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Légionnaire toujours...

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2016




Les engagés volontaires de la 13

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Ainsi va le monde !

lundi 23 mai 2016


La 13e Demi-brigade de la Légion étrangère séduit. Beaucoup d'engagés volontaires ont souhaité être affecté à la "Phalange magnifique", au terme de leur instruction à Castelnaudary (Aude). Les 130 premiers EV arrivés au Larzac sont actuellement aux Emirats arabes unis (EAU) où ils poursuivent leur formation d'intégration. Une adaptation qui prend une dimension symbolique et historique.


BEAUCAIRE Un festival polynésien pour faire « partager la culture » de Tahiti.

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Objectif Gard

29 mai 2016

Photo : CM.

Photo : CM.

Ce week-end s’est tenue la 5ème édition du festival polynésien de Beaucaire. Une manifestation culturelle qui met à l’honneur cette petite île de 184 000 habitants, située à 16 000 km de la « métropole* » (La France). Initié à l’origine par un membre de l’Office du tourisme, la commune ne comprend pas une grande communauté de Tahitiens, cette dernière se trouvant plutôt à Nîmes, en raison de la présence l’armée de terre et de la Légion étrangère. En centre-ville, sur la place de la République, l’objectif de l'événement était simple : « faire découvrir et partager notre culture », expose Vaiata Pillet, organisatrice. Durant deux jours, les Beaucairois ont découvert les danses aux rythmes distincts (tamure et ote'a). Parmi les onze stands, certaines demoiselles ont pu préparer l’été en achetant du monoï ou une fleur de tiaré à mettre dans les cheveux. Communauté discrète, « on aime se retrouver pour nous ressourcer », explique Vaiata Pillet, le festival tahitien a permis à ses participants de voyager à l’autre bout du monde, en évitant les 22h d’avion…

*Tahiti a le statut de collectivité d’outre-mer (ancien TOM), dont les compétences sont étendues notamment en matière d’autonomie douanière et fiscale.


GOLE: 1976 Djibouti helicopter crash

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French Foreign Legion Information

On May 24, 1976, during a military training exercise, a SA 330B PUMA helicopter of the French Army crashed into the Djadjaboka thalweg near Holhol in southern Djibouti, killing eight men on board, including the six legionnaires from the 6th Company of the Foreign Legion’s GOLE. The helicopter was assigned to the French Army Light Aviation Detachment (DETALAT) of Djibouti.

Djibouti - Legion accident - GOLE - 1976

The legionnaires were members of the 3rd Platoon, 6th Company from the Foreign Legion Combat Team (Groupement Opérationnel de la Légion Étrangère, GOLE), an intervention force created in 1971. The GOLE was part of the then 2e RE, based in Bonifacio on the island of Corsica. In February 1976, the 6th Company of GOLE deployed to Djibouti, the then French colony (located in the Horn of Africa) called the French Territory of the Afars and the Issas (TFAI). They deployed to Djibouti in response to 1976 Loyada incident. In the incident, 30 French children were hijacked by Djiboutian FLCS insurgents in Djibouti City a few days earlier. The hostages were rescued by the 2e REP legionnaires on February 4, before the 6th Company landed in Djibouti. However, the GOLE legionnaires stayed in Djibouti for a four-month-long mission.

On May 24, the 3rd Platoon, 6th Company would conduct a firing exercise. The legionnaires were being transported from Arta, the base of the rotational unit of 13e DBLE, to a military shooting range at Holhol. The first rotation conducted by three PUMA went without problems. During the second rotation, one PUMA, with three crew members and eleven legionnaires on board, crashed to the ground for unknown reasons. Two of the crew members and six legionnaires died in a fire. One crew member and five legionnaires were thrown from the helicopter. Although badly burnt, they survived. They were rescued and transported to France a few hours later, to be hospitalized in Paris.

In the accident, the Legion suffered its worst losses in a single incident since the end of the Algerian War. Nevertheless, the event will be totally forgotten during next almost 40 years. There is no article in French on the internet being concerned with the incident. The reason could be another Djibouti air accident killing legionnaires, which occurred six years later: Mont Garbi 1982 accident.

