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La Newsletter 17/09 de l'AALEME.

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La Newsletter 17/09 de l'AALEME.

A REDIFFUSER SANS MODÉRATION

« Photo prise le 30 avril 1965 à Bou Sfer à l’occasion de Camerone. Le général Barlier et le Lt-colonel Caillaud passent en revue le 2e REP. Certains vont peut-être reconnaître l’un des 4 Légionnaires situés sur la droite ainsi que la compagnie ».

Bonjour,

 

Pouvez-vous mettre en ligne cette autre photo.

« Photo prise le 30 avril 1965 à Bou Sfer à l’occasion de Camerone. Le général Barlier et le Lt-colonel Caillaud passent en revue le 2e REP. Certains vont peut-être reconnaître l’un des 4 Légionnaires situés sur la droite ainsi que la compagnie ».

Merci pour votre aide.

 

B.Ballanger

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« Qui sont ces paras du 2e REP, photo prise le 30 avril 1965 à Bou Sfer à l’occasion de Camerone ».

Bonjour,

 

Toujours dans le cadre de mes recherches pouvez-vous faire paraître l’appel suivant : « Qui sont ces paras du 2ème REP, photo prise le 30 avril 1965 à Bou Sfer à l’occasion de Camerone ».

 

En vous remerciant.

B.Ballanger

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Une odyssée peu commune de Vienne à Menton.

Lundi, 23 Janvier 2017 19:00

L’Amicale des Anciens de la Légion Étrangère de Parentis en Born à l’honneur

 

20 Décembre 2016

A l’occasion de la présentation de la Crèche de Noël dans les locaux de l’Amicale des Anciens de La Légion Étrangère Le 17 décembre 2016, et après avoir ouvert la cérémonie de remise des médailles du Mérite Bénévole Yves PERPIGNAN, Vice président du CNB et Délégué régional a confié à Christian GAUSSERAND, délégué départemental, le soin de présenter les récipiendaires en présence de Christian Ermandorena, Maire, de Marc Bourguignon, Conseiller municipal, de Laurent Coustaud, Président de l’Amicale, du Colonel Willy Chiale et de Geneviève Gausserand.

 

Le Jury de la Promotion du Mérite Bénévole 2016 baptisée « Auvergne Rhône Alpes » après délibération a décerné à :

  • Catherine COUSTAUD : Pour 11 années de bénévolat

De 2005 à 2010 : occupe diverses fonctions au service de l’Amicale Les courses pour les préparatifs des repas, aménagement de la salle qui peut recevoir 150 personnes environ, s’occupe du ménage, repassage et autres. Animations repas de 60 à 80 couverts 8 à 10 fois par an.

2010 à ce jour c’est l’épouse du président et devient la secrétaire de l’Amicale.

Le jury lui décerne le diplôme du mérite bénévole dans l’échelon Bronze

Bravo Madame et félicitation pour votre engagement.

Et par Saint-Antoine, vive la Légion!

Lignes de Défense

17.01.2017

17 janvier, c'est la Saint Antoine! Et il est le patron de la Légion étrangère.

Saint Antoine le Grand (251-356) est né en Haute-Egypte. Il jouit très rapidement d'une grande popularité et devint le protecteur de nombreuses confréries et métiers.

"Son caractère de lutteur victorieux (dans la vie spirituelle), d'ascète qui vit de manière frustre et dépouillée dans la solitude, d'homme qui a changé de vie pour une vie nouvelle au service de Dieu, a de quoi largement toucher le légionnaire. Mais la célébration des combats de Camerone (30 avril) et l'importance prise à la Légion par la veillée de Noël (avec la création de crèches) tendent à éclipser quelque peu la fête de saint Antoine", écrit Jean-François Plantec, ce matin, dans sa chronique culturelle.

Il rappelle aussi que le 17 janvier 1855 a vu la "création d’une seconde Légion étrangère, dite Légion suisse.

"Par décret impérial, il est décidé de mettre sur pied deux régiments de ligne et un bataillon de tirailleurs composés exclusivement de Suisses. Sous les ordres du général Ochsenbein, l’un des pères fondateurs de la confédération helvétique, ils prennent notamment part au siège de Sébastopol où le choléra fera des ravages dans leurs rangs. La caractéristique de cette troupe est d’être vêtue d’une veste verte et d’un pantalon garance, les futures couleurs de la Légion actuelle. Le faible recrutement et la fin de l’engagement en Crimée conduisent à sa dissolution le 16 avril 1856. Ses effectifs serviront à créer le 1er Régiment étranger ".

Ce qui est en ligne depuis la dernière Newsletter...

