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Légionnaire toujours...

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2010




Pour le sourire d'une tortue 120410

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le lundi 12 avril 2010. 

 

 

Michel Didisheim nous offre un roman sensible sur la passion, rythmé par les événements marquants de la seconde partie du XXe siècle ; un roman qui se déguste comme un grand cru, on commence par en apprécier la finesse de l’écriture et le pétillant des réflexions, puis la structure de l’histoire et longtemps après l’avoir fini, on savoure toujours les émotions qu’il a fait naître.

Editeur : Alphée

roman de Michel Didisheim

Présentation de l’éditeur

Fin 1948, Conrad, un aristocrate allemand de 28 ans, vit une passion dévorante avec Valérie, la femme de son oncle de vingt ans son aînée. Amour sans avenir, elle décide de rompre. Anéanti, il rejoint l’Indochine. Prisonnier, alors que Valérie s’est suicidée, il découvre, en captivité, que sa bien-aimée avait un passé bien mystérieux. À sa libération, il n’aura de cesse, durant cinquante ans, d’enquêter pour comprendre. Forcé de jouer les espions, il est alors face aux énigmes de l’Histoire et à ses souvenirs...

Ce roman fait suite au tome I, Tu devais disparaître, inspiré d’une histoire véridique. Celle de l’arrière-petite-fille naturelle de la reine Victoria qui, abandonnée par ses parents, fut cachée dans une famille juive d’Europe Centrale. Ce deuxième opus, qui peut tout à fait être lu indépendamment du premier, nous offre une enquête romanesque au sein d’une fresque authentique et haute en couleurs. Entre roman d’espionnage et roman d’amour, cet ouvrage présente un magnifique arrière-plan historique sur tout le XXe siècle. Le lecteur est transporté dans toute la France, mais aussi en Allemagne, en Indochine, en Algérie, en Slovaquie, en Suisse et en Grande-Bretagne, poursuivant, avec Conrad, le mystère de Valérie...

La vérité sera-t-elle salvatrice ?

Michel Didisheim a publié aux éditions Alphée en 2008 : Tu devais disparaître... (Le roman d’une enfant royale cachée), dont cet ouvrage est la suite mais peut se lire tout à fait séparément du premier.

Avis d’Enora

Il y a longtemps que je n’avais pris autant de plaisir à dévorer un roman. D’abord à cause du livre lui-même, un bel ouvrage comme savent si bien le faire les éditions Alphée dont « la passion d’éditer » n’est pas un vain slogan. Ensuite, grâce à l’écriture de Michel Didisheim qui nous livre une fresque historique de la seconde moitié du XXe siècle, rythmée par les battements d’un cœur obsédé par la passion.

Ce cœur c’est celui du narrateur, Conrad Falkenrode. En 1948, à sa libération d’un camp soviétique, le jeune homme s’éprend de sa tante par alliance, Valérie, arrière-petite-fille naturelle de la reine Victoria, de vingt ans son ainée. Entre ces deux êtres assoiffés d’amour, naît une passion qui se doit de rester clandestine. Quand Valérie décide d’y mettre un terme, Conrad est tellement anéanti qu’il s’engage dans la légion étrangère sous le patronyme de Falk.

Plongé en pleine guerre d’Indochine, il est capturé et porté disparu. Les conditions de détention dans le camp communiste sont épouvantables et lui qui cherchait la mort, va trouver la force de survivre, dans l’espoir fou de revoir celle qu’il aime. Il sera libéré au prix d’un chantage – la révélation de la collaboration de Valérie avec les nazis durant la guerre - qui l’oblige à devenir espion de la RDA. Devenu agent double, il retourne chez lui pour y apprendre que celle qui occupe toujours son coeur, le croyant mort, a mis fin à ses jours.

Pendant plus de cinquante ans, Conrad mettra toute son énergie à découvrir le passé de Valérie et son rôle pendant la guerre. Bien que traversé par des moments de doutes, jamais il n’admettra s’être trompé sur la personnalité de la femme qu’il n’a cessé d’aimer. C’est cette enquête que Michel Didisheim nous invite à suivre, nous transportant tout au long du siècle dernier au cœur des événements les plus marquants, de l’Indochine à l’Allemagne, en passant par l’Algérie, Israël, la Slovaquie, la Hongrie et la Grande-Bretagne.