In any case, these two accidents are the deadliest incidents for the Foreign Legion, which occurred since the end of the Algerian conflict in 1962.

 

Killed legionnaires of the 3rd Platoon, 6th Company:

  • Sergent-chef ZOLIC Smajil – the deputy to a platoon commander
  • Caporal-chef COLETT Julien
  • Legionnaire GAUMONT Pierre
  • Legionnaire BRUNNER Alois – his brother Ruddy was among the badly burnt survivors
  • Legionnaire GALIESER Joseph
  • Legionnaire LARIER René

  • – Brunner, Galieser and Larier were fresh legionnaires, being deployed to Djibouti right after finishing their basic instruction

Killed crew members of the DETALAT crashed helicopter:

  • Adjudant DUBOST Jean-Louis – a pilot
  • Maréchal des logis chef BAIXAS Christian

 

SCH Zolic - GOLE - Djibouti - 1976

CH Zolic. The deputy to the platoon commander at that time. A former 2e REP member, serving in Chad in 1969-70, a military pentathlon world champion (within a French squad), 12 years of service in the Legion.

GOLE - 6e compagnie - Djibouti - 1976

The 6th Company of GOLE parading in Djibouti after their arrival in February 1976.
Left to right: CCH Colett, leg Brunner A., leg Larier, leg Gaumont, leg Galieser.

GOLE - Funeral - Accident - Djibouti - 1976

A military ceremony at the cemetery of Djibouti (May 26, 1976)

gole-djibouti-6cie-plaque

Bonjour,

je ne sais pas pourquoi, mais l'incident de Djibouti de 24 mai 1976 est oublié complètement par la France...

https://foreignlegion.info/gole-1976-djibouti-helicopter-crash/

Cordialement,

Peter


ForeignLegion.info - Foreign Legion information website
https://www.facebook.com/Foreign-Legion-Info-789166777861053/


Il y a 38 ans le 2e REP de Calvi sautait sur Kolwezi…

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Corse Net Infos - Pure player corse

Rédigé par (Jean-Paul-Lottier) le Jeudi 19 Mai 2016

Il y a tout juste 38 ans, le 2e Régiment Étranger de Parachutistes de Calvi sautait en deux vagues sur Kolwezi avec pour mission de sauver des européens et zaïrois pris en otages par des rebelles Katangais. Cette opération surprise baptisée "Bonite" aura une répercussion internationale. 2 800 ressortissants ont été libérés par les légionnaires qui ont fait preuve de bravoure. Jeudi matin, pour le 38e anniversaire, une réception a eu lieu dans la salle d'honneur du camp Raffalli de Calvi en présence de quelques légionnaires qui ont sauté sur Kolwezi.

Il y a 38 ans le 2e REP de Calvi sautait sur Kolwezi…

Que d'émotions ce jeudi matin à 11h30, dans la salle d'honneur du Camp Raffalli à Calvi où étaient réunis autour de quelques officiers des légionnaires d'active ou retraités pour fêter le 38e anniversaire de l'opération "Bonite" à Kolwezi, ville située au cœur de la région minière du Shaba, dans la province du Katanga au Sud-Est du Congo (Ex Zaïre).
Rappelons que le 2e REP de Calvi avait, par effet de surprise, sauté en deux vagues sur Kolwezi pour libérer 2 800 ressortissants européens et zaïrois pris en otage par des rebelles Katangais.

Le Major Jean Rodet-Loew, qui dans quelques semaines va quitter le 2e REP de Calvi, pour terminer sa carrière au Larzac, était le seul légionnaire encore en activité présent à cette manifestation.
Le colonel Stéphane Covoet, chef de corps du 2e REP, de 1988 à 1990, aujourd'hui retraité de l'armée était capitaine en 1978 et faisait partie des légionnaires qui ont sauté sur Kolwezi.
Accompagné du lieutenant-colonel Olivier Le Segretain du Patis, adjoint au chef de corps du 2e REP, c'est avec un immense plaisir qu'il a retrouvé ses frères d'armes, tout aussi émus que lui de ses retrouvailles.

