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Légionnaire toujours...

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2012




Immersion au coeur de la légion étrangère vendredi 24 février sur France 3

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Vendredi 24 février à 23:25, France 3 vous proposera de pénétrer “au coeur de la légion étrangère” dans un documentaire réalisé par Nicolas Moscara.
Chaque année, 10 000 jeunes venus du monde entier se présentent aux portes de la Légion étrangère. La sélection est impitoyable, seulement 10 % sont recrutés. A Aubagne, au quartier général de la Légion étrangère, Nicolas Moscara a pu filmer la semaine d'évaluation de quelques candidats. De véritables interrogatoires y sont effectués. Ils servent à écarter les imposteurs. En parallèle, une série de tests détermine ceux qui ont le potentiel physique et intellectuel pour débuter la formation.

Nicolas Moscara a suivi Lim l'Américain, Vaifana le Malgache et les autres engagés volontaires pendant leur formation dans l'enfer de Castelnaudary. Certains n'arriveront pas à aller jusqu'au bout de la fameuse marche du Képi blanc de 60 km et devront repasser l'épreuve. Pour illustrer l'engagement des légionnaires, Nicolas Moscara est allé en Afghanistan, devenu le terrain privilégié des unités d'élite des armées de la coalition.

Depuis septembre 2008, la présence de la Légion étrangère y est permanente. Grâce a une autorisation exceptionnelle, Nicolas Moscara a suivi pendant 40 jours les hommes du 2e Régiment Etranger d'Infanterie dans leur combat contre les talibans.

Légion étrangère Magazine

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Vous avez été nombreux à assister à la projection le 26 janvier à l’École Militaire mais ceux qui n'ont pas pu voir le film, vous pouvez voir l'interview de Marius Nowakoswskici dessous

ou plus simplement commander le DVD du film grâce au bon de commande joint. Une partie des bénéfices de la vente de ce DVD est directement reversée par la FSALE au FELE. 

La Rafale

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31 Janvier 2012

Résumé

Octobre 1948, Saïgon.

Daguet, un ingénieur, essaie, dans un bouge de la ville, de s'envoler dans les fumées de l'opium. Un capitaine de la légion vient le voir et lui annonce qu'à partir de maintenant il est employé par l'armée et qu'il doit les aider pour une mission. un train blindé, nommé La Rafale, doit effectuer un trajet de 250 kms, entre Nha-Trang et Phan-Tiet, en passant par Phan-Ry. Ce train, commandé par le capitaine Renaudot, doit ravitailler les petits postes et escorter les convois. Le boulot de Daguet sera de veiller à l'entretien du train, mais aussi des ponts.

Au Café de Paris, un petit bordel tenu par Ange Matra, se trouve une jeune vietnamienne qui se nomme My Linh. Elle n'aime pas les français et travaille pour le parti révolutionnaire. Ses supérieurs lui demandent de saboter la mission du Rafale...

Par BERTHOLD

Avis de Sceneario.com

(31 Janvier 2012)

Depuis le moment que j'avais vu un "teaser" (comme on dit de nos jours) concernant cette série, il me tardait de lire ce premier tome. Les sujets concernant l'Indochine ou le Viet-Nam m'intéressent.

Dès que je suis rentré dans ce premier tome, j'ai su que ce récit allait me plaire. Au final, après 46 pages de lecture, je n'ai pas été déçu.

Patrice Ordas et Patrick Cothias nous parlent de ce train blindé, qui a vraiment existé, et nous offre un beau sujet d'aventure. Ils nous emmènent en 1948, en Indochine et vont nous présenter les personnages principaux : Daguet et My Linh. Mais aussi de très bons seconds rôles comme Paco ou le lieutenant Koltchak qui s'avère avoir une sacré présence. Comme nous le découvrons, quelques soldats de la Wermacht ont rejoint, à la fin de la guerre, les rangs de la Légion Etrangère. Koltchak en faisait parti. Par contre, Daguet, ancien soldat français et résistant, qui est devenu anti-militariste, ne semble pas porter dans son coeur les allemands. Ce qui nous amène à quelques scènes assez bien senties entre les deux hommes. Les scénaristes s'inspirent de la mission de ce train pour placer une intrigue sérieuse, qui tient la route et qui s'avère captivante. Le talent des deux auteurs nous donne l'impression d'être embarqués à leurs côtés.

Le dessin est confié à Winoc. A première vue, son style, efficace, me faisait penser à celui de Guy Davis sur Sandman Mystery Theatre. Mais ce dernier s'affirme vite dès les premières pages et le lecteur est sous le charme de son graphisme. Le dessinateur sait mettre en valeur ses personnages en leur donnant une certaine présence, en faisant ressortir leur forces et faiblesses. Il nous offre quelques beaux paysages embellis par les couleurs de Nadine Voillat.

