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Légionnaire toujours...

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2012




Afghanistan, fin de mission

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Un reportage de Florence Lozach, Annie Tribouart et Marie Cazaux, à découvrir Jeudi 22 Novembre sur France 2 en première partie de soirée.

Le vin des Grognards de la Légion étrangère

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Par Jean-Dominique Dalloz - Photos José Nicolas - 3 Novembre 2011.

Domaine Capitaine d'Anjou à Puyloubier, Institution des Invalides de la Légion étrangère mais aussi vignoble reconnu.
Au Domaine Capitaine d'Anjou à Puyloubier, les anciens de la Légion racontent leurs aventures.
Les anciens de la légion pratiquent nombre d'activité au domaine Capitaine d'Anjou à Puyloubier.

Sur les pentes de la montagne Sainte-Victoire, les pensionnaires de l’Institution des Invalides de la Légion Etrangère veillent sur 40 hectares de vignes, dont ils tirent un vin connu aux quatre coins du monde.

Au pied de la Montagne Sainte-Victoire, le Domaine Capitaine d'Anjou à Puyloubier, est un lieu magnifique et un vignoble à tester !
Au moment des vendanges, les anciens de la légion accueillent petits et grands.
Domaine Capitaine d'Anjou à Puyloubier produit un vin qui se consomme (avec modération) dans le monde entier.

C’est une journée de septembre un peu particulière. Des légionnaires du régiment d’Aubagne arpentent les vignes chargées de raisin de ce coteau sud de la montagne Sainte-Victoire. Mais pour les grandes manœuvres du jour, point d’uniforme et encore moins d’armes. Ils sont venus en famille donner un coup de main aux pensionnaires de l’Institution des Invalides de la Légion Etrangère, à l’occasion du premier jour des vendanges.
Installée depuis 1953 à Puyloubier, cette maison de retraite pour les « gueules cassées » de la Légion prodigue bien sûr les soins nécessaires aux pensionnaires, dont l’aîné vient de fêter ses 91 printemps. Mais l’Institution veille également à faire pratiquer aux anciens soldats des activités variées, selon leurs aptitudes. Ainsi, le travail de la vigne occupe une partie d’entre eux tout au long de l’année, avec en point d’orgue cette belle journée durant laquelle se mêlent les générations. Ici un « ancien » montre à une jeune recrue le maniement du sécateur, là un Légionnaire père de famille trie les grappes, son bébé confortablement installé dans un sac-kangourou, le nez dans le raisin… Au cœur de l’appellation Côtes de Provence, le vignoble de l’Institution bénéficie à la fois du climat propice à la conduite de la vigne, d’un ensoleillement exceptionnel et de la bienveillance de quelques-uns des 90 grognards retraités de la Légion. Au terme des vendanges, la vinification est faite à la cave coopérative de Puyloubier, qui propose une cuvée spéciale baptisée « Esprit de corps ». Un vin aux arômes tout en puissance, avec des notes épicées bien sûr... Au total, ce seront cette année encore près de 220.000 bouteilles qui seront produites, pour être ensuite commercialisées via le site internet de la boutique de la Légion étrangère.

Une bonne part est réservée pour les tables de tous les régiments de ce célèbre corps d’armée, en France comme à l’étranger.

Les étiquettes des vins du Domaine Capitaine d'Anjou sont une invitation au voyage.

Voici venue la fin de la journée. Dans les vignes, les hommes et leurs familles sont fourbus. Le soleil décline, inondant de ses derniers rayons la façade d’albâtre de la montagne Sainte Victoire. Contrairement à la chanson, cette fois, personne ne sent le sable chaud. Mais tous, anciens d’Indochine ou d’Algérie, jeunes légionnaires, femmes de militaires et enfants affichent de beaux et grands sourires.

Domaine Capitaine d'Anjou à Puyloubier, Institution des Invalides de la Légion étrangère Française.