Un petit film tourné à l'époque remémorait à chacun cette opération au retentissement international qui a  été bien accueillie par l'opinion publique et qui aura grandement contribué à magnifier l'image du Légionnaire Parachutiste.
Pour ceux qui n'ont pas connu cette époque, rappelons simplement qu'en 1978, le président de la République était Valéry Giscard d'Estaing et que la France disposait d'une force d'intervention de 20 000 hommes et que les Régiments professionnels de la 11e Division Parachutistes ont été alternativement mis en alerte, une alerte baptisée "Guépard" qui permet de réagir dans l'urgence  à une alerte et ce sans délais.

Au début du mois de mai 1978, les opposants au Président  zaïrois et partisans de la sécession du Shaba investissaient cette région minière du Zaïore.
Kolwezi, capitale régionale tombait le 13 mai. immédiatement les rebelles se livraient à des exactions. Malgré l'appel à l'aide de la communauté internationale, la situation ne cessait d'empirer. Le recours à la force était inévitable.
Le Président Valéry Giscard d'Estaing prenait donc la décision de faire intervenir une unité parachutiste.

Embarquement de nuit à Solenzara le 17 mai 1978
Dans la plus grande discrétion, le 2e REP de Calvi,  qui était en alerte, embarque dans la nuit du 17 au 18 mai 1978 et arrive quelques heures plus tard à Kinshasa, la capitale du Zaïre.Sa mission: sauter sur Kolwezi en deux vagues pour libérer les européens et zaïrois pris en otage.
Le 19 mai, une seule heure suffit à la première vague pour maîtriser la situation dans la zone aéroportuaire de Kolwezi et ce malgré la résistance de groupes isolés.
La deuxième vague larguée le 20 mai au matin à l'est de Kolwezi sécurise la ville nouvelle et le secteur Nord.
Les légionnaires prennent le contrôle de l'agglomération et de ses alentours au prix de violents combats. Le 20 au soir la totalité de la zone d'intervention est sécurisée. En moins de 3 jours tous les européens sont évacués par les Belges, essentiellement vers Kinshasa.

A la mi-juin, les légionnaires du 2e REP regagnent Calvi, laissant la place à un contingent aficain  et marocain.
Lors de cette opération éclair, environ 2 800 ressortissants ont été libérés,  247 rebelles ont été tués et 160 faits prisonniers.
Le 2e REP de Calvi a perdu 5 de ses hommes: le S/C Daniel, le Cpl Arnold, le Légionnaire Clément, le Cpl Harte et le Cpl/c Allioui. 20 autres ont été blessés.
Cette opération "Bonite" sera pour la Légion le premier "saut opérationnel" depuis Suez et l'Algérie.
Au cours de la réception, le colonel Covoet et le major Rodet ont délivré quelques anecdotes "crousitillantes" sur cette opération.
Le  Colonel Covoet, qui était correspondant pour le Magazine "Képi Blanc", se souvient notamment avoir fait confiance à un reporter de Paris-Match pour rapatrier en France des rouleaux de pellicules à remettre à "Képi Blanc".
Des images qu'il a retrouvé dans... Paris-Match !
Tous ont levé le verre de l'amitié avant de se donner rendez-vous pour le 40e anniversaire qui sera célébré avec faste en 2018.
Le Major Rodet-Loew mettra à cette occasion un terme à sa carrière. 

 


Mayotte : et maintenant la légion !

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Metamag

27 mai 2016 Michel Lhomme

 

Mayotte27 Legionnaires

Mayotte c’est la prophétie de ce qui arrivera à la France. On accueille pendant des années, dans le laxisme le plus total, des étrangers. Ils y viennent pour accoucher ou se faire soigner, profiter de la générosité de la France. Puis soudain, on se rend compte qu’il y en a trop. Les irréguliers s’énervent, descendent dans la rue, pillent et cassent. La population mahoraise, les « de souche locaux » les expulse. La République condamne puis finalement se félicite en douceur qu’on fasse le boulot à sa place. Au final, un préfet en remplaçant un autre, on appelle la Légion et on prétend fermer les frontières tout en appelant toujours les pompiers ou les Smur (Service Mobile d’Urgence et de Réanimation) pour prendre en charge les accouchements dans des hôpitaux surchargés.

