2015

La fanfare du 27e Bataillon de Chasseurs Alpins en démonstration à Calvi

Jeudi, 30 Avril 2015 04:52

Rédigé par (Jean-Paul-Lottier) le Mardi 28 Avril 2015

Dernière fanfare de chasseurs, gardienne des traditions, la fanfare du 27ème Bataillon de Chasseurs Alpins, a donné un concert gratuit mardi en début de soirée, à l’amphithéâtre de Calvi, en présence d’un public enthousiaste

La fanfare du 27e Bataillon de Chasseurs Alpins en démonstration à Calvi

C’est une grande première qui s’est déroulée mardi à 18h30 au port de plaisance de Calvi où la fanfare du 27^e Bataillon des Chasseurs Alpins habituellement basée à Cran Gevrier près d’Annecy, a offert un concert à la population calvaise. Invitée d’honneur aux cérémonies de Camerone, par le 2^e REP de Calvi, la fanfare a surpris par la qualité et la diversité de sa prestation.

Emmenée par l'adjudant-chef Eric Moron, ancien sous-officier de la musique de la Légion Etrangère, la fanfare du 27^e BCA a proposé un medley de marches militaires américaines mais aussi beaucoup de variété, de Claude François à Lady Gaga en passant par bon nombre de succès des années 80. Que dire aussi de ce superbe hommage aux productions cinématographiques des années 40 « "New York, New York » suivi du fameux « Just a gigolo »Histoire de réchauffer l’ambiance, le public a également eu droit à un paso doble endiablé !

Cette fanfare, vitrine vivante du 27^e BCA, mais aussi véritable ambassadrice de tous les Bataillons alpins ou mécanisés, est désormais la dernière et l’unique fanfare des chasseurs, conservatrice de leurs traditions.
Il faut savoir en effet que chaque année, plus de 140 journées de prestations musicales musicales, cérémonies patriotiques et autres.
Remarquée dans les six coins de l’Hexagone mais aussi à l’étranger ou sa participation est très demandée à de nombreux festivals de musique et autres.
Jusqu’au bout, la fanfare du 27^e BCA a surpris son auditoire en interprétant avec brio des morceaux de choix mais aussi en nous offrant un superbe « Haka ».
Le public en a redemandé.
Au premier rang de la foule on a noté la présence de Ange Santini, maire de Calvi, avec à ses côtés Maria Luciani, adjointe, déléguée à la culture, le colonel Olivier le Segretain du Patis, commandant en second du 2^e REP….
La fanfare du 27^e BCA sera au Camp Raffalli lors des cérémonies et de la kermesse de Camerone.

Plaquette‏ de Camerone 2015 de L'AALE de Diego-Suarez.

Mercredi, 29 Avril 2015 17:49

Et en avant pour la commémoration !

Plaquette réalisée par mon ami F.IBANEZ de Mayotte, qui, comme chaque année , vient de rejoindre Diégo pour la cérémonie de demain ; l’association des anciens de Madagascar figure sur la plaquette , mais force est de reconnaitre, qu’elle ne fait pas grand-chose pour suivre la cadence !

Un diapo suivra prochainement.

Sincères pensées.

YG et FI.

Lyon : Commémoration du 152e anniversaire de la bataille de Camerone

Mardi, 28 Avril 2015 07:27

25 avril 2015

Une cérémonie militaire de commémoration s'est déroulée à Lyon, en souvenir de la bataille de Camerone, le 25 avril 2015.

Il y a 152 ans, le 30 avril 1863, dans l'hacienda de Camerone, au Mexique, trois officiers et soixante-deux légionnaires de la compagnie du capitaine Danjou résistèrent pendant toute une journée à deux milles mexicains.

Cette cérémonie d'hommage précède la cérémonie traditionnelle de la légion étrangère organisée à Aubagne et qui se déroulera les 29 et 30 avril prochains.

Concert gratuit de la fanfare du 27e Bataillon de chasseurs alpins le 28 avril à Calvi

Mardi, 28 Avril 2015 07:20

Rédigé par (Jean-Paul-Lottier) le Lundi 27 Avril 2015

Dernière fanfare de chasseurs, gardienne des traditions, la Fanfare du 27^e Bataillon de Chasseurs Alpins, sera présente aux côtés du 2^e REP, à l'occasion des cérémonies militaires du 152^e anniversaire du combat de Camerone qui auront lieu au Camp Raffalli à Calvi les 30 avril à Calvi.
Aujourd'hui dirigée par l'adjudant-chef Eric Moron, ancien sous-officier de la musique de la Légion Etrangère, la Fanfare du 27^e BCA donnera un concert gratuit à l'amphithéâtre du port de plaisance le mardii 28 avril à 18 heures.
Un spectacle à ne pas manquer.