Rendez vous le 23 novembre au Fort de Nogent

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A l'invitation de la Légion étrangère et de son patron, le général Christophe de Saint Chamas , l' Association des Journalistes de Défense tiendra cette année son assemblée générale au Fort de Nogent le vendredi 23 novembre.

A quelques mois du 150e anniversaire de la bataille de Camerone, que la Légion fêtera avec fastes et solennité le 30 avril prochain à Aubagne, ce sera l'occasion pour nous tous d'aller à la rencontre de ces «étrangers au service de la France» qui trouvent à la Légion «une seconde famille» et de mieux connaître ou redécouvrir les valeurs emblématiques de ce corps d'élite unique dans l'armée française.

«La Légion, beaucoup en parlent, mais peu la connaissent», souligne à juste titre le général de Saint Chamas dans un très beau numéro de «Spectacle du monde» qui en septembre n'aura échappé à aucun spécialiste des questions de Défense.

Avec l'ensemble du bureau de l'AJD - qui devra être renouvelé cette année pour un nouveau mandat de deux ans - je vous donne donc rendez-vous le 23 novembre au Fort de Nogent. Et comme nous nous retrouverons au sein d'un des principaux centres de recrutement de la Légion, je vous invite d'ici là non à vous engager, bien sûr, mais à recruter chacun autour de vous un ou deux confrères qui s'intéressent à ces questions et ne nous ont pas encore rejoints.

Car - pour rester vivante, représentative et dynamique dans une profession en pleine mutation - l'AJD doit en effet se renouveler et se rajeunir sans cesse. Et l'AG du 23 peut être un excellent premier contact pour tous ceux qui n'ont pas encore osé franchir le pas.

La matinée sera consacrée à un échange professionnel et convivial avec l'ensemble des principaux communicants de Défense qui ont répondu présents.

Ceux de la DICOD, bien sûr, de l'EMA, du GMP, de l'ECPAD et des patrons des différents SIRPA : Terre, Air, Marine, Gendarmerie et Service de Santé

Après une rapide visite du Fort et de ses lieux historiques, un grand déjeuner servi dans de magnifiques salles voutées réunira tout le monde autour du Commandant de la Légion qui s'adressera à nous.

Deux heures à huis clos seront ensuite consacrées à la vie interne de l'AJD pour approuver le rapport moral et le rapport financier de nos activités 2012, qui vous seront présentés, et débattre en toute liberté de nos projets futurs et de vos suggestions nombreuses et constructives, avant d'élire le bureau 2012-2014 et votre nouveau Président. En gardant toujours présent à l'esprit pour l'ensemble de nos travaux la si belle devise de la Légion : «Honneur et Fidélité».

Venez donc nombreux avec des idées nouvelles et - pourquoi pas ? - des rêves et des espoirs... Mais pour la bonne organisation de cette journée exceptionnelle, ayez l'obligeance de vous inscrire le plus tôt possible. D'avance, merci à tous.

Bruno Fanucchi,
Président de l’AJD


Harpicide

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Premier épisode des aventures de Luc Mandoline.

Un polar « aventurier » dont l’action se déroule Guyane.

Un légionnaire s’est fait Tuer lors d’une mission Harpie. Le chef de corps du 3e RIE fait appel à Luc, ancien de ce régiment, afin de s’occuper du défunt, et surtout de faire la lumière sur cette affaire. Et pour cela Luc à carte blanche, ce qui n’est pas pour lui déplaire.

Nous voici plongé dans l’univers de l’orpaillage clandestin, de sa violence, des garimpeiros et de la prostitution. Un roman sans concession, violent et réaliste.

Michel Vigneron à mis toute la verve qui le caractérise dans l’écriture de cet opus de l’Embaumeur.

« Dans la forêt amazonienne, personne ne vous entend hurler »

 

Pourquoi ce livre ?