Ainsi, le week-end dernier de nouvelles expulsions ont été organisées par des habitants des villages de M’tsahara (commune de M’tsamboro) et Kani Bé (commune de Kani-Kéli). C’est le triste balai des expulsions populaires conséquence logique de la politique de la drauche socialisante et humaniste (Sarkozy et Hollande). Le discours des « expulseurs » est toujours le même : « si l’État ne fait rien, nous agissons à sa place ». Or, l’État ne fait rien.

Manifestation des "expulsés" place de la république

Manifestation des « expulsés » place de la république

En fin de week-end prochain et comme dimanche dernier, de nouveaux «décasés » arriveront dans le camp de fortune des « expulsés » installé à Mamoudzou. Ils s’ajouteront aux 100 ou 200 sans-abris qui se sont déjà amassés sur les lieux. Se voulant agissant, le nouveau préfet, Frédéric Veau, a tenu sa première conférence de presse pour annoncer le détachement immédiat d’un peloton de la Légion étrangère à Mtsamboro, porte d’entrée des Anjouanais (l’île d’Anjouan est visible par temps clair de Mtzamboro) et l’organisation d’états-majors de la sécurité la semaine prochaine. Le préfet a affirmé que l’immigration clandestine, la sécurité et le développement économique et social de l’île constituaient les trois priorités de son action. Cela fait plus de trente ans qu’on nous serine les mêmes choses.

Sur l’immigration, Frédéric Veau a indiqué qu’au-delà de ce détachement d’un peloton, soit 16 militaires de la Légion étrangère, la police aux frontières allait poursuivre ses contrôles au niveau de la barge, sur les routes et dans les villages. Politique nécessaire certes mais totalement absurde. Il n’y a même plus de vedettes de la Paf réellement utilisables. S’agissant de la situation des expulsés sur la place de la République, le préfet a rappelé qu’un recensement avait été effectué par la police aux frontières et la police nationale et que donc « les personnes en situation irrégulière ont vocation à être éloignées ». Curieuse expression en effet, « vocation » : elles le seront ou ne le seront pas ? Ce qui est bien clair c’est que les forces de l’ordre sont incapables d’empêcher les expulsions populaires et là encore, c’est du joli : « L’intervention des forces de l’ordre ne doit pas augmenter le trouble de l’ordre public ».

Frédéric Veau, nouveau préfet

Frédéric Veau, nouveau préfet

Concernant l’insécurité et la délinquance, Frédéric Veau a rappelé que l’État ne pouvait pas admettre qu’il y ait des zones de non-droit. Que peut-il dire d’autre ? Comme en France, les zones grises ne lui sont même plus accessibles. Il a insisté sur les actions de prévention pour lutter contre ces fléaux : la mise en place de la vidéosurveillance, de lecteurs automatiques de plaques d’immatriculation ou encore d’actions éducatives à destination de la jeunesse. Des états majors de la sécurité devraient se tenir la semaine prochaine.

Le problème mahorais est un problème de diplomatie internationale, pas seulement un problème de politique intérieure. La preuve : sous la pression de la France et de son ambassadeur, l’Union des Comores a annulé la note de service qui stipulait que « Par instruction de Monsieur le Ministre de l’Intérieur, il est strictement interdit d’accepter toute embarcation des personnes faisant objet de reconduite aux frontières en provenance de Mayotte. »  La note aurait en fait été rédigée par le gouvernement sortant qui devra laisser sa place dès jeudi à Azali, au nouveau président des Comores.

Manifestation des Mahorais

Manifestation des Mahorais

Suite au climat anxiogène qui règne à Mayotte », c’est la fuite des « blancs ». Des enseignants auraient saisi depuis le début des « décasages » le vice-rectorat pour pouvoir quitter Mayotte début juillet, « hors du cadre du mouvement des personnels » au motif de difficultés de vie privée, de mise en danger de leur famille. Thierry Galarme, le président du Medef de Mayotte, reçu hier mardi au ministère de l’Intérieur a signalé que suite à un questionnaire qu’il a élaboré sur 231 chefs d’entreprise, 54,3% envisagent de quitter l’île, plus de la moitié invoquant la cause sécuritaire. Le Conseiller du Ministre a assuré le MEDEF de l’élaboration en cours d’un Plan Sécurité Mayotte intégrant des partenariat avec les entreprises.