Camerone 2015 à Diego-Suarez

Dimanche, 26 Avril 2015 11:17

Légion étrangère et médaille militaire

Samedi, 25 Avril 2015 03:48

Ainsi va le monde !

jeudi 23 avril 2015

La médaille militaire est la plus haute distinction française attribuée aux sous-officiers et aux soldats. Elle est la troisième décoration après la Légion d’honneur et La croix de la Libération. 2500 militaires la reçoivent chaque année. Deux promotions annuelles : en novembre pour les réservistes et les anciens combattants, en avril pour les militaires d’active. Voici la liste des légionnaires qui se sont vus, hier, concéder la médaille militaire.
Les adjudants-chefs Rainer Albrecht , Karim Bennamane , Xavier Lemonon, Marc Mestre, Jacques Riesen.
Les adjudants Gigi Asandei, Christophe Aussel, Alessandro Vendola.
Les sergents Robert Bacescu, Sorin Bota, Nuno da Silva Braga, Cezar Hrubariu, Milan-Iosif Pavel.
Les sergents-chefs Krzysztof Brezden, Calin-Adrian, Dominik Checko, Gergely Kulcsár , Marius Narkunas, Paul Zajicek.
Les caporaux-chefs Guénaël Arzur, Costica Baciu, Guy Bernardin, Oscar Condori Pamuri, Nicolas Conroux, Manuel Da Costa (Manuel), Paul Haiduc , Marc Laurent, Yann Le Balc'H, Paulo Pereira Augusto, Grégory Poidevin, Xavier Yapi N'Tamon, Jong-Gug Yun.

François Monarcha, 97 ans, honoré par la Légion étrangère en portant la main du Capitaine d'Anjou

Samedi, 25 Avril 2015 04:13

Le Journal tretsois

22/04/2015

Dans quelques jours, le Jeudi 30 avril 2015, un tretsois va recevoir un grand honneur militaire. François Monarcha, 97ans en cette année 2015, doyen des Légionnaires de Puyloubier a en effet été choisi pour porter la main du Capitaine d'Anjou à Camerone. Il sera ce jour là accompagné de l'adjudant-chef Rowe du 2ème REI, sous-officier d'active le plus décoré de la Légion étrangère et du brigadier-chef (er) Termellil.

En effet depuis 1931, chaque année, le 30 avril, où qu’elles soient, les unités de Légion célèbrent Camerone : le général Rollet, 1er "père légion" au sens que revêt depuis cette appellation, décida de rehausser le centenaire de la création de la Légion en faisant coïncider les cérémonies du centenaire, l’anniversaire du combat de Camerone, et l’inauguration du célèbre monument aux morts ("la boule", entourée de ses 4 légionnaires en armes), ramené en 1962 de Sidi Bel Abbès à Aubagne lors du transfert du régiment. Au cours de la cérémonie qui se déroule à Aubagne, depuis 1962, la Légion honore l’un des siens en lui faisant porter, telle une relique, la main du capitaine Danjou, le long de la voie sacrée, qu’il remonte jusqu’au monument aux morts.

Selon les années, et peut-être la vaillance de son porteur, ce dernier est accompagné par un, deux, ou encore plusieurs compagnons. Le porteur comme ses accompagnateurs, peuvent être en activité ou à la retraite, général comme simple légionnaire ou aumônier, valide ou invalide, blessé en opérations (aveugle, mutilé)… Ce résumé serait incomplet si on omettait l’expression, devenue courante, "faire Camerone". Qui signifie : "combattre jusqu’au bout de ses possibilités, jusqu’à la mort si nécessaire, pour remplir la mission".

François Monarcha, a connu une carrière brillante et reçu de nombreuses décorations militaires, il a également rencontré dans sa vie le Père de la Légion : le général Rollet, c'est un des rares militaires encore en vie à l'avoir connu. Il est depuis sa retraite souvent mis en avant lors des cérémonies militaires, de commémoration et est membre de la section des Anciens combattants de Trets.

Son parcours...