Il s’agit du premier d’une série L’embaumeur où chaque tome sera écrit par un auteur différent ! Je trouve le concept extrêmement sympa, ça permet de varier les plaisirs (tel auteur plus noir, tel auteur plus réaliste, untel plus porté sur l’humour) et déjà ça me parle. Ensuite, j’ai trouvé l’idée de mettre en scène un embaumeur original, peu commune, et ça va mettre du renouveau dans la catégorie polar ! En plus, la description de Luc fait qu’on s’attache déjà à lui avant de l’avoir rencontré ! Look :

Luc Mandoline est thanatopracteur. Embaumeur, si vous préférez. Son job consiste à préparer les défunts.
Luc ne voulait pas forcément faire ce métier-là. Longtemps, il a voulu être médecin légiste. Durant sa scolarité, il dévore les manuels, romans et biographies sur le sujet, mais son caractère bien trempé et son refus viscéral de l’autorité lui valurent l’exclusion de plusieurs établissements scolaires. Oubliée, donc, la fac de médecine. Et pour couronner le tout, ulcéré par ses renvois à répétition, son père le fait rentrer dans l’entreprise familiale, plus question de faire le con à l’école.

C’est là qu’il va passer son CAP de serrurier. Mais même avec son père, l’entente n’est pas au top. De coup de gueule en coup de gueule, Luc claque la porte et part s’engager la légion étrangère pendant huit années, faisant sienne la devise « NE PAS SUBIR « .
Huit années aussi sans voir Élisa, sa confidente, son amour platonique, huit années sans se voir mais pas une semaine sans s’écrire, tout comme avec il n’a jamais rompu le contact avec Alexandre et Max, ses potes de toujours.
C’est en se liant d’amitié avec un autre camarade légionnaire, Sullivan, qu’il découvre la thanatopraxie. Sullivan a prévu de se reconvertir dans le milieu du funéraire à sa sortie de la légion. Luc s’engage dans la même voie que son ami.
Ces huit années ont quelques peu calmé son côté rebelle. Il réussit à trouver un directeur de pompes funèbres qui l’accueille, et lui fait passer tous les diplômes de la profession. Mais une fois de plus, la trêve est de courte durée : il claque la porte et décide qu’il n’est pas fait pour être commandé. Seulement, monter sa propre entreprise, gérer son personnel, ça ne le tente pas non plus, alors que faire ?
S’il est une chose qu’il a retenue, c’est que ses collègues ont beaucoup de mal à prendre des vacances, car trouver un remplaçant n’est pas chose aisée. Or lui est totalement polyvalent dans le funéraire, il a tout fait, même conducteur de four… Il décide donc de remplacer les copains.
Il bosse quand il veut, et comme dans le bon vieux temps, il voit du pays.

Emouvante cérémonie du 2 Novembre 2012 au "Carré Légion N° 48 "

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Friday, 02 November 2012

Une émouvante cérémonie a eu lieu le 2 Novembre 2012 au carré Légion N° 48 (cimetière Saint Pierre de Marseille)

sous la présidence d’honneur du Général de division (2S) Bernard GOUPIL, ancien Commandant de la Légion étrangère (COM.LE) président du comité d’éthique de la F.S.A.L.E. et de l’AACLEM et membre d’honneur en présence de Monsieur Jacques VISCONTI représentant Monsieur Guy TEISSIER, député-maire du 9e et 10e arrondissement de Marseille. Le Capitaine de MENTHON, accompagné d’une délégation des Sous-officiers et Légionnaires représentait le Général Christophe de SAINT CHAMAS, commandant la Légion étrangère en présence du Colonel (er) André FRANZ du Maitre Principal (h) Philippe CHOVET, président de l’A.C.O.M.A.R. et de Monsieur Robert PILLOT, président des Anciens Combattants de moins de 20 ans.

Le piquet d'honneur et les porte-drapeaux prenaient place ainsi que les participants.

A 9 h 00 les consignes préalables étant données par le président de l’AACLEM, la cérémonie démarrait à 9 H 15 par le dépôt des urnes du Légionnaire Marcel LECLERCQ membre d'honneur de l'AACLEM.

Monsieur ALain LECLERQ remet l'urne de son père

Du Légionnaire Jean JATIVA ancien porte-drapeau de l'AACLE de Marseille, Monsieur Robert PILLOT accompagné de Monsieur Gaston ROZAT déposait la plaque de l’association des anciens combattants de moins de 20 ans.

Madame Germaine JATIVA accompagné de son fils, Gaston ROZAT et Robert PILLOT

Le Lieutenant-colonel (er) Constantin LIANOS et Monsieur Jacques VISCONTI déposaient ensuite la gerbe de l’AACLEM suivie de celle de la Légion étrangère par le Général GOUPIL et le Capitaine de MENTHON.


La sonnerie aux morts sous un soleil radieux a été jouée par le clairon de la Musique de la Légion étrangère et par Monsieur Michel-Eugène SOUMECHKO, fils de Légionnaire, ancien du conservatoire de Marseille.

Le piquet d’honneur du 1er Régiment étranger présentait les armes dans une tenue impeccable.


Le président remerciait tous les participants et en particulier les porte-drapeaux, les familles de Jean JATIVA et Marcel LECLERCQ leur demandant de garder le contact avec l’association et tous les membres de l’A.A.C.L.E.M. en donnant à ces derniers les informations pour les activités de Novembre et Décembre 2012.

Avant de partir les autorités saluaient les porte-drapeaux.

Un paquet de Gauloises... en colère.

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Cérémonies 1° novembre 2012 la Balme les Grottes.

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Petit Poucet à 4 pattes...

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cet ânon était perdu dans une zone désertée. Un Harki compatissant s'est empressé de l'adopter. Fier et digne, ce compagnon imprévu accepte de bonne grâce le renversement des rôles.

Combattants sans passé,

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de Robert Markus, Légionnaire au service de la France

Par France Presse Infos


Légionnaire, Robert Markus décrit ouvertement ses expériences et pensées au cours de ses cinq premières années de service dans la légendaire Légion Étrangère.
 
Au cours de sa carrière détaillée qui l'a conduit dans diverses missions à travers le monde, il vous présente également certains segments de la riche histoire de cette Famille unique qui vit avec la devise « Legio Patria Nostra ».
 
Les aventures du Légionnaire dans « l'Armée de mauvaise réputation » ne vous laisseront pas indifférents ! Un début brutal qui mène bien des candidats à un surpassement de soi constant pour, au final, ne maintenir dans les rangs que des vrais combattants.
 
Robert MARKUS a rejoint la Légion Étrangère le 21 juillet 1993. En tant que jeune Légionnaire, il a été affecté au 2e REP, puis à la 13e DBLE, au 4e RE et au 2e REI. 
 
En 1995, il est devenu caporal et sergent en 2001. Il a passé quinze ans à la Légion et participé à des missions au Tchad, en République centrafricaine, Bosnie, Gabon, Congo, Qatar et Kosovo.




Le mot de l’auteur

« Je vous demande une petite faveur : prenez une minute et parlez de mon livre à tous vos contacts sur les réseaux sociaux et par e-mail et demandez-leur en même temps de faire le même geste. 
 
Je suis auto-éditeur et je m'occupe tout seul de la publicité. Faites circuler le mot au maximum. Je vous remercie avec un grand MERCI. Amitiés, Robert »
 
 

Entretien des tombes militaires à Madagascar

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Bonjour,

et merci pour la publication; le reportage sur les enfants du soleil mérite d’être connu, il trouvera sans le moindre doute un avis favorable.
Il fait encore frais à Tana, ce qui change de Diégo… Demain Nairobi, nuit sur place et ensuite l’enfer RDC qui attire tout de même.

Amitiés.
YG


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Traduction

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