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Des studios pour les personnes « fragiles »

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Publié le vendredi 08 avril 2011

Ces studios permettent à des personnes fragiles de se reconstruire, physiquement et psychologiquement, avant de retourner à la vie sociale. Frantz bouto

 Le soutien social et psychologique de publics marginalisés, c'est à la fois l'un des buts de la Fondation Patronage Saint-Pierre-Actes et l'objet des appartements qu'elle vient d'ouvrir au 6 du boulevard du Tzaréwitch, à deux pas de la cathédrale russe. Onze studios, dits « appartements de coordination thérapeutique », destinés à héberger provisoirement « des personnes en situation de fragilité psychologique et sociale et nécessitant des soins et un suivi médical ».

Parmi elles, c'est un peu toute la misère du monde qu'on retrouve, comme celle de cet ancien légionnaire français, aujourd'hui malade et sauvé de la rue par la Fondation : « J'ai sauté sur Kolwezi (1) », racontait-il hier lors de l'inauguration officielle des logements (2). Sans pour autant rien dire de son parcours à son départ de l'armée.

« Les remettre en route par un projet de soins et de réinsertion »

« Il s'agit de personnes souffrant d'une pathologie invalidante, isolées et privées de logement, précise le directeur du pôle d'accompagnement spécialisé de la Fondation, Michel Caratti. Le but que nous poursuivons, c'est de les remettre en route à l'aide d'un projet de soins et de réinsertion. En général, ces personnes peuvent rester jusqu'à un an. Mais il y a bien sûr une liste d'attente et l'objectif est que les appartements tournent. »

Leurs bénéficiaires sont entourés de personnels médico-sociaux : médecins, infirmières, auxiliaires de vie, mais aussi psychologues, travailleurs sociaux, bref tous les professionnels susceptibles de les aider à se sortir définitivement de leur mauvaise passe.

Ces onze studios s'ajoutent aux treize autres « appartements de coordination thérapeutique », de même type, que la Fondation loue un peu partout en ville depuis qu'elle en a imaginé le concept en janvier 2007. Soit un total de 24 places dont le budget de fonctionnement - 30 000 E annuels chacune - est entièrement financé par l'ARS (Agence régionale de santé). C'est elle, également, qui a pris en charge le coût de la rénovation (750 000 E) de l'immeuble du boulevard du Tzaréwitch. Et d'ici à la fin de l'année, elle devrait encore assurer financièrement la création de quatre nouvelles places d'appartements de « coordination thérapeutique ».

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