Le 29 août prochain, il fêtera ses 98 ans. Né en Pologne, élevé en Allemagne puis en France. A cette époque la Pologne est occupée par l'Allemagne, en pleine guerre et son père est enrôlé en qualité de canonnier sur un Croiseur de la Kaiserliche Marine. A la fin de la guerre, sa mère rejoint son père, démobilisé, à Gelsenkirchen, en Allemagne, où il travaille dans une mine de charbon. C'est là qu'il sera élevé et fera la connaissance de son père qu'il n'avait jamais vu. La famille est très pauvre.

A l'age de 5 ans, en 1922, quand son père décide de quitter l'Allemagne pour la France. La famille s'installe à la Cité de Rouvrat, près de Montceau-les-Mines, où de nombreuses familles d'immigrés Polonais, Hongrois, Italiens les ont précédés pour travailler dans les mines. Il fera sa première communion à l'âge de 8 ans.
La situation familiale ne s'est guère arrangée avec cette venue en France. Dés qu'il sera en âge de pouvoir le faire, il aidera ses parents en distribuant des journaux pour quelques sous tout en continuant sa scolarité obligatoire. Il travaillera ensuite à l'usine dès 13ans, puis chez un charcutier polonais etc

François Monarcha s'engagea en 1936 à la Légion qu'il quittera vingt ans plus tard. Entre-temps, il aura croisé le général Rollet, figure tutélaire de l'institution puis à partir de 1943, participé aux combats de la France Libre. Il avait été nommé sergent en 1939, fera des séjours au Sénégal, Maroc , participe à la campagne de Tunisie en 43, puis débarquera en Provence, à Marseille le 16 septembre 1944 pour libérer la France. " J'appartiens désormais avec mon unité à la 1 ère Armée du Général de Lattre de Tassigny. C'est dans cette armée et au RMLE que je vais poursuivre une guerre devenue ma raison de vivre. Ce seront les campagnes de France et Allemagne. Le 16 novembre 1944, nous sommes à Arcey. J'y rencontre pour la première fois, en combattant, les soldats de l'armée allemande. " Il est alors nommé chef de section au feu en novembre 1944 (Doubs, bataille des Vosges et d'Alsace), il entre ainsi avec le RMLE (Régiment de marche de la Légion étrangère), à Colmar le 2 février 1945. Blessé en avril en Allemagne, il passera dix-neuf mois dans quatre hôpitaux français avant de rejoindre Bel-Abbes.

"Je conserve de cette blessure des séquelles qui ne m'empêcheront jamais de vivre normalement. Pour ces faits de guerre des campagnes de France et d'Allemagne, j'ai été cité deux fois à l'ordre de la Division et du Corps d'Armée. Après cette longue hospitalisation, je rejoins le 1^er REI à Bel Abbés.

Le 3 janvier 1948, il se mariera avec son infirmière de Lyon, et revient à Bel Abbés comme instructeur au DGRE. Nommé Adjudant-chef le 1 er mars 48, Muté au mois d'août au 3/4 ème REI formant Corps à Meknès, Bataillon en formation, avec le Commandant Bouchon, il remplit les fonctions d'Adjudant-chef de Bataillon. Fait remarquable, il est le plus jeune Adjudant-chef en âge et plus tard le plus ancien en grade. Il demandera et obtient la naturalisation française en 1948. Il quitte la Légion. le 16 février 1956 après 20 ans de service.

Après de nombreuses activités au Maroc il obtient le grade d'Adjudant-chef et en 1962 est nommé Lieutenant. Il a alors 3 enfants. En 1964, il donne sa démission et rentre en France pour être intégré dans la Police Nationale avec le grade de Sous-brigadier (ex officier) mais exerçant les fonctions de Brigadier jusqu'en 1973, date de sa retraite définitive.

"J'ai reçu beaucoup d'honneurs pour avoir beaucoup donné à la France qui sait reconnaître ceux qui la servent avec honneur et fidélité. La Légion d'honneur, la Médaille Militaire, la croix de guerre, des citations, la Croix du Combattant, la Médaille Coloniale, agrafe Tunisie 42/43, la Médaille de la reconnaissance Française, Médaille Commémorative de la Guerre 39/45, avec mention "Engagé volontaire" Afrique, Libération, Allemagne. La Médaille Commémorative, Maintien de l'Ordre en Algérie, Médaille des Blessés, Médaille d'honneur de la Police Nationale, La Distinguichet Unit Badge USA à titre personnel, le droit au port individuel de la Fourragère aux couleurs de la Croix de Guerre 39-45.