La Rafale est un premier tome qui donne envie de prolonger l'aventure à bord du train en compagnie de Daguet et des autres. L'esprit feuilleton fonctionne à merveille et nous laisse à la fin avec un bon suspense.

Une lecture que je vous conseille chaudement !

Par BERTHOLD


Légion étrangère. Un ancien de Bir Hakeim pour porter la main du capitaine Danjou

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Ainsi va le monde !

par Henri Weill

mercredi 25 janvier 2012

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
En cette année marquant le 70e anniversaire de la bataille de Bir-Hakeim (Libye), c’est  Hubert Germain qui devrait porter la main du capitaine Danjou, lors des cérémonies commémorant Camerone, le 30 avril prochain à Aubagne.
 
Cet ancien officier de la 13e DBLE -« c’est la Légion qui m’a permis de me révéler à moi-même » aime-t-il à dire- est l’un des 30 Compagnons de la Libération encore en vie (la 13 est d’une des 17 unités de l'armée française titulaires de la croix de la Libération).
 
Fils d’un officier général, Hubert Germain parvient, le 24 juin 1940, avec trois camarades à embarquer à Saint-Jean-de-Luz à bord de l’Arrandora Star, qui appareille pour la Grande-Bretagne. En 1941, il est affecté à l’état-major du général Legentilhomme, commandant en Palestine la 1ère Division légère française libre (DFL), destinée à intervenir au Levant.
 
Après la campagne de Syrie à laquelle il participe, il est envoyé comme élève à l’école d’officiers de Damas en septembre 1941. Aspirant, il est affecté au 2e Bureau de l'état-major de la 1ère Brigade française libre du général Koenig. En février 1942, il rejoint les rangs de la  13e demi-brigade de Légion étrangère et prend part à la campagne de Libye. Chef de section antichars, il se distingue dans les combats de Bir-Hakeim et est cité à l’ordre de l’armée. Promu sous-lieutenant en septembre 1942, il est des combats de l'Himeimat (El Alamein) en Egypte puis en Tunisie jusqu’en mai 1943. Blessé à Pontecorvo (Italie), le 24 mai 1944, il est évacué à Naples. H. Germain est décoré de la Croix de la Libération par le général de Gaulle fin juin puis participe au débarquement de Provence (août 1944), puis à la libération de Toulon, de la vallée du Rhône et de Lyon. Il prend part enfin aux campagnes des Vosges, d'Alsace et termine la guerre dans le sud des Alpes, au massif de l'Authion. Appelé comme aide de camp auprès du général Koenig commandant les forces françaises d’occupation en Allemagne, le lieutenant Hubert Germain est démobilisé en 1946.
 
Chargé de mission au cabinet de Pierre Messmer, ministre des armées, de 1960 à 1962 (puis, de nouveau, en 1967 et 1968), il sera député de Paris en 1962, réélu en 1968 puis en mars 1973. De 1972 à 1974, Hubert Germain est ministre des PTT puis ministre chargé des relations avec le Parlement (mars-mai 1974).

Obsèques du général LARDRY

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La cérémonie des obsèques du général LARDRY aura lieu le samedi 28 janvier 2012 à 10h15 en l’église Saint Louis de Hyères.


L’éloge funèbre sera prononcé, au cours de la messe, par le général d’armée (2S) Schmitt, ancien CEMA, de la même promotion que le général LARDRY.


Les honneurs militaires seront rendus par un détachement du 1er régiment étranger (section d’honneur à 1-2-18), le régiment fournira également les 6 porteurs, les 2 porteurs de coussin avec coussin et le clairon pour les honneurs (éloge+ honneurs militaires).

Le 1er RE prévoira un drapeau pour couvrir le cercueil si la famille le souhaite.

Attention les samedi sont jours de grand marché à Hyères,

Le 54e RA propose d’accueillir les véhicules militaires pour se garer. Le quartier se situe à 500 mètres de l’église. Il peut également fournir une salle ou la section d’honneur pourra se changer à son arrivée.
Adresse pour les véhicules militaires : avenue du 15e corps, quartier Vassoigne...

Pour les véhicules civils, il existe un parking souterrain place Clémenceau à proximité de l’église.


Hommage aux 4 militaires assassinés en Afghanistan , mardi, à 11h30, pont Alexandre III

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Les honneurs militaires seront rendus mardi aux Invalides aux quatre militaires français assassinés par un soldat de l’armée afghane alors qu’ils faisaient du sport sur la base de Gwan.

Nos militaires assassinés étaient instructeurs de l’armée régulière afghane, notre alliée. Nous nous inclinons avec respect - rage contenue - devant leurs cercueils. Le cortège funèbre de nos camarades empruntera le pont Alexandre III entre 11.30 et 12.00. Suivra une cérémonie intime réservée aux familles et frères d’armes.

Le général Dary, Gouverneur militaire de Paris "invite le plus grand nombre d’entre nous à manifester leur hommage et leur solidarité avec nos héros morts dans l’accomplissement de leur mission au service de la France dans une présence digne, silencieuse et fraternelle sur le Pont Alexandre III à partir de 11h30".

- Adjudant-chef Sylvain Wilm du 93e Régiment d’artillerie de montagne de Varces.

- Adjudant-chef Denis Estin du 93e Régiment d’artillerie de montagne de Varces.

- Sergent-chef Svilen Simeonov du 2e régiment étranger de génie de Saint-Cristol

- Brigadier-chef Geoffrey Baumela du 93e Régiment d’artillerie de montagne de Varces.


Hommage aux Morts en Afganistan‏

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"Les anciens combattants de l'Hérault solidaires avec les OPEX"


Hommage au major El Gharrafi, au sergent-chef Zingarelli, au major Willm, au major Estin, à l'adjudant Siméonov et au maréchal des logis  Baumela.

Mardi 14 février 2012 à 14H00

Monument aux morts de toutes les guerres de la ville de Montpellier.


Les membres du conseil départemental pour les anciens combattants et victimes de guerre et la mémoire de la Nation, les associations et amicales du monde combattant,  de mémoire et de citoyenneté de l'Hérault, sont conviés à rendre un ultime hommage à leurs six frères d'armes décédés en Afghanistan.

Rendez vous est donné à toutes et tous et notamment à nos porte drapeaux pour 14 heures au monument aux Morts de toutes les guerres de Montpellier.

Une minute de silence sera respectée à la mémoire du major El Gharrafi, du sergent-chef Zingarelli, du major Willm, du major Estin, de l'adjudant Siméonov et du maréchal des logis  Baumela.

Monsieur le préfet de l'Hérault, qui a donné son accord pour cette cérémonie, a demandé à la directrice du Service départemental de l'Office National des Anciens Combattants et Victimes de Guerre de le représenter. Le D.M.D. de l'Hérault sera présent.


In memoriam

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Agé de 34 ans, le sergent-chef Svilen SIMEONOV avait rejoint les rangs de la Légion étrangère il y a près de 10 ans.

Souscrivant un premier contrat de 5 ans le 12 septembre 2001, il effectue sa formation initiale au 4e Régiment étranger de Castelnaudary où il se fait remarquer d'emblée par sa forte motivation.

Il choisit alors d'intégrer le 2e Régiment étranger de génie de Saint-Christol le 7 février 2002.


Dès son arrivée au régiment, il montre de réelles qualités de soldat et confirme sa volonté de progresser en réussissant pleinement les stages de formation initiale à la fonction de sapeur de combat et de démineur. Toujours volontaire et discipliné, il donne entièrement satisfaction et est élevé à la distinction de 1ère classe le 1er août 2002. Parfaitement intégré dans sa compagnie et maîtrisant tous les savoir-faire du sapeur d'assaut, il est naturellement désigné pour suivre la formation générale élémentaire et est nommé caporal le 1er février 2004.

Ses réelles qualités de sapeur légionnaire de montagne lui permettent d'être nommé sergent le 1er novembre 2005, puis d'être promu sergent-chef le 1er juillet 2009.


Le sergent-chef SIMEONOV a effectué une mission de courte durée en Guyane française en 2004, deux opérations extérieures en 2007 (en Afghanistan au sein de l'opération PAMIR et en République de Côte d'Ivoire au sein de l'opération LICORNE) et des missions de renforts temporaires à l'étranger en République de Djibouti en 2003, 2006 et 2009.

De nouveau présent en Afghanistan depuis septembre 2011 au sein d’une équipe OMLT (Operational mentoring and liaison team, équipe de conseillers intégrée au sein d’un bataillon afghan), le sergent-chef SIMEONOV, ainsi que trois de ces camarades, a été tué lors d’un entraînement physique sur la base avancée de Gwan, dans le sud de la Kapissa, par un soldat de l’armée nationale afghane. Une quinzaine de soldats français blessés ont été immédiatement pris en charge. Le soldat afghan a été rapidement arrêté par les éléments d’alerte.

