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GRAND FORMAT. Une vie de légionnaire

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Publié le 24 juillet 2016

 

Ils ont entre 18 et 25 ans, viennent du monde entier et ont choisi de servir la France. Édouard Élias a partagé le quotidien des légionnaires du 2e régiment étranger d’infanterie, basé à Nîmes, qui compte aujourd’hui 1.300 hommes.

Salle d’honneur de la caserne, le 7 août 2015. Les jeunes volontaires se voient remettre, à l’issue de leur formation "technique", les insignes de leur régiment. Une cérémonie qui marque leur véritable entrée dans la Légion.

Salle d’honneur de la caserne, le 7 août 2015. Les jeunes volontaires se voient remettre, à l’issue de leur formation "technique", les insignes de leur régiment. Une cérémonie qui marque leur véritable entrée dans la Légion. (Édouard Élias)

Gare de Nîmes, le 14 août 2015. À l’intérieur du képi de ce jeune légionnaire, une photo de lui avec son amoureuse.

Gare de Nîmes, le 14 août 2015. À l’intérieur du képi de ce jeune légionnaire, une photo de lui avec son amoureuse. (Édouard Élias)

Pont du Gard, le 15 août 2015. Ce soldat, en visite sur le site du célèbre viaduc du sud de la France, symbole de l’antique civilisation romaine, est le premier Panaméen à intégrer la Légion étrangère.

Pont du Gard, le 15 août 2015. Ce soldat, en visite sur le site du célèbre viaduc du sud de la France, symbole de l’antique civilisation romaine, est le premier Panaméen à intégrer la Légion étrangère. (Édouard Élias)

Piscine municipale de Nîmes, le 25 août 2015. Les légionnaires s’entraînent avant le "meeting" qui, chaque année, commémore la bataille d’El-Moungar. Ce combat opposa, le 2 septembre 1903, des hommes de la 22e compagnie montée du 2e régiment étranger et des Berabers, des guerriers nomades du Sud marocain.

Piscine municipale de Nîmes, le 25 août 2015. Les légionnaires s’entraînent avant le "meeting" qui, chaque année, commémore la bataille d’El-Moungar. Ce combat opposa, le 2 septembre 1903, des hommes de la 22e compagnie montée du 2e régiment étranger et des Berabers, des guerriers nomades du Sud marocain. (Édouard Élias)

Camp d’entraînement, le 6 août 2015. La "corvée de chiottes" reste un grand classique en cas de sanction. Autre punition donnée aux "mauvais élèves" : des exercices physiques supplémentaires.

Camp d’entraînement, le 6 août 2015. La "corvée de chiottes" reste un grand classique en cas de sanction. Autre punition donnée aux "mauvais élèves" : des exercices physiques supplémentaires. (Édouard Élias)

Eglise Sainte-Baudile à Nîmes, le 29 avril 2015. Les militaires assistent à la messe dédiée à la bataille de Camerone, qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863.

Eglise Sainte-Baudile à Nîmes, le 29 avril 2015. Les militaires assistent à la messe dédiée à la bataille de Camerone, qui opposa une compagnie de la Légion étrangère aux troupes mexicaines le 30 avril 1863. (Édouard Élias)

Base militaire, le 30 avril 2015. Chaque année, pour l’anniversaire de la bataille de Camerone, les légionnaires peuvent faire venir leur famille dans le camp, exceptionnellement ouvert aux civils, et qui prend pour cette occasion des allures de fête foraine.

Base militaire, le 30 avril 2015. Chaque année, pour l’anniversaire de la bataille de Camerone, les légionnaires peuvent faire venir leur famille dans le camp, exceptionnellement ouvert aux civils, et qui prend pour cette occasion des allures de fête foraine. (Édouard Élias)

Nuit de Noël au camp, le 24 décembre 2014. La "famille" des légionnaires, c’est la Légion ! Les soldats sont donc contraints de rester à la base pour réveillonner tous ensemble.

Nuit de Noël au camp, le 24 décembre 2014. La "famille" des légionnaires, c’est la Légion ! Les soldats sont donc contraints de rester à la base pour réveillonner tous ensemble. (Édouard Élias)

Une pizzeria de Nîmes, le 12 août 2015. Ce légionnaire brésilien devra, avant de rentrer au camp, confier son téléphone à des amis. Les portables sont interdits durant les deux mois d’entraînement. Et, avant d’avoir cinq ans d’ancienneté, les légionnaires doivent porter leur uniforme, même quand ils sont en permission.

Une pizzeria de Nîmes, le 12 août 2015. Ce légionnaire brésilien devra, avant de rentrer au camp, confier son téléphone à des amis. Les portables sont interdits durant les deux mois d’entraînement. Et, avant d’avoir cinq ans d’ancienneté, les légionnaires doivent porter leur uniforme, même quand ils sont en permission. (Édouard Élias)

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