"Tout cela me comble et me fait oublier cette douloureuse blessure reçue par un français alors que je me battais pour les délivrer. [...] Je n'oublierai jamais ceux qui sont morts à mes côtés, en combattant pour la "France éternelle" telle que nous l'a définie le général de Gaulle au soir des périls. Je veux rester à la hauteur de leur sacrifice, de ceux qui n'ont pas eu la chance de vivre jusqu'à la fin l'épopée des héros que la Gloire à touchés." témoigne Mr Monarcha

9 bénévoles du Pays d'Aix dont Trets récompensés en 2015, par L'Etoile du Bien et du Mérite

Samedi, 25 Avril 2015 03:21

Le Journal tretsois

21/04/2015

Grand moment associatif ce samedi 18 avril 2015 à 11h, salle des colombes avec la cérémonie de récompenses de l'Etoile du bien et du mérite, qui était de retour après une année d'absence en 2014. Présidée par Jacques Mauret cette édition a réuni environ 70 personnes pendant une heure et célébrait les 15 ans d'activités de remises de récompenses, où 121 médailles ont été décernées durant toutes ces années dont 3 médailles de bronze , 12 d'argent et 24 d'or...

L'ETOILE DU BIEN ET DU MERITE est une association d'encouragement à caractère social ayant pour but d'encourager et de récompenser le bénévolat, toutes les manifestations de probité, de civisme, de dévouement et les bonnes actions sous toutes leurs formes, d'honorer par la remise de récompenses de diverses natures : médaille, étoile, diplôme toute personne physique ou morale qui se sera distingué bénévolement dans sa vie privée ou publique en faveur de son prochain, d'apporter dans la mesure de ses moyens son aide à des oeuvres humanitaires, associations caritatives ou personnes dans la détresse.

Dans son discours d'introduction, Jacques Mauret 1er Vice président de l'association au niveau national, maitre de cérémonie ce samedi, expliquera "Le bénévolat est un pilier essentiel de la vie associative : sur 1,3 millions d'associations en France , seules 165.000 ont un ou plusieurs salaries. Une majorité d'associations est donc animée uniquement par des bénévoles qui n'attendent rien d'autre en retour de leur engagement que le plaisir de rendre service, d'aider leur prochain, de se mettre à la disposition de l'autre avec « bonne volonté ». Il représente un véritable poids économique dans un pays comme la France. A quel point l'Etat devrait-il alourdir la pression fiscale si le salariat ou les missions de service public devaient remplacer le bénévolat associatif ? Si nous devions rapidement faire un constat : qui gère le sport amateur , qui anime la culture et les loisirs, qui gère les clubs des anciens, qui s'investit dans le milieu caritatif (secours populaire, secours catholique, restos du coeur, la croix rouge), et tant d'autres activités, les bénévoles. Les bénévoles ne s'engagent pas pour recevoir des récompenses, leur engagement se fait toujours dans la discrétion, sans compter le temps qu'ils consacrent aux autres, un altruisme dont ils peuvent être fier.
C'est dans cet esprit que nous vous avons réunis aujourd'hui pour honorer quelques bénévoles de notre région dont le dévouement, l'investissement personnel , en un mot l'altruisme, méritaient d'être honoré."

9 récipiendaires ont ainsi été récompensés cette année, proposés à la structure nationale qui les ont alors retenu par la commission nationale de récompenses. Beaucoup ne s'y attendaient pas du tout à recevoir une médaille ce samedi, pensant que ce serait un ami qui allait être honoré, leurs proches ayant eux été mis dans la confidence cependant.