Merveilleusement écrit avec finesse et sensibilité, parfaitement documenté avec de nombreuses références historiques, cette histoire se lit à la fois comme un passionnant roman d’espionnage, les mémoires romancées d’un des derniers grands romantiques et un pamphlet sur l’hypocrisie humaine où l’on ne sait pas qui de Conrad ou de Michel Didisheim prête sa voix à l’autre.

Un véritable coup de cœur !


Les légionnaires de la 13° DBLE visitent l' USS NASSAU 110410

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11-04-2010

Le 31 mars 2010, le colonel (US) PETRONZIO, commandant la 24th MEU, a invité le colonel BURKHARD, chef de corps de la 13e Demi-brigade de Légion étrangère, le lieutenant-colonel STABLO, commandant en second, le lieutenant-colonel (ta) PUTZ, chef opération, ainsi que des cadres de l’Escadron de Reconnaissance et le major MARECHAL, président des sous-officiers, sur le bâtiment porte-hélicoptères USS NASSAU, bateau de commandement de la force expéditionnaire du Marine Corps en présence à Djibouti durant le mois de mars.
Après un vol sur l’appareil à voilure basculante V22 « OSPREY », croisement impressionnant entre l’hélicoptère et l’avion, les invités ont été accueillis selon la tradition de la NAVY sur le bâtiment avant de prendre un lunch avec leurs homologues américains. Une brève présentation des capacités de la MEU a précédé la visite de quelques parties clés du navire : la salle de musculation de la troupe, l’hôpital, les hangars à avions et à bateaux, la salle de contrôle opérationnelle et la salle de commande du navire. Avant de repartir vers le camp LEMONNIER, l’ensemble des participants s’est retrouvé sur la passerelle au-dessus du pont d’envol pour discuter de manière plus informelle en fumant un cigare.
Cette journée marquait de manière plus officielle la coopération que mène depuis un mois la 13e DBLE avec le 1st Battalion /9th Marine.


Décès d'un légionnaire en Afghanistan

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09-04-2010

C'est avec tristesse que nous apprenons la mort du légionnaire de 1re classe Robert HUTNIK du 2e REP en Afghanistan, suite aux blessures reçues lors d'un accrochage avec les insurgés dans la région de Tagab.

Le général commandant la Légion étrangère souhaite adresser ses sincères condoléances à sa famille et à ses proches.

Âgé de 23 ans et de nationalité slovaque, le légionnaire de 1ère classe Robert HUTNIK (matricule 199 344) avait rejoint les rangs de la Légion étrangère en mai 2007, y souscrivant un premier contrat de cinq ans.

Dès sa formation initiale, durant quatre mois au 4e régiment étranger (4e RE - Castelnaudary), il avait montré de belles qualités de soldat qui lui avaient permis de rejoindre les rangs du 2e régiment étranger de parachutistes (2e REP – Calvi) en octobre 2007. Dynamique, solide et rustique, il servait au sein de la 3e compagnie.

En mission en Afghanistan depuis janvier 2010 dans le cadre de l'opération « PAMIR », le 1ère classe HUTNIK était pilote VAB (véhicule de l'avant blindé) dans la Task Force ALTOR.

Ce 8 avril 2010, son unité est en mission de soutien au profit d'unités afghanes qui contrôlent la zone à proximité d'un nouveau poste de combat dans la vallée de Tagab. C'est au cours de cette mission, alors que son unité est prise à partie par des insurgés, que le 1ère classe HUTNIK est gravement blessé. Pris en charge par les équipes médicales, il est évacué par hélicoptère français vers l'hôpital militaire de Kaboul où il décède des suites de ses blessures.

Célibataire, c'était la deuxième mission extérieure à laquelle participait le légionnaire de 1ère classe Robert HUTNIK. D'octobre 2008 à janvier 2009, il avait effectué une première mission de courte durée au Gabon.


