à l’occasion de la traditionnelle crèche de Noël pour laquelle ils ont reconstitué une bataille de la guerre d’Indochine. LP/C.P.

« Accrochez-vous bien, on va décoller », résonne une voix dans le magnétophone. « Mais s’accrocher à quoi ? », répond une dame, faussement paniquée. Samedi et dimanche, c’était porte ouverte au Fort de Nogent, à Fontenay-sous-Bois. Comme chaque année, la Légion étrangère dévoilait sa traditionnelle crèche de Noël, exposant cette fois les coulisses d’une bataille de la guerre d’Indochine, celle de Dong Khe, survenue en octobre 1959. « Mais pour que ça colle avec Noël, on fait comme si ça se passait en décembre », précise le légionnaire en charge de la visite. Après avoir défini l’objectif de la mission et être monté dans une réplique de l’avion, les visiteurs arrivent sur le champ de bataille où à la fin du combat, la crèche apparaît. Un voyage dans le temps et fruit d’un travail de six mois de préparation et de deux d’installation pour les soldats de la Légion étrangère.

La crèche sera de nouveau exposée les samedi 7 et dimanche 8 janvier, de 10 heures à 19 heures, boulevard du 25-Août-1944 à Fontenay-sous-Bois.

leparisien.fr

A.A.M.L.E CONGRES FSALE 2016 LE CANNET 06


Traduction

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