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Légionnaire toujours...

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2017




Hommage au légionnaire Goran Franjkovic à Subotica

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https://rs.ambafrance.org/

20/11/2017

 

Le 14 novembre, une délégation de l’Ambassade s’est rendue à Subotica pour rendre hommage au légionnaire de 1e classe Goran Franjkovic, mort au combat au service de la France en Afghanistan le 14 novembre 2011.

Cette année, la cérémonie a été rehaussée par la présence de deux légionnaires du 2e Régiment étranger de génie, unité de la Légion Étrangère située à Saint-Christol (Vaucluse) et où servait Goran Franjkovic.

Après avoir été accueillie par la famille, la délégation a assisté à une messe en mémoire du défunt puis s’est rendue au cimetière de la ville. Au nom de l’Ambassade de France, M. Maxime Reynaud, 1er secrétaire, et le lieutenant-colonel Philippe Delsol, attaché de défense, ont déposé une gerbe sur la tombe du légionnaire Franjkovic.

Dans son allocution, l’attaché de défense a souligné le caractère particulier et l’importance de cette cérémonie en raison de la présence de deux légionnaires, pour la première fois depuis 2011, aux côtés de leur camarade mort dans l’accomplissement de sa mission au service de la France.


Polynésie : des églises au milieu du lagon.

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17:30


Meilleurs voeux des iles GAMBIER

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André Genet parrain de la dernière promotion du SSA

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https://ainsi-va-le-monde.blogspot.fr/

vendredi 1er décembre 2017

 


La promotion 2016 de l’école de santé des armées (SSA, Lyon), soit 100 aspirants médecins et 4 aspirants pharmaciens, portera le nom d’André Genet. Du nom d’un médecin, Compagnon de la Libération (1943), qui a rejoint les Forces Françaises libres en 1940 après avoir participé à l’expédition de Norvège (printemps 40). Ce fils d’ophtalmologiste est alors affecté à la 13ème Demi-brigade de Légion étrangère. Blessé au bras lors de la sortie de vive force de Bir-Hakeim (10-11 juin 1942), le capitaine Genet participera ensuite aux campagnes de Tunisie, d’Italie, de France. Grièvement blessé en Alsace, le 23 janvier 1945, il décèdera dix jours plus tard.


LAUDUN-L’ARDOISE En images : la Légion étrangère célèbre Ste-Barbe

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https://www.objectifgard.com/

1 décembre 2017


Qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige, la traditionnelle cérémonie de la Sainte-Barbe, du nom de la Sainte patronne des légionnaires, se tient à chaque début du mois de décembre. Cette année, c’était ce vendredi au quartier général Rollet du 1er Régiment étranger de génie de l’Ardoise, sous la neige.

Si la fête est immuable, son ordre du jour l’est aussi, avec sa traditionnelle prise d’armes avec revue des troupes en présence des élus, la lecture de l’ordre du jour par le général Nicol, commandant la 6e BLB, la remise de décorations, le défilé et la remise des décrets de naturalisation.

Dans son discours adressé aux troupes du 1er REG, le général Nicol a évoqué « cette pause dans le rythme effréné de l’entraînement pour revenir à la symbolique de votre métier de sapeur » avant de voir en la célébration de Sainte Barbe « une détermination sans faille, un courage et une abnégation face au mal », autant de qualités requises dans la Légion étrangère.

Lors du défilé de la Sainte-Barbe, ce vendredi matin au 1er REG de la Légion étrangère, à l'Ardoise (Photo : 1er REG)

Se faisant plus virulent après avoir évoqué les risques inhérents aux missions des légionnaires, le général fera une allusion à la lutte contre le terrorisme islamiste en lançant aux troupes « vous devez aider vos ennemis qui se rêvent en martyrs à réaliser leur dessein morbide. »

Douze légionnaires ont été décorés lors de la cérémonie (Photo : 1er REG)

La cérémonie s’est poursuivie avec la remise des décorations : une croix de la valeur militaire à l’adjudant Z., spécialiste du déminage engagé en Irak en 2016 et qui est intervenu sur un véhicule suicide chargé de plusieurs tonnes d’explosifs ainsi que sur la destruction d’une dizaine de mines antichars ; et onze médailles d’or de la défense nationale avec étoile de bronze pour des légionnaires engagés en Guyane, au Mali ou en République Centrafricaine.

Après le défilé, sept décrets de naturalisation ont été remis à des cadres et légionnaires du régiment.