Parcours de tir franco-américain à KORON

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08-04-2010

Les 29 et 30 mars 2010, le quatrième peloton de l’Escadron de Reconnaissance a mené un parcours de tirs en Sagaie avec une section de chars ABRAMS  de la 24th MEU (Marine Expeditionary Unit) sur le champ de tir de KORON.
Profitant de la présence d’une compagnie mécanisée au sein du détachement de l’US Marine Corps présent à Djibouti durant le mois de mars, qui avait débarqué avec hommes et matériels sur la plage du CECAP, l’Escadron de reconnaissance a saisi cette occasion de coopération interallié unique pour maintenir ses compétences opérationnelles en tir, tout en découvrant des savoir-faire différents. Après un parcours de tir mobile sur deux fuseaux, où les Sagaie et les Abrams ont mené une reconnaissance de vallée, puis un tir de barrage au commandement, les Américains ont pu découvrir le tir en Sagaie tandis que les légionnaires ont eu l’opportunité de tirer au canon de 120mm du M1 Abrams. Le colonel BURKHARD, commandant la 13e Demi-brigade de Légion étrangère, et le lieutenant-colonel (US) SALASKO commandant les forces terrestres de la MEU, ainsi que le colonel (US) BUXO, commandant le camp LEMONNIER et le colonel GOUPIL, adjoint terre du COMFOR, ont pu profiter de ce partenariat pour prendre la place de tireur en Sagaie et Abrams.
Malgré des matériels et donc des conceptions d’emploi très différentes, cet exercice a permis de démontrer de nombreux points communs entre légionnaires cavaliers et marines.


Cadre Noir et Képi Blanc

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‘‘Cadre noir et Képi blanc’’

 
 
En arpentant les couloirs et galeries de l’Hôtel national des Invalides, à l’heure où les derniers visiteurs s’apprêtent à quitter le site et au moment où les ombres s’allongent dans la cour d’Honneur, une interpellation de la Bible revient à l’esprit de celui qui admire ce lieu unique : ‘‘Même s’ils se taisent, les pierres crieront !’’.
 
En effet, ce monument unique, magnifique, à la fois mythique et mystique, situé au cœur de Paris nous rappelle que depuis plus de trois siècles, il abrite dans ses murs celles et ceux qui ont été blessés au service du pays : soldats de Louis XIV, grognards de Grande Armée, poilus de 14, résistants de la 2ème Guerre mondiale et victimes du terrorisme, tous ceux qui l’ont demandé ont été accueillis dans ses murs et sont toujours l’objet de la plus grande sollicitude du pays !
 
Mais les Invalides sont plus que cela ! La présence de ses musées nous rappelle l’histoire militaire de la France et sa grande tradition militaire ! Il était donc naturel que le Cadre Noir de Saumur y soit accueilli : pendant plusieurs siècles, l’école de cavalerie de Saumur eut la mission de réglementer l’emploi du cheval de guerre et, à ce titre, forma des générations d’officiers de cavalerie, fer de lance de l’armée française ; ses instructeurs qui en toujours constitué l’élite conservèrent cette tradition, notamment au cours du XX° siècle, lorsque les armées se  mécanisèrent et la cavalerie laissa sa place au corps blindé et mécanisé ! Le Cadre Noir, grâce à ses instructeurs, demeure depuis lors l’école et la référence de l’équitation française !
 
Les Invalides, enfin, sont aussi le Panthéon des soldats et voient toujours dans ses murs magnifier les heures heureuses comme les moments douloureux de la vie des armées ! A l’instar de l’ancien légionnaire Lazare Ponticelli, le dernier des poilus qui y fut honoré, la Légion étrangère, force combattante de l’armée de Terre, constituée d’étrangers venus servir la France avec ‘‘Honneur et fidélité’’ y a également toute sa place !  Sa musique, rythmée par ses fifres, ses tambours et son pas lent, sait entretenir le patrimoine légué par ses anciens, tout en adaptant son répertoire à des morceaux plus modernes.
 
Cependant, qu’il s’agisse des Invalides, du cadre Noir ou de la musique de la Légion étrangère, tous ont un autre point commun qui les rassemble aujourd’hui dans cette cour d’honneur, c’est la volonté ferme, constante et éclairée d’entretenir le patrimoine reçu et enrichi au fil de l’histoire et de le faire fructifier ! Cette recherche constante de la qualité, cette passion de toujours vouloir se dépasser, cette fierté de présenter ce que l’on sait faire de mieux, tout ceci a un nom, c’est : ‘‘l’excellence française’’.

En savoir plus :

DIO - La Légion forme un bataillon de soldats ougandais

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06-04-2010

Un DIO[1] de la 13ème Demi-brigade de Légion Etrangère s’est rendu en Ouganda du 11 janvier au 17 février 2010 pour former un bataillon de soldats ougandais (UGABAG) à des missions de maintien de la paix. En cours de préparation opérationnelle à un déploiement en Somalie dans le cadre de l’Union Africaine, les cadres et soldats du bataillon ont suivi cinq semaines d’instruction à l’école militaire de SINGO.

Un camp perdu dans la campagne ougandaise, entre les plantations de bananiers et les troupeaux de vaches aux cornes impressionnantes ; un petit campement de toile sur lequel flottent les couleurs françaises, belges et ougandaises au milieu des tentes et des huttes ; et une mission de taille pour les cadres de la 13ème DBLE : former 1647 soldats avec 24 instructeurs. Mission passionnante, puisque l’instruction dispensée sera directement mise en application par ce bataillon, déployé l’été prochain en Somalie sous l’égide de l’Union Africaine.

L’Ouganda est en effet l’un des principaux  pays africains à s’engager dans les opérations en Somalie et apporte la principale contribution de troupes à l’Union Africaine. La France est soucieuse de soutenir cet effort en participant à la préparation des troupes ougandaises dans le cadre de la coopération dans la Corne de l’Afrique. Depuis 2006, la 13ème DBLE envoie chaque année un DIO en Ouganda pour former les UGABAG[2] à des missions spécifiques de maintien de la paix.

Les modules d’instruction du DIO 2010, composés d’officiers, sous-officiers et légionnaires de la 13ème DBLE, renforcés d’un détachement du génie Belge et d’un détachement de l’Ecole de Maintien de la paix de Bamako, ont donc formé les cadres et les quatre compagnies de l’UGABAG V pendant cinq semaines.  Au programme, check-point, escorte de convoi et cordon and search[3] pour les modules tactiques, ainsi que différents modules de spécialistes : TIOR[4], ISTC[5], secourisme au combat, cours mines et mécanique.

Durant les deux premières semaines,  le DIO a formé l’ensemble des cadres du bataillon aux différentes missions, en insistant sur la préparation de la mission et les ordres spécifiques, tout en détaillant chaque réaction possible. Le but recherché était double : tout d’abord donner à chaque officier et sous-officier les moyens de remplir leurs futures missions en Somalie, mais aussi leur permettre de former, à leur tour, leurs propres soldats à partir de l’instruction dispensée.

Ainsi formés, les cadres ont ensuite pu instruire chacune des quatre compagnies, alternant séances théoriques sur caisse à sable, démonstrations et drill répartis sur trois jours. Volontaires et conscients de la difficulté de leur mission à venir, les soldats ougandais se sont montrés intéressés par les cours, et les cadres se sont particulièrement investis dans la formation de leurs hommes, encadrés et conseillés par les instructeurs français. Bien que les cours aient été dispensés en anglais et qu’une grande partie des Ougandais ne comprend que le Swahili, la « pédagogie Légion » a fait une fois de plus ses preuves. Habitués à travailler avec des troupes étrangères, les cadres et légionnaires du DIO n’ont eu aucun mal à créer des relations de profonde confiance mutuelle avec les soldats ougandais. Alternant l’anglais, beaucoup de gestes et quelques mots de swahili glanés au contact de leurs élèves, les instructeurs ont appliqué au mieux la méthode démonstrative et la répétition des gestes et des réactions afin d’obtenir une parfaite compréhension et application des points clés qui leur seront indispensables sur le sol somalien.

Dans le même temps, une partie du DIO est partie à l’Ecole des Sous-officiers de Jinja, aux sources du Nil, pour former les sous-officiers ougandais à ces mêmes missions.

Après une démonstration finale par les compagnies des différents modules d’instruction, une cérémonie de clôture a conclu la formation en présence des Ambassadeurs de France et de Belgique et du Chef d’Etat Major de l’Armée de Terre ougandais, durant laquelle les stagiaires se sont vus remettre un diplôme attestant leur formation. Un exercice bataillon organisé par les Anglais en mars prochain permettra de mettre en application par les compagnies l’ensemble des compétences acquises, avant leur projection à Mogadiscio.

Cette expérience a permis aux cadres et légionnaires de découvrir une armée différente, qui s’est distinguée par sa discipline et sa rusticité.

 

[1] DIO : Détachement d’instruction opérationnelle.

[2] UGABAG : Uganda Battle Group.

[3] Cordon and search : mission qui consiste à sécuriser une zone pour fouiller un point particulier, particulièrement utilisée en Afghanistan ainsi qu’en Somalie.

[4] TIOR : Techniques d’Intervention Opérationnelle Rapprochée.

[5] ISTC : Instruction Sur le Tir de Combat.


Un village contre rébellion à la 13° DBLE

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05-04-2010

Le 11 Décembre 2009 à débuté la construction d’un village CREB (Contre rébellion) au sein du quartier MONCLAR. Les sections Appui et Travaux de la Compagnie Génie de la 13e DBLE ont joint leurs savoir-faire pour mener à bien ce chantier.

Les Légionnaires ont tout d’abord effectué des travaux de terrassement à l’aide de M.P.G (Moyen Polyvalent du Génie) avant d’implanter et de couler des dalles. Le sergent N’DIONE a conseillé et dirigé les différentes équipes (menuiserie, maçonnerie, soudure, manœuvre…) permettant ainsi la bonne coordination et le suivi de l’approvisionnement. 7 maisons en parpaings qui formeront le « village de combat » vont émerger de part et d’autre d’une route avec un passage busé permettant de travailler l’ouverture d’itinéraire et la sensibilisation aux IED (détection d’engin explosif...). Un puits, site potentiel pour une cache d’armes, ainsi que des murs de pierre érigé à la manière « afghane » parfairont le réalisme des conditions d’entraînement.

Le 11 mars, la première et principale tranche des travaux est terminée. Les cadres et légionnaires, fiers de leur œuvre, ont participé à l’inauguration du village destiné à parfaire l’entrainement des différentes unités en vue de leur projection sur les théâtres d’opérations extérieurs.


Chants des légionnaires

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A écouter en ligne : mais le webmaster préfère :

Le bleuet de France

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COLLECTE PRIVEE ORGANISEE PAR UNE ASSOCIATION

 

Tout au long de l'année, hors des périodes des deux campagnes de collectes officielles qui ont lieu autour des 8 mai et 11 novembre, une association a la possibilité d'organiser des collectes dites privées. Les fonds réunis lors de celles-ci permettront ainsi d'améliorer le montant des crédits de solidarité et de mémoire de l'Oeuvre Nationale de Bleuet de France (aides financières au profit de tous les ressortissants de l'ONACVG en difficulté et organisations d'actions mémoire afin de transmettre aux jeunes générations des valeurs de tolérance, de respèct, de paix).
 

Ces collectes .doivent se dérouler dans des lieux privés fermés accessibles au public (salle de spectacle, local privé, .Iocal d'association, ... ) lors par exemple d'assemblée généralé, d'exposition rhémoire,...

 

Elles se déroulent sous la responsabilité civile et pénale du propriétaire des lieux et des organisateurs qui sont donc tenus de souscrire une assurance couvrant les risques inhérents à la collecte.

 

Les sommes collectées doivent être reversées en totalité à l'oeuvre Nationale du Bleuet de France.

 

Les associations désireuses d'effectuer une collecte privée peuvent s'adresser au service départemental à Mme Martine MARION qui se tient à leur disposition pour tout renseignement et délivrance des imprimés spécifiques : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.


Le blog de Georges Papy...

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