	Dominique POUGET Monsieur POUGET est bien connu dans le milieu associatif bénévole du football Tretsois. Dès l'âge de 25 ans il s'est investi dans un sport qu'il affectionnait particulièrement : le ping pong. Il s'occupait dès 1975 d'un club de ping pong sur Marseille Puis il a intégré le milieu du football. Il était membre du bureau du Celtic de Beaumont. Arrivé à Trets en 1999, il s'est investi bénévolement au sein de l'Union Sportive Tretsoise comme dirigeant puis comme éducateur. Comme il adore les enfants il s'est dirigé vers le formation des poussins, maintenant en U 11. Il est depuis 2008 vice Président de l'Union Sportive Tretsoise. Sa longue implication bénévole dans les milieux sportifs méritait une reconnaissance. La commission de récompenses de l'Étoile du bien et du Mérite lui décerne : la médaille d'Or.
	Joël GUYOT Monsieur Joël Guyot à rencontré dès 1961 le monde associatif chez les Scouts de France avant d'embrasser la carrière militaire. Il n'a jamais quitté le vie associative bénévole. Il a été pendant plusieurs années membre de l'encadrement de la section de Judo Club de Peypin puis dirigeant du Football Club de cette Ville. De 1983 à 2006, pendant plus de 20 ans il a été membre actif du Comité Communal des Feux de Forêts de Peypin. Il a été aussi membre des Donneurs de sang bénévoles et membre du bureau de cette association pendant 15 ans. Membre des Anciens combattants de Peypin il en assure les fonctions de trésorier depuis 2006. Il est également membre de la commission communale d'accessibilité des personnes à mobilité réduite depuis 2009 Il est titulaire de la Médaille de Bronze de la Défense Nationale et de la Médaille d'Argent du Don du Sang. La commission nationale de récompense, après en avoir délibéré, lui attribue : La Médaille d'or du Bien et du Mérite
	Paulette MIRABELLA Madame Mirabelle , après une vie professionnelle active, c'est engagée depuis maintenant de nombreuses années dans le milieu associatif bénévole. Après une participation à l'aide à la personne, à la Croix Rouge, à l'association du Secours populaire, elle consacre aujourd'hui l'essentiel de sons activité au Club des Anciens de l'Olympe pour lequel elle consacre beaucoup de son temps. Membre actif de cette association elle assure la fonction de trésorière qu'elle gère avec beaucoup d'attention, de rigueur et de sérieux. Personne discrète et dévouée elle fait preuve d'ingéniosité et de dynamisme participant activement à l'organisation des nombreuses activités de ce club de séniors : lotos, gouters, repas , sorties, etc... Cet engagement bénévole, ce dévouement à ce club auquel elle consacre beaucoup de son temps, méritaient une reconnaissance r Notre commission nationale de récompense, après en avoir délibéré, lui attribue : la Médaille d'Argent du Bien et du Mérite
	Maurice PERLIN Monsieur PERLIN , natif de contrées lointaines, le Maroc, le doit à l'affectation d'un père Officier de l'Armée de l'Air. Maurice PERLIN après une longue et brillante carrière d'ingénieur, père de deux garçons ingénieurs à leur tour et d'un petit fils qui prend cette même voie, tradition familiale oblige , Maurice PERLIN s'est investi dans le monde associatif bénévole après avoir flirté quelques temps avec l'engagement municipal L'Etoile du Bien et du Mérite l'a reçu comme adhérent en Octobre 1999, autrement dit à l'aube de la création de la section du Pays d'Aix et de Provence. Au cours de ces 15 années de participation active dans l'étoile du bien et du mérite , il en est devenu le personnage incontournable Trésorier. C'est lui qui tient les cordons de la bourse. Un problème récent de santé l'ont contraint a me donner sa démission de Trésorier. En reconnaissance de services rendus il a reçu la Médaille de Vermeil de l'Etoile du Bien et du Mérite
	Antoine COZZOLINO Monsieur COZZOLINO était un amoureux de la pêche en mer et en rivière depuis son plus jeune âge. En 2001, grâce à sa fille, il découvre le monde associatif et s'investit bénévolement au sein du Comité permanent des Foires de Trets et de la Confrérie St Eloi St Christophe. Quelques mois plus tard il deviendra l'heureux propriétaire d'un cheval de trait, ce qui lui permettra de participer, encore aujourd'hui , a toutes les St Eloi de la Région qui en compte 21. Depuis 2009 il sera nommé « Capitaine de Cavalcade » au sein de la Confrérie. Malgré un caractère « bien trempé », c'est un homme plein de générosité, d'énergie et toujours prêt à rendre service Il est de toutes les manifestations organisées par la Confrérie et la Fédération du Cheval de trait. On le retrouve également dans la manifestation organisée pour les enfants malades de l'Hôpital Nord Cet engagement bénévole, ce dévouement personnel auquel il consacre beaucoup de son temps, méritaient une reconnaissance. La commission nationale de récompenses, après en avoir délibéré, lui attribue : L'Etoile de Bronze du Bien et du Mérite
