Ne voulant pas limiter son indignation à son seul cercle de camarades, il a rédigé une « supplique à un ami journaliste », avant de nous l’envoyer.
Écrite sous la tente de son poste de Tora, cette lettre traduit la passion de servir mais aussi la lucidité de ceux qui acceptent de tout donner pour leur pays. Comme beaucoup, notamment parmi les plus jeunes, ce capitaine courageux redoute la montée de l’indifférence à l’arrière...