La vallée des ombres

Le Journal de Montréal

Dimanche, 22 Janvier 2017 15:57

Samedi, 21 janvier 2017 17:38

La vallée des ombres, Xavier-Marie Bonnot, aux Éditions Belfond, 304 pages

Si l’écrivain français Xavier-Marie Bonnot enchaîne les romans depuis 2002, je n’avais encore jamais eu la chance d’en lire un. Je me rattrape, en espérant vous donner le goût d’en faire autant.

Lorsqu’on pense aux villages alpins, on a tendance à imaginer de paisibles petites agglomérations baignées de lumiè­re et d’air pur. Mais rien de tel à Pierrefeu, le bourg industriel où René Vasseur a vu le jour. Même si plusieurs aciéries et usines ont fini par fermer leurs portes au cours des années 1980, certaines crachent encore des panaches de fumée grise et les lieux respirent indubitablement la noirceur, une bonne partie des habi­tants du coin étant désor­mais sans travail.

S’enrôler dans la Légion étrangère pour guer­royer en Yougoslavie, au Mali et en Afghanistan a été aux yeux de René Vasseur le meilleur moyen d’échapper à son terne passé de souffre-douleur. Mais après avoir passé près de deux décennies loin de ce patelin pourri, René devra cependant revenir au bercail: son paternel, un syndicaliste qui a passé l’essentiel de sa vie à se battre contre un patronat dénué de scrupules, va en effet très bientôt passer l’arme à gauche. Du coup, René n’aura que quelques jours pour se rapprocher de celui qui lui a toujours reproché de n’être qu’un pleutre. Parce qu’en quittant Pierrefeu sans prévenir à l’âge de 22 ans il a laissé derrière lui une jeune fille aimante qui se perdra dans les bras du premier venu, un ami cher qui ne tardera pas à mal tourner, un frère dont le meurtre n’a jamais été vengé et un vieil ennemi de jeunesse capable du pire.

Comme je ne savais pas trop à quoi m’attendre en commençant la lecture de ce roman, la surprise a été de taille: en plus de se démarquer par la simplicité et l’efficacité de son écriture, il fait partie de ces livres saisissants difficiles à oublier.

L'armée malgache en stage à Mayotte

clicanoo.re

Mercredi 18 janvier 2017

OCEAN INDIEN. Au début du mois de décembre, un détachement de l'armée malgache a suivi un stage au Centre d'instruction et d'aguerrissement nautique (CIAN) à Mayotte. Un stage qui s'est déroulé au sein du détachement de la Légion étrangère. «Les 22 stagiaires malgaches ont e#?te#? mis a? l'e#?preuve sur les pistes du CIAN, et ont ainsi pu renforcer leurs savoir-faire lors des diffe#?rentes e#?preuves qui ont jalonne#?es la formation : piste nautique, infiltration a? la rame, infiltration avec palmes, prise d'assaut de plage, brancardage dans la mangrove mahoraise et TIOR (Technique d'Intervention Ope#?rationnelle Rapproche#?e)», explique les Fazsoi dans un communiqué.

À la fin du stage, 16 stagiaires ont reçu leur brevet d'aguerrissement et initiation du CIAN par le colonel Rémi Bariety, chef de corps du DLEM.

Les mille métiers de Fernand Martin

La Nouvelle République

22/01/2017

Fernand Martin a même agrémenté de paysages les portes de sa maison. - Fernand Martin a même agrémenté de paysages les portes de sa maison.

Fernand Martin a même agrémenté de paysages les portes de sa maison.

Le retraité de Saint-Aigny, âgé de 82 ans, a exercé de nombreuses professions avant de donner libre cours à ses talents de peintre et d’écrivain.

Fernand Martin vit discrètement dans sa petite maison de Saint-Aigny. Si son appartenance au Club de tir du Blanc, qu'il fréquente depuis 1988, a révélé sa fibre sportive, peu de gens soupçonnent ses talents de peintre.

Les superbes paysages accrochés dans son salon portent cependant sa signature. A 82 ans, il continue à étoffer une vie bien remplie, et la publication récente d'un polar montre la diversité de son savoir-faire.

Il vient de publier un polar

Le parcours du retraité brennou vaut à lui seul un roman. Originaire de Prissac, il suivait très tôt ses parents à Paris, pour entrer à l'âge de 14 ans dans la métallurgie, comme chauffeur de rivets dans une entreprise d'Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne). Puis, il devenait coursier à la mairie de Charenton, puis intégrait une fabrique de meubles. En 1956, il se mettait à son compte comme menuisier à Joinville-le-Pont avant de rejoindre la Normandie, en tant qu'ingénieur assimilé d'une entreprise de bâtiment.
De retour dans l'Indre en 1975, il terminait sa carrière dans la restauration de meubles anciens. Après être passé par Sacierges-Saint-Martin, Chéniers (Creuse), Lencloître (Vienne) et Argenton-sur-Creuse, ce voyageur posait enfin ses valises à Saint-Aigny en 1993. C'est là qu'il s'est trouvé une inclination pour la peinture, et qu'il s'est mis à écrire, voici quelques années.
« J'ai déjà écrit une dizaine de livres », avoue Fernand Martin qui vient donc de faire paraître son premier roman policier, Vitos. Une fiction aux accents comiques, campée dans des lieux de la région parisienne qu'il connaît bien, sur fond d'enquête après le casse d'une bijouterie.
Dans son bureau, d'autres polars attendent leur publication. Leurs titres – Le Croque-Monsieur de Madame la Baronne ou Le Macchabée du Pont-Neuf – sont issus d'une vie errante et extrêmement riche, marquée également, après-guerre, par un engagement d'un an dans la Légion étrangère.