Enfin pour couronner le tout, Madagascar est depuis quelques jours en ébullition avec des barrages et des troubles publics sur fond de rumeurs de coups d’Etat .


Camerone 1944 à Sidi Bel Abbès.

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Il dirige les musiciens de la légion étrangère.

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La Gazette du Centre Morbihan

25/05/2016

Le lieutenant-colonel Émile Lardeux est le Chef de musique de la légion étrangère. Présent pour le Trophée Centre Morbihan, il nous parle du recrutement.

Le lieutenant-colonel Émile Lardeux, à l'Espace 2000 de Grand-Champ. -

Le lieutenant-colonel Émile Lardeux, à l'Espace 2000 de Grand-Champ.

Changer de vie voire de nom. Un procédé rendu possible grâce à la légion étrangère. Le lieutenant-colonel Émile Lardeux est un officier des armes, servant la légion étrangère. Autrefois tubiste (joueur de tuba), il en est aujourd’hui Chef de la musique. Sous ses ordres, 64 musiciens, tous légionnaires. « Nous avons 20 nationalités différentes », précise le lieutenant-colonel.

Sa troupe était présente lors du Trophée Centre Morbihan pour interpréter les 18 hymnes des pays représentés. « Nous avons été appelés par la cellule communication de la légion. Nous sommes basés à Aubagne, à côté de Marseille. Ce type d’événement nous intéresse puisque nous recrutons à l’étranger. Cela nous permet d’impacter les nations présentes. »

En préparation du 14 juillet

Un moyen aussi de se perfectionner afin d’être opérationnel pour le défilé du 14 juillet, notamment.

Ils sont actuellement 7 500 à faire partie de la légion étrangère avec 130 nationalités différentes. Mais qu’est-ce qui pousse ces étrangers à rejoindre les rangs de la France ? « Chacun a ses raisons. Souvent ils fuient un pays où la vie est dure. D’autres veulent commencer une nouvelle vie et oublier le passé. »

« On ne va pas recruter des meurtriers »

Mais n’entre pas qui veut dans la légion étrangère. « Au centre de sélection, on questionne les candidats sur leur passé. On ne va pas recruter des meurtriers. En moyenne, un candidat sur huit est pris. Tous les jours, nous recevons des candidatures à Aubagne et à Paris. Nous avons une commission de sélection. Les candidats passent plusieurs tests. »

Parmi les officiers en revanche, ils sont tous Français, « sauf 10 % de légionnaires qui ont gravi les échelons ».

La possibilité de changer de nom

Les légionnaires peuvent également changer de nom et/ou acquérir la nationalité française. « À la fin du premier contrat de 5 ans, les légionnaires peuvent demander à changer de nom, explique Émile Lardeux. Puis, au bout du deuxième contrat, ils peuvent demander la naturalisation. »

Cette naturalisation peut aussi se faire « par le sang versé. Un légionnaire blessé en opération, pas en exercice, peut obtenir la naturalisation. »

Une majorité d’Allemands et Italiens

Ceux qui rejoignent les rangs de la légion arrivent principalement d’Europe. « Une majorité vient d’Allemagne ou d’Italie. Ensuite nous avons 20 % de Slaves et 15 % de recrues de pays d’Europe occidentale. » Le lieutenant-colonel constate également une augmentation, ces dernières années, de recrues provenant de la Chine.

Dans les rangs des musiciens, seulement cinq « Gaulois », pour faire référence aux Français. Et aucun Breton. « Plus généralement, dans la légion, nous en avons peu. La Bretagne est plutôt une terre de marins », justifie le lieutenant-colonel. Entre les galettes et le boudin, ils ont vite fait de choisir !


La Légion en concert pendant le Trophée centre Morbihan

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La Gazette du Centre Morbihan

20/05/2016

Les musiciens de la Légion sur le parvis de l'église de Grand-Champ cet après-midi.

Les musiciens de la Légion sur le parvis de l'église de Grand-Champ cet après-midi.