Le sergent-chef SIMEONOV est détenteur de la médaille d'argent de la Défense nationale avec agrafe « Légion étrangère » et « troupes de montagne », de la médaille d'outre-mer avec agrafe « Côte d'Ivoire », de la médaille commémorative française avec agrafe « Afghanistan », du titre de reconnaissance de la nation et de la médaille commémorative OTAN non article 5 avec agrafe « ISAF ».

Marié et père d'un enfant, le sergent-chef SIMEONOV a été tué dans l'accomplissement de sa mission au service de la France.


AFGHANISTAN : 4 SOLDATS TUES DONT UN DE LA LEGION ETRANGERE

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20-01-2012


Parmi les quatre militaires de l'armée de Terre tués par un soldat de l’armée afghane, figurait un sous-officier du 2e régiment étranger de génie (2e  REG) de Saint-Christol.

Le 20 janvier, en début de matinée, un groupe de soldats français qui effectuait une séance d’entraînement physique sur une base militaire en Kapisa a été attaqué par un soldat de l’armée afghane qui a ouvert le feu avec une arme automatique.
Une vingtaine de militaires français ont été touchés : 4 sont décédés, une quinzaine sont blessés dont 8 sont dans un état grave. Immédiatement, des hélicoptères français et américains ont décollé pour évacuer les blessés. Ces derniers sont  actuellement pris en charge à l’hôpital militaire français de Kaboul et à l’hôpital militaire américain de Bagram.
Sur la base avancée de Gwan, dans le Sud de la Kapisa, où s’est déroulée l’attaque, le soldat afghan qui a tiré sur les soldats français a pris la fuite. Il a été rapidement intercepté par les éléments en alerte.
Les soldats tués et blessés dans cette attaque appartenaient à une OMLT, une équipe de conseillers insérée au sein d’un bataillon afghan. Trois des militaires tués appartenaient au 93e  régiment d’artillerie de montagne de Varces, il s’agissait de deux sous-officiers adjudants-chefs et d’un militaire du rang caporal-chef. Le dernier était un sous-officier, sergent-chef du 2e régiment étranger de génie de Saint-Christol.

Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense et des anciens combattants.

Afghanistan : 4 militaires français tués par un soldat afghan

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Quatre militaires de l'armée de Terre ont été tués par un soldat de l’armée afghane. 3 étaient issus du 93e  régiment d'artillerie de montagne (93e  RAM) de Varces, le 4e  venait du 2e  régiment étranger de génie (2e  REG) de Saint-Christol.

Le 20 janvier, en début de matinée, un groupe de soldats français qui effectuait une séance d’entraînement physique sur une base militaire en Kapisa a été attaqué par un soldat de l’armée afghane qui a ouvert le feu avec une arme automatique.

Une vingtaine de militaires français ont été touchés : 4 sont décédés, une quinzaine sont blessés dont 8 sont dans un état grave.
Immédiatement, des hélicoptères français et américains ont décollé pour évacuer les blessés. Ces derniers sont  actuellement pris en charge à l’hôpital militaire français de Kaboul et à l’hôpital militaire américain de Bagram.

Sur la base avancée de Gwan, dans le Sud de la Kapisa, où s’est déroulée l’attaque, le soldat afghan qui a tiré sur les soldats français a pris la fuite. Il a été rapidement intercepté par les éléments en alerte.

Les soldats tués et blessés dans cette attaque appartenaient à une OMLT, une équipe de conseillers insérée au sein d’un bataillon afghan. Trois des militaires tués appartenaient au 93e  régiment d’artillerie de montagne de Varces, il s’agissait de deux sous-officiers adjudants-chefs et d’un militaire du rang caporal-chef. Le dernier était un sous-officier, adjudant-chef au 2e  régiment étranger de génie de Saint-Christol.

A ce jour, 82 soldats français sont morts en Afghanistan.

Le 29 décembre dernier, deux soldats français avait été tué par un militaire afghan pendant une opération et qui avait délibérément ouvert le feu sur les soldats français.

Ce jour, le président de la République, a dénoncé cette attaque contre les forces françaises et a annoncé des mesures d’urgence pour assurer la sécurité des soldats français : d’une part la suspension des actions de formation et d’aide au combat au profit des forces afghanes et d’autre part l’envoi du ministre de la défense et du chef d’état-major des armées en Afghanistan pour faire un point complet sur la situation, avec les autorités civiles et militaires afghanes, avec nos soldats.
 
Sources : EMA
Droits : Ministère de la Défense et des anciens combattants

Page 30 sur 31

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