« Vitos », Librairie Édilibre. Édition papier, 34,50 € ; numérique, 1,99 €

Jean-Michel Bonnin

Manolo, 65 ans, vit sous une tente toute l’année

mercredi 18 janvier 2017
Alors que le froid ressenti au petit matin frise -8 °C à Laval, en Mayenne, Manolo et son chien continuent à vivre sous une tente, au bord de la rocade. Cet ex-légionnaire de 65 ans aspire à changer de vie. Il se confie.

 

Les conducteurs qui ont l’habitude d’emprunter la rocade nord de Laval, en Mayenne, ont pu être intrigués par cette tente, plantée près de la chaussée, au niveau du rond-point de Décathlon. Un double dôme, de couleur bleue, à peine dissimulé sous de maigres arbustes d’une petite parcelle plus ou moins délaissée.

Cela fait des mois que cette tente est là, mais il est difficile d’en apercevoir son ou ses occupants. Un marginal, un migrant, une personne mise hors jeu dans une société où il ne fait pas bon être sans emploi ? Mystère. Ce sont Sonia et Malika, deux femmes généreuses, qui se sont mis en tête d’organiser des maraudes, afin d’améliorer le quotidien des sans-abri et qui ont réussi à établir le lien avec le mystérieux campeur. Rendez-vous est pris à la tente, mardi, à la tombée de la nuit.

Manolo campe toujours près de la rocade de Laval, en Mayenne. Il a été repéré par Sonia et Malika qui veulent donner un coup de main aux sans-abri. (Photo : Ouest-France)

« Il y avait des rats »

Manolo, un surnom auquel notre hôte est très attaché, a allumé un feu de camp en nous attendant. Il se réchauffe les mains alors que le thermomètre, une fois le soleil couché, plonge vers le zéro. « C’est vrai que c’est dur ces jours-ci. Hier matin [lundi, NdlR], il m’a fallu presque une heure pour ouvrir la tente. Tout était gelé, les fermetures éclairs, même le sol était tout blanc », lance sexagénaire. Un petit gabarit énergique, mais un visage émacié qui trahit un parcours de vie chaotique.

« Avant je vivais en Vendée. Je suis venu en Mayenne pour me rapprocher de mon fils adoptif qui avait été placé dans une famille d’accueil. Cela fait cinq ans que j’habite sous une tente. Au début celle-ci était installée près d’une usine désaffectée, mais il y avait des rats. Alors j’ai déménagé ici », confie-t-il.

Depuis 5 ans, par tous les temps, Manolo vit sous la tente. (Photo : Ouest-France)

Un choix par défaut. Manolo ne cache pas son ras-le-bol pour cette vie inconfortable. « J’ai une petite retraite. Les bons mois 700 €, parfois moins, détaille-t-il, habitué à faire la manche à la gare SNCF ou près de Carrefour Market de Changé, accompagné de son inséparable compagnon d’infortune, Sam-Kail, un magnifique Berger allemand de 7 ans. Cela fait des mois que je cherche un logement en dur, de préférence une petite maison à cause du chien. J’ai demandé à la Ville. En vain. »

Pas question non plus d’appeler le 115 pour trouver un peu de chaleur. « Les chiens ne sont pas admis. Jamais je n’abandonnerai Sam-Kail. »

« J’ai besoin de chaussures »

En attendant des jours meilleurs, notre hôte d’un soir confie avoir « beaucoup bourlingué » dans sa jeunesse : « Dans la légion étrangère, sur le continent nord-américain et même aux Beaumettes… » Et il nous propose de visiter son cadre de vie. Mine de rien, c’est très organisé. Face au petit dôme qui sert d’entrepôt, un tas de bûches bien rangées. La grande tente Quechua dispose de deux « chambres » : « C’est là que je dors avec mon chien. Il me protège et me tient chaud. »

L’autre espace sert au rangement, notamment de nombreux carnets de dessins et croquis, une passion auquel s’adonne Manolo avec un talent certain. « Là, c’est un vieux gréement que je vais reproduire en grand. Mon fils me l’a demandé. » L’espace central sert de lieu de vie où pendent deux lampes de poche. Au sol, un réchaud à gaz et une petite commode de récupération.