Après une prestation sur le marché de Locminé hier jeudi, les 70 musiciens de la Légion étrangère se sont rendus aujourd’hui à Grand-Champ, site d’arrivée de la première étape du Trophée Centre Morbihan 2016, qui aura lieu demain samedi 21 mai. En début d’après-midi ils ont donné une aubade devant les résidents de l’Ehpad avant de rejoindre le centre bourg, à 17 h, où une cinquantaine de personnes les attendaient pour écouter leurs morceaux.

Ce soir ils entonneront une minute de chaque hymne national représenté par les équipes cyclistes présentes cette année, soit 18 nations, lors de la présentation, qui a lieu en ce moment même (vendredi 20 mai à 18 h).

Un concert exceptionnel demain soir à Grand-Champ

Demain ils seront sur le site d’arrivée de 12 h 30 à 17 h 30. Ils proposeront ensuite un concert à l’Espace 2000 à 21 h (5 euros, billetterie sur place).

Enfin, une dernière occasion d’entendre les militaires sera proposée dimanche 22 mai cette fois à Locminé, site d’arrivée de la dernière étape du Trophée Centre Morbihan 2016.


La Solidaire 2016‏

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Messieurs les présidents d’amicales,

Pour la septième année consécutive, le 4e Régiment étranger, régiment d’instruction et de formations des légionnaires, organisera du 14 au 17 juin 2016 «  la Solidaire Légion étrangère ».

Cette activité caritative a pour but de récolter des fonds, afin de venir en aide aux anciens légionnaires à l’Institution des Invalides de la Légion Étrangère (I.I.L.E) située à Puyloubier (13). Ceux-ci ont servi la France avec honneur et fidélité. L’attention de la Légion d’active envers ses anciens est donc un juste retour des choses.

Portée depuis sa création par Monsieur Bernard Thévenet, double vainqueur du Tour de France 1975-1977, la Solidaire de cette année sera également parrainée par monsieur Charles Villeneuve, première classe d’honneur de la Légion étrangère,  grand journaliste particulièrement apprécié des Français.

Une fois encore, la course sera l’occasion pour chacun d’affirmer, ou de réaffirmer son attachement et son soutien à la Légion étrangère, qui n’abandonne jamais les siens.

C’est donc avec beaucoup de plaisir et d’enthousiasme que je vous propose de vous associer à ce projet dont l’intégralité des dons sera reversée à l’I.I.L.E. Vous trouverez dans le document joint tous les détails pratiques sur l’épreuve et sur vos possibilités de soutien à cette belle aventure.

Le régiment espère pouvoir compter sur votre aide en relayant cette activité à vos contacts et votre générosité et vous assure dès à présent de sa plus sincère reconnaissance.

Chef de bataillon HERVE-BAZIN François

Officier supérieur adjoint

4e Régiment étranger


Depuis 40 ans, 60 légionnaires sont morts pour la France

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Secret Défense

Au cours des 40 dernières années, pas moins de 60 légionnaires sont morts pour la France dans diverses opérations extérieures. C’est ce que l’on apprend à la lecture d’un numéro hors série de Képi blanc, le mensuel de la Légion étrangère.

En 80 pages, KB revient sur toutes les opérations dans lesquelles la Légion a été engagée : c’est un abrégé de l’histoire militaire de la France depuis 1976. La liste est fort longue et si les grands moments sont dans toutes les mémoires - que l’on songe à Kolwezi - d’autres sont un peu tombées dans l’oubli, comme Diapason, une mission d’évacuation de ressortissants au Yémen en 1994.

Ces quatre dernières décennies s’ouvrent avec l’affaire de Loyada, une attaque terroriste à Djibouti en 1976 - et elle s’achève avec Sentinelle.  Le nombre de pays où la Légion a été engagée est impressionnant : Mali, Cote d’Ivoire, Tchad, Centrafrique, Djibouti, Somalie, Comores, Gabon, Congo, Zaïre, Liban, Irak, Koweit, Cambodge, Yémen, Afghanistan, Indonésie, Jordanie, Bosnie, Macédoine, Kosovo et Haïti. 22 au total !

Pour se procurer ce numéro, cliquez ici.


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