Le drapeau du 11ème REI

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https://ainsi-va-le-monde.blogspot.fr/

dimanche 26 novembre 2017

 

Le drapeau du 11e Régiment étranger d’infanterie sera-t-il remis au Groupement de recrutement de la Légion étrangère, le 30 avril prochain lors de Camerone 2018 ? Tout au moins le nouveau drapeau, en cours de fabrication.

Le chef d’état-major de l’armée de terre (CEMAT), par décision du 10 mars dernier a, en effet, confié sa garde au GRLE (Fort de Nogent, 94).

Le 11e REI a eu une existence extrêmement brève. Créé dans l’urgence en  novembre 1939, il est intégré, au mois d’avril suivant, à la 6ème division d’infanterie nord-africaine (DINA) où il est chargé d’interdire l’avance allemande.

Le 18 juin, le PC du chef de bataillon Clément, son troisième et dernier chef de corps, est installé dans le bureau de poste de Saint-Germain-sur-Meuse (Meuse). L’encerclement est imminent. Il est 20h30. Le régiment a ordre de tenir la position jusqu’à 22h. Afin d’éviter que le drapeau ne tombe dans les mains des Allemands, le commandant prend la décision de le brûler. Ce qu’il fait avec un légionnaire, en présence de neuf officiers et sous-officiers. Mais la cravate tricolore est, elle, confiée à un lieutenant qui doit la porter au général de Verdilhac (6e DINA) pour le prévenir du sacrifice du régiment. Finalement, celle-ci est enterrée (avec le fanion, semble-t-il) au pied de l’église de Crézilles (Meurthe-et-Moselle). Elle sera récupérée par une infirmière en 1941 qui lui fera passer la ligne de démarcation et la rendra à la Légion.


Le lieutenant-colonel Sabljic commandeur de l'ordre national du Mérite

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https://ainsi-va-le-monde.blogspot.fr

mardi 21 novembre 2017


Engagé en 1974 à la Légion étrangère, le lieutenant-colonel Sabljic, promu aujourd'hui commandeur de l'ONM, servit dans tous les grades, de militaire du rang et de sous-officier -y compris celui de major- au 2ème Régiment étranger de parachutistes (REP, Calvi). Ce croate d'origine participa, en 1978, à l'opération Bonite à Kolwezi, l'une des très nombreuses missions extérieures accomplies par ce képi blanc qui termina sa carrière en 2012, comme adjoint au chef de la DSPLE (division statistique et protection de la Légion étrangère). Quelques semaines après avoir quitté le service actif, Zlatko Sabljic devint directeur de la Maison du légionnaire, fondée par le général Rollet en 1934. Officier de la Légion d'honneur, il avait été choisi en 2014 par le COMLE (général commandant la Légion étrangère) pour porter la main du capitaine Danjou.


Thomas Misrachi ("Embarqué") : "J'ai perdu la sensibilité de mes deux gros orteils"

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https://www.ozap.com/

publié par Mardi 21 Novembre 2017

puremedias.com a rencontré le journaliste de BFMTV à l'occasion de la diffusion ce soir de son docu-réalité sur RMC Découverte.

Des plateaux télé à l'enfer de la forêt équatoriale. Ce soir, à 20h50, Thomas Misrachi sera au coeur d'un nouveau numéro de son docu-réalité "Embarqué" sur RMC Découverte, baptisé "Guyane, le stage de l'enfer". Sous les ordres du troisième régiment étranger d'infanterie, le régiment le plus décoré de la Légion étrangère, le journaliste de "7 Jours BFM" a dû apprendre à résister aux conditions climatiques harassantes et renoncer à toute notion de confort.

Lâché en pleine forêt amazonienne avec des stagiaires de l'école Saint-Cyr, fatigué, désorienté, sans eau ni nourriture, il a dû survivre en autonomie totale pendant quatre jours. A l'occasion de la diffusion de ce numéro d'"Embarqué", puremedias.com a interviewé le présentateur du groupe NextRadioTV.

puremedias.com : Pourquoi avoir choisi ce stage que vous qualifiez vous-même d'enfer ?
Thomas Misrachi :
La Guyane correspondait au format de l'émission pour plein de raisons. Il y avait un groupe. Il y avait une histoire du début jusqu'à la fin. Il y avait un lieu très dur. Puis, il y avait ce challenge incroyable de réussir ce stage dans les mêmes conditions que les soldats. Toutes les conditions étaient réunies, on a décidé de partir en Guyane.