Le sexagénaire est un passionné de dessin. (Photo : Ouest-France)

Comment supporter ces soirées dans le froid ? « Question d’habitude. Je ne me couche pas avant 23 h 30 », rétorque Manolo montrant l’étiquette à l’intérieur de son manteau où est écrit : jusqu’à -25 °C. « On me l’a donné, ça vaut plus de 80 € ! En revanche j’ai besoin de chaussures. Les miennes sont usées ! » À vue d’œil, il doit chausser environ 41.

Pour contacter Manolo : tél. 07 84 45 77 75.

Montpellier : l'association humanitaire réchauffe les corps et comble les estomacs

Dimanche, 22 Janvier 2017 16:45

Midi Libre

16 janv. 2017

Montpellier : l'association humanitaire réchauffe les corps et comble les estomacs

Les bénévoles distribuent de la nourriture et créent du lien. JEAN MICHEL MART

Montpellier : l'association humanitaire réchauffe les corps et comble les estomacs

Un peu de chaleur dans la nuit. JEAN MICHEL MART

Montpellier : l'association humanitaire réchauffe les corps et comble les estomacs

Précieux chariot chargé de nourriture. JEAN MICHEL MART

Montpellier : l'association humanitaire réchauffe les corps et comble les estomacs

Les bénéficiaires attendent de déguster leur hachis. JEAN MICHEL MART

L 'Association humanitaire de Montpellier assure des maraudes nocturnes auprès des SDF.

Le voile nocturne enveloppe la rue. Au pied du monumental parking Saint-Roch, scintillant de mille feux, la troupe d'une vingtaine de bénévoles de l'Association humanitaire de Montpellier se prépare, dans un froid coupant, à sa maraude quotidienne. "Restez aimables avec les bénéficiaires, ne répondez pas aux provocations. Ne prenez pas d'initiatives." Nathalie, gilet orange, donne ses consignes aux gilets jaunes. "Un responsable supervise chaque maraude. Ce soir, c'est moi."

Beaucoup d'Albanais

Un premier groupe devance la distribution alimentaire. Fatine, Gihane et Saliha, visages souriants au milieu d'un grand nulle part. Sur le parvis de la gare, fouillant des conteneurs, quelques hommes emmitouflés. "Des Albanais essentiellement, éclaire Fatine. Dans la rue, les gens restent entre connaissances ou nationalités. On retrouve souvent les mêmes. Cela nous permet d'échanger avec eux." Saïd, lui, croit dur comme fer en la capacité d'insertion de certains de ces naufragés noyés dans un océan d'indifférence. "Beaucoup de jeunes, en rupture familiale, ont des compétences. On cherche à les connaître pour bâtir, ensuite, des projets avec eux."

Hachis, chaussures et couvertures

Sur un bout de trottoir, Dany et ses deux compagnons ont aménagé leur salon, comme ils disent. "C'est chouette, non ?", plaisante l'ancien légionnaire au caractère bien trempé. Un banal "comment tu vas ce soir ?" lancé par une Saliha attentionnée suffit à ouvrir les vannes d'un discours teinté de ressentiment. Contre la société, la police, les bourgeois, la fatalité. "J'ai servi mon pays et vous voyez comment mon pays me traite ?" Un plat de hachis parmentier, menu du soir, calmera, un peu, l'ardeur revendicative de Dany.

Des plateaux jetables pour bientôt

Devant les grilles du square Planchon, une dizaine de bénéficiaires profite qui d'une couverture, qui d'une paire de chaussures. Tous font également provision de sourires, de phrases attentives. L'action caritative tout autant que citoyenne menée depuis juillet 2013 par l'Association humanitaire de Montpellier, porte haut les couleurs du vivre ensemble. Comme quand, place de la Comédie, les SDF se présentent plus nombreux. "Y'a quoi, ce soir, au menu ?" Le bonhomme, casquette et grosse parka kaki, n'attend pas la réponse pour piocher dans l'assiette en carton pleine de hachis qu'on lui tend. "Nous allons bientôt avoir (dès cette semaine, NDLR) des plateaux jetables. Ce sera plus pratique pour nos bénéficiaires qui mangent debout." Soudain, une maman et ses deux garçons s'avancent vers le chariot fumant. "C'est une réfugiée qu'on connaît bien, éclaire Nathalie. Elle vit à l'hôtel." L'aîné, 12 ans, précise, en anglais, son souhait de verres de soda. Pour lui et son frère. "And coffee for my mother, please."

Contact : 07 83 04 38 16; www.associationhumanitairedemontpellier.fr.


Traduction

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