	Guy PARIS Au retour de son service militaire et dans l'attente de son inscription envisagée à l'Ecole des Beaux Arts de Paris, la Légion Etrangère de Puyloubier fit appel à ce tout jeune artiste pour un challenge : occuper l'oisiveté des fidèles serviteurs de la Légion et leur procurer un passe temps leur permettant d'oublier de graves blessures physiques et morales. Cet homme profondément humain, témoin de la vie communautaire des pensionnaires de la Légion parvint à devenir un véritable pilier de l'Institution et a faire de l'atelier de céramique une des plus intéressante activité du Domaine. Il fit de certains de ces légionnaires des céramistes de talent, des véritables santonniers, tant et si bien qu'il fut à même de présenter un de ses légionnaires au concours de Meilleur ouvrier de France. Dans ce même soucis d'occuper les pensionnaires il s'est investi dans l'Association de Tir à l'Arc nature du Domaine pour leur proposer autre chose que le travail et le foyer Cette association ouverte aux handicapés en fauteuils a été en son temps une réussite sportive enregistrant dans ses adhérents plusieurs champions de France. Durant 42 ans de dévouement il a su faire vivre et transmettre son art avec patience et générosité permettant une réinsertion sociale à des hommes marqués par les guerres. Il est Chevalier de l'Ordre Nationale du Mérite, Chevalier des Arts Sciences et Lettres, Meilleur Ouvrier de France, Médaille de Vermeil Classe honoraire de la Légion Etrangère Pour ce long parcours de dévouement la Commission Nationale de Récompenses lui attribue l'Etoile d'Argent de l'Etoile du Bien et du Mérite
	Albert PASQUIER Monsieur Albert Pasquier, d'origine Suisse c'est engagé à la Légion Etrangère à un moment ou notre Pays avait besoin d'hommes. Il s'est retrouvé dans différentes parties du Monde ou théâtres d'opérations. Apprécié de ses chefs, il a fait une brillante carrière militaire ou le social et l'humain ont toujours été présents dans son .comportement Il est actuellement secrétaire de l'Association d'Aide aux Anciens de la Légion Etrangère à Puyloubier. Il consacre bénévolement beaucoup de son temps, au détriment de sa vie familiale, à l'accompagnement et au soutien de ses anciens frères d'armes. D'un abord agréable, calme et serviable, il apporte une aide efficace à l'activité de cette association par une présence effective et un engagement personnel actif à toutes les manifestations qui sont organisées. Il est titulaire de la Médaille militaire, de la Médaille Coloniale, de la Médaille de la Défense Nationale, et de la médaille de Reconnaissance de la Nation. Après en avoir délibéré, la Commission Nationale de Récompenses lui attribue l'Etoile de BRONZE de l'Etoile du Bien et du Mérite
	Sylvain Mario OROFINO Monsieur Sylvain OROFINO est une personne bien connue des Tretsoises et des Tretsois. C'est son amour de la nature qui l'a conduit en 1978 à rejoindre le monde associatif bénévole à Aix en Provence en accompagnant les jeunes dans des activités extérieures et manifestations culturelles diverses dans le respect de la nature. Puis, des problèmes de santé l'ont conduit à adhérer à l'Association ALUSSA fortement liée au corps médical dans laquelle il s'est particulièrement investi .11 a tenu une permanence au Centre Communal d'Action Sociale d'Aix en Provence permettant d'accueillir des personnes atteintes de cette affection ou leurs proches afin de les informer et de les orienter en les aidant à mieux appréhender la maladie. En 2005 il est devenu membre de la Confrérie St Eloi St Christophe et du Comité Permanent des Foires de Trets. Depuis cette époque il participe activement et bénévolement à toutes les manifestations organisées par ces deux associations : les foires de printemps et de la St Barthélemy, les festivités de St Jean et de la St Eloi, le marché de Noël . Et, les aviez vous, il est aussi ,incognito, le Père Noël de Trets. Il est aujourd'hui vice Président de ces deux associations qui animent une grande partie des festivités de notre Ville Pour nous résumer, nous dirons que Sylvain est un homme de coeur et d'une grande générosité , investi dans le bénévolat avec énergie et rigueur, toujours disponible et prêt à rendre service Il reçoit l'Etoile de Bronze de L'Etoile du Bien et du Mérite
	Roger EMILIANI Monsieur EMILIANI est tombé très jeune dans la marmite du bénévolat. Dans les années 60 il rentre au Comité des fêtes du Comité d'intérêt de son quartier, La Valentine. Avec une jeune équipe il relance les fêtes, les bals, les concerts et créé un Rallye. Dès son arrivée à Trets en 1976 il entre au Comité des Foires, relance les foires qui s'essoufflent en y associant un espace ferme qui ressemble une centaine d'animaux. La foire de la St Barthélémy qui date de 1529 se maintiendra contre vents et marées. rées. Il organisera avec le Comité Foires 2 records du monde entrés dans le Guiness : celui du plus grand attelage de chevaux de traits et de la plus longue tresse d'ail. Il créé le Carnaval des enfants, met en place le marché de Noël, un succès qui perdure En 2000 il fait renaître de ses cendres la Confrérie St Eloi en sommeil, soutenu par les charretiers de la Région. La tradition du banquet d'hiver, les décorations du village, sont repris. La Confrérie s'investit dans les festivités de la St Jean et anime la messe de Minuit avec le défilé aux flambeaux. Dans la foulée il a créé la Fédération de Provence du Cheval de Trait, monte le concours de labours régionaux, mène une sélection de provençaux au concours national et depuis peu organise un pôle cheval dans le cadre de la foire de Brignoles. Il a crée ERTA une association chargé de promouvoir le travail du cheval de trait en ville comme à la campagne dont il prend la vice présidence. Notre commission nationale de récompenses, après en avoir délibéré, lui attribue : L'Etoile de Bronze du Bien et du Mérite