Que voulez-vous montrer aux téléspectateurs à travers cet "Embarqué" ?
Ce qu'on veut montrer, c'est que le métier de militaire, c'est un métier d'aventure hors du commun. Le fait d'avoir un civil comme moi qui n'a aucune aptitude physique - je suis un peu un naze et un pied-nickelé dans l'aventure -, ça montre le degré de difficulté de ce genre de métier.

Vous vous en êtes bien sorti tout de même.
Ouais, mais j'ai eu beaucoup de chance. Je m'en sors bien aussi parce qu'il y a la force du collectif. Ce sont des choses qui sont impossibles pour moi si je n'étais pas entouré de ces gars et de cette fille. Tout ce qu'ils arrivent à faire, c'est faisable seulement parce qu'il y a cet esprit de groupe.

Ils ont dit
"Quand vous voyez les obstacles, il n'y a pas un seul moment où vous vous dîtes que vous allez y arriver."
Thomas Misrachi

Dans le reportage, vous êtes avec des stagiaires qui jouent leur carrière au sein de l'armée. N'aviez-vous pas la pression ?
Cela faisait partie des pressions que j'avais. Sur l'un des parcours du combattant en groupe, j'étais crevé. Et cette pression m'a aidé à me mobiliser, car je me disais que je ne voulais pas les pénaliser comme ça. Si je passe à côté de mon obstacle, eux, ça n'affectera pas leur note. Mais comme on est dans une dynamique de groupe, s'ils voient un mec qui est naze, qui a 46 ans, qui n'est pas sportif et qui arrive à passer le truc, c'est un élément de motivation pour eux. Si le vieux y arrive, eux aussi.

Vous êtes-vous surpris dans certaines épreuves ?
On se surprend constamment dans des épreuves comme ça. Je n'avais jamais fait de parcours du combattant comme ça avant. C'est dans la boue. Il fait chaud. Vous êtes crevés. Vous bouffez mal. Vous ne dormez pas. Quand vous voyez les obstacles, il n'y a pas un seul moment où vous vous dîtes que vous allez y arriver.

Ils ont dit
"Un moment, je me suis dit : 'Je m'en fous de la télé, je veux juste rentrer. J'en ai marre. Qu'est-ce que je fous là ?'"
Thomas Misrachi

Quelle a été votre plus grosse difficulté ?
Pour moi, ça a été la phase de survie pendant trois jours. On est restés isolés dans un bout de jungle. On ne savait pas où on était. Il faut survivre. On part sans rien. On nous enlève nos lacets et nos ceintures, pour qu'on ne fasse pas de pièges pour les animaux. Il faut pêcher, se prémunir contre les dangers de la jungle. Il faut monter des abris. Mais on n'a pas eu de bol, on a pêché cinq poissons pendant trois jours et on était 25. On a bu de l'eau salée, bouffé des coeurs de palmier. C'était horrible. Il pleuvait la nuit, on avait froid, nos abris n'étaient pas étanches. On dormait sur des rondins de bois. Pour moi, la survie, ça a été l'enfer.

Vous répétez souvent dans l'émission que vous êtes au bout du rouleau. Avez-vous envisagé d'abandonner l'aventure et de retourner à Paris ?
Oui, plusieurs fois. Durant la survie, au bout de deux jours, je n'en pouvais plus. Dès que je me levais, j'avais la tête qui tournait. Puis, vous savez que vous tournez une émission de télé, mais il y a la réalité qui vous rattrape. Un moment, je me suis dit : "Je m'en fous de la télé, je veux juste rentrer. J'en ai marre. Qu'est-ce que je fous là ?".

Ils ont dit
"Ca les emmerdait d'avoir une télé présente, ils n'étaient pas curieux de ce qu'on faisait..."
Thomas Misrachi

Durant votre aventure, vous avez aussi dû faire face à l'instructeur Horatiu, qui n'a pas été très tendre avec vous.
Ca l'emmerdait. J'étais un problème supplémentaire à gérer. Avoir un journaliste au milieu, qui ne va pas savoir faire les trucs, forcément, il n'était pas très content quand je suis arrivé. Mais dans chaque "Embarqué", il y a une rencontre. Et là, l'instructeur Horatiu, c'était un type génial. Il est d'origine roumaine, un légionnaire. Il avait mon âge, on se comprend. Mais c'est probablement une personne avec qui je n'aurais jamais parlé si je l'avais rencontré ailleurs. En dix jours, on a appris à se connaître, à échanger, il a fait un pas vers moi, j'ai fait un pas vers lui. C'est une rencontre extraordinaire et c'est un type avec qui je suis resté en contact depuis. C'est ça la magie de ces émissions.

Avec les stagiaires, c'était aussi compliqué au début.
Très dur jusqu'à la fin. Eux, ils avaient une notation. Cette note vaut pour les affectations et pour les métiers qu'ils vont faire après. Donc, ils voient arriver un vieux mec, avec deux réalisateurs, ça les fait chier et ça les perturbe. On les met en danger quelque part. C'était un challenge supplémentaire pour eux de m'avoir au milieu. Ca les emmerdait d'avoir une télé présente, ils n'étaient pas curieux de ce qu'on faisait...

Ils n'étaient non plus habitués à être face à une caméra.
Oui. Nous, on filme toujours des situations réelles. Il n'y a rien de scripté ou de scénarisé. Moi, je me suis lavé avec les soldats, j'ai mangé avec les soldats. Quand on va aux toilettes, on va aux toilettes ensemble ! Ces mecs qui sont dans la pire condition possible, d'un coup, on leur fout une caméra dans la gueule, sans leur demander ce qu'ils en pensent. Ils n'ont pas le choix. Forcément, je ne suis pas le bienvenu.

Ils ont dit
"J'ai perdu la sensibilité de mes deux gros orteils de pied. Je ne l'ai toujours pas récupérée."
Thomas Misrachi

Comment s'est déroulé votre retour en France ?
Le retour en France a été très dur pour moi. J'ai perdu six kilos pendant le stage. Pendant trois semaines, j'étais épuisé. Après, ce qui est génial, c'est que ces émissions, ça me donne une pêche incroyable. Le simple fait de prendre une douche chaude, c'est génial. Dormir dans un lit, c'est génial ! Ca me redonne un optimisme de la vie, des gens. Tout est super. Vous vous rendez compte de ce que vous pouvez faire à votre corps.

Vous êtes revenu avec des blessures ?
J'ai des blessures à chaque "Embarqué". Là, ce que j'ai ramené, j'ai perdu la sensibilité de mes deux gros orteils. Je ne l'ai toujours pas récupérée. Mes pieds ont moisi. Ca arrive souvent il paraît. Sauf qu'on m'avait dit qu'au bout de trois semaines, ça reviendrait. Après, c'est peut-être l'âge. Du coup, je peux me mettre un coup de couteau dans l'orteil. (rires) Au Mali, je m'étais arraché un ligament de la colonne vertébrale. A Djibouti, je m'étais pété une côte et déboîté un genou. Il se passe toujours un truc.

Ils ont dit
"La deuxième partie de l'année sera forcément plus dure pour '7 Jours BFM'."
Thomas Misrachi

Comment arrivez-vous à allier cette émission d'aventure avec le programme de plateau "7 Jours BFM" ?
Les deux sont complémentaires pour moi. Ce que j'adore à BFMTV, c'est que j'ai une belle équipe. Quand on a lancé "Embarqué", on s'est dit que je ne manquerai pas plus de quatre émissions par an. Je respecte ce contrat-là avec BFMTV. C'est le meilleur des deux mondes. Je suis présentateur télé à Paris, sur une émission qui est géniale et qui cartonne. D'un autre côté, je suis dans des situations où je ne pourrais jamais être. Je fais du vrai reportage, dans des conditions et dans des endroits incroyables à travers le monde. Si je sais que j'ai deux ou trois émissions par an un peu toniques, ça me permet de rester tranquillement dans mon petit fauteuil de présentateur le reste de l'année.

Dans ce fauteuil de présentateur, comment jugez-vous votre rentrée sur BFMTV ?
Pour l'instant, très bonne. On fait beaucoup mieux, au moins 10% de plus concernant l'audience chaque semaine par rapport à l'année dernière. La deuxième partie de l'année sera forcément plus dure, parce qu'on avait l'élection présidentielle l'an dernier. On avait cartonné. Je ne pense pas qu'on fera les mêmes chiffres. J'ai un plaisir fou à faire cette émission, elle a encore vocation à évoluer. On a plein d'idées. Puis, le week-end, ça s'est renforcé avec Philippe Gaudin ("Priorité au décryptage") et Apolline de Malherbe ("Et en même temps"). On a une vraie offre de week-end.

Ils ont dit
"Il faut se rappeler que même si on se félicite de faire des audiences extraordinaires, elles restent fragiles."
Thomas Misrachi

Avec l'écart d'audience dont BFMTV dispose face à LCI, CNews et franceinfo, est-ce que vous les considérez encore comme de vrais concurrents ?
Ce sont de vrais concurrents. Qui aurait imaginé en 2000 que LCI passe à côté de la disparition ? LCI était alors la chaîne d'info en France. Qui aurait imaginé il y a deux ans que CNews soit proche de la disparition aujourd'hui ? Personne ! Je me souviens que juste avant le début de la présidentielle, France Télévisions arrivait comme nouvel acteur, LCI revenait sur le gratuit. Nous, on se disait qu'il y avait quatre chaînes d'info et qu'on allait tous perdre du terrain. Qu'est-ce qu'il s'est passé ? Nous, on a récupéré une partie des téléspectateurs de CNews. France Télé a eu un démarrage plus compliqué que prévu. LCI progresse. Mais finalement, on se retrouve avec deux acteurs, c'est-à-dire BFMTV et LCI en deuxième position. Personne n'aurait pu le savoir, ça aurait pu partir dans l'autre sens. Je crois qu'il faut rester humble. Il faut se rappeler que même si on se félicite de faire des audiences extraordinaires et d'être bons, nos audiences restent fragiles. Quand on a de nouveaux concurrents, souvent, ils arrivent avec de nouvelles idées ! Puis, en face, ils ont de très bons journalistes, certains qui sont partis d'ici. Je pense à Pascale de la Tour du Pin, mais ils ont aussi David Pujadas, Adrien Gindre et Fabien Namias. On serait fou de ne pas regarder ce qu'ils font et de penser qu'ils sont loin derrière.

Pour vous, LCI est plus dangereux que CNews ?
Je ne sais pas qui est le plus dangereux. Je regarde ce qu'ils font au quotidien. Chacun représente un traitement de l'information différent. Pour l'instant, les gens ont acquis un réflexe BFMTV. C'est vrai. Maintenant, ce réflexe peut changer. On doit faire en sorte que ça ne change pas. Mais il faut garder la tête froide et regarder les autres avec respect et humilité.

Ils ont dit
"Si on ne me laisse plus travailler comme avant, il y a d'autres rédactions, il y a d'autres chaînes, il y a d'autres radios."
Thomas Misrachi

Le 9 novembre dernier, Altice, qui détient BFMTV, a annoncé une réorganisation de sa direction. Patrick Drahi a notamment repris les commandes de sa société en se nommant président du groupe. Est-ce qu'il y a eu une crainte au sein de la rédaction ?
Je parle en mon nom. La seule crainte que je peux avoir, c'est qu'un jour, mon téléphone sonne pour me dire : "Thomas, cette info, tu n'en parles pas". C'est ma seule crainte. Ca fait douze ans que je travaille dans ce groupe, ça ne m'est jamais arrivé. Oui, il y a des débats sur la façon dont on traite une info. Quand on me laisse travailler comme je travaille, ce qu'il se passe dans les nuages ou chez Jupiter, moi, je m'en fous. J'espère juste qu'il gère ce groupe le mieux possible. Je leur fais confiance, mais je leur demande aussi de me faire confiance. Si on ne me laisse plus travailler comme avant, il y a d'autres rédactions, il y a d'autres chaînes, il y a d'autres radios. On retrouverait du travail ailleurs. Je ne suis pas inquiet pour ça.


Nouveau format résolument« bleu horizon» pour l'Agenda Légion 2018

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https://www.legion-etrangere.com/

Entre semainier et bullet-journal

Une couverture semi-rigide, des angles arrondis, une fermeture à élastique et deux flots vert et rouge, présentent une nouvelle esthétique au format moleskine (cm 21x13). Bien plus qu’un simple agenda, il se compose d'une présentation de la Légion étrangère avec de nombreuses photos, d'un semainier laissant des espaces aux prises de notes, et d'un bloc note dédié à l’expression personnelle. L’éphéméride offre la lecture d'un florilège de citations autour du thème "Tu n'abandonnes jamais ni tes morts, ni tes blessés…

Plus ramassé, plus pratique, plus personnalisé, notre agenda nous accompagnera à chaque moment de cette année, voyageant dans nos poches et sacs, partant en opérations, reposant sur nos bureaux et devenant une extension de notre personnalité et de notre identité.

Vous pouvez, dès maintenant, le commander par voie postale ! (photo-bon-de-commande ci-dessous à imprimer). Les bénéfices des ventes sont exclusivement destinés au financement de la solidarité, et seront versés au Foyer d'Entraide de la Légion étrangère.

Également disponible à la vente dans l'espace-boutique du Musée de la Légion étrangère


Cérémonies à Calvi pour la commémoration de l'Armistice de 1918

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https://www.corsenetinfos.corsica/

Rédigé par (Jean-Paul-Lottier) le Samedi 11 Novembre 2017

Remise de décorations, lecture des messages, dépôt de gerbes au Monument aux Morts de Calvi et en mer et bénédiction ont marqué ce 11 novembre pour la commémoration de l'Armistice de 1918 en présence d'un piquet d'honneur du 2e REP de Calvi et de nombreuses personnalités

Bénédiction du Monument aux Morts de Calvi par l'Abbé Ange Michel Valery

Bénédiction du Monument aux Morts de Calvi par l'Abbé Ange Michel Valery

Le 11 novembre 1918 à 5h15 du matin, la signature de l'Armistice marque la fin des combats de la Première guerre Mondiale, la victoire des alliés et la défaite de l'Allemagne.
Une guerre qui sur le plan humain fut une immense catastrophe.
Malgré le temps qui s'est écoulé, le souvenir reste présent et c'est non sans émotion qu'au cours des cérémonies de commémoration hommage est rendu à ceux qui ont donné leur vie pour notre liberté.
Ce Samedi matin, à 9h30, en l'église Sainte Marie Majeure de Calvi, une messe du souvenir était célébrée par l'Abbé Ange-Michel Valery, archiprêtre de Calvi, en présence de plusieurs personnalités, au premier rang desquelles Ange Santini, maire de Calvi, Jérôme Seguy, sous-préfet de Calvi, le colonel Jean de Monicault, chef de corps du 2e REP de Calvi, Claude Deceuninck, président de l'Association des Anciens Combattants de Calvi-Galeria-Montegrosso...
A l'issue de la messe, les autorités civiles, militaires et religieuses rejoignaient le Monument aux Morts de la Ville où avaient pris place un piquet d'honneur du 2e REP de Calvi, une délégation d'anciens combattants et une délégation d'officiers et sous-officiers du 2e REP de Calvi ainsi que Jean-Toussaint Guglielmacci, adjoint au Maire de Calvi, Conseiller Départemental Calvi-Balagne, Pancrace Guglielmacci, Jean-Louis Delpoux, Marie Luciani, Didier Bicchieray, adjoints au Maire de Calvi, chef de Bataillon Olivier Burles, commandant la Compagnie de Ge Jeanine Maraninchi, officier (er) de l'Armée de l'air...
Le colonel Jean de Monicault décorait ensuite l'adjudant/chef Richard Geurin de la Médaille Nationale du Mérite, le Lieutenant-Colonel Christophe Tritscher et le légionnaire de 1ère classe Enguerrand Chevallier de la Médaille d'or de la Défense Nationale avec étoile de bronze.

Le message de l'UFAC
Lecture du message de l'UFAC était faite par une jeune fille. 
" Souvenons-nous des souffrances endurées par ces hommes, en ce printemps 1917, épuisés par les combats meurtriers de la Somme et la terrible offensive du plateau du Chemin des Dames. Souvenons-nous également de l'entrée en guerre des Etats-Unis, en ce même printemps 1917, dont nous commémorons, cette année, le centième anniversaire. La France salue avec respect et reconnaissance, la participation à la victoire de ces soldats américains, dont 126.000 laissèrent leur vie sur le sol de France. 
Dans ce même souvenir, unissons tous ces soldats de Métropole, d'Afrique, d'Outre-mer et des Pays alliés, qui ont également versé leur sang pour la France, une France qui sortira terriblement meurtrie de cette guerre :  1 400 000 morts, 740 000 invalides , 3 000 000 de blessés, des centaines de milliers de veuves et d'orphelins"
.

Jérôme Seguy, sous-préfet de Calvi donnait à son tour lecture du message de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d'Etat auprès de la ministre des Armées. 
Enfin, il était procédé au dépôt de trois gerbes par les Anciens Com&battants, la Municipalité à laquelle a été associé l'Abbé Ange-Michel Valery et les autorités militaires. < La cérémonie terminée, les autorités regagnaient le port pour prendre place  à bord d'un bateau de la Colombo Line et appareiller afin de rendre un hommages des disparus en mer.


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