Jacques Mauret terminera la manifestation en expliquant : "Toutes ces personnes rentrent dans cette catégorie de gens bénévoles, dévoués, ils méritaient d'etre sous les feux de la rampe, j'espère longtemps qu'ils continueront de pratiquer ce sport magnifique qu'est le bénévolat, le monde en a tellement besoin. Je les remercie très très fort de ce dévouement et je pense que dans les années qui viendront, je souhaite longue vie à l'Etoile du bien et du mérite, en pensant que bientôt, dans un avenir très proche il faudra penser à un trésorier et président de cette section car comme tout un chacun je commmence à avoir de nombreuses heures de vol et il faudra que je passe la main. J'ai pris un grand plaisir pendant toutes ces années à côtoyer des gens de votre qualité et de votre dévouement"

Un apéritif conclura la manifestation.

152ème anniversaire du combat de Camerone : Le 2e REP ouvre ses portes au public

Samedi, 25 Avril 2015 03:04

Rédigé par (Jean-Paul-Lottier) le Lundi 20 Avril 2015

Le 2^e Régiment étranger de parachutistes de Calvi fêtera le 30 avril, le 152^e Anniversaire du combat de Camerone. Pour l'occasion, il ouvrira ses portes au public le 30 avril et le 1^er mai prochains

Le 30 avril 1863, dans le village de Camerone, au Mexique, soixante-trois légionnaires français, sous les ordres du capitaine Jean Danjou, résistent à une armée mexicaine de plus de deux mille hommes.

C'est pendant le siège de Puebla que se produit le drame de Camerone.

Une compagnie de la Légion étrangère, aux ordres du capitaine Jean Danjou (35 ans), est chargée de protéger un convoi de ravitaillement de l'armée française quand elle voit surgir des cavaliers juaristes. Après avoir repoussé une première charge, le capitaine se réfugie dans le village abandonné de Camerone (Camaron pour les Mexicains), dans l'État de Veracruz.

Il se barricade avec ses hommes dans la cour de l'auberge, fermée par de hauts murs, avec l'objectif de retenir assez longtemps l'ennemi pour que le convoi puisse s'éloigner.

A la suite d'une première démonstration de force des Mexicains - six cent cavaliers et mille quatre cents fantassins -, le colonel Milan, qui les commande, offre la reddition à la Légion étrangère.

Le capitaine refuse et jure de ne jamais se rendre. Ses hommes font de même. Danjou est bientôt tué en inspectant les positions. Le colonel Milan lance enfin un assaut auquel la Légion résiste héroïquement.

L'auberge est incendiée et les huit survivants se retranchent dans un hangar où ils tiennent encore plus d'une heure avant d'être faits prisonniers. Ils acceptent de se rendre à condition de conserver leurs armes et que leurs blessés soient soignés, ce qu'acceptent les Mexicains.

Trois cents Mexicains auront été au total mis hors de combat par les 63 légionnaires mais l'héroïsme de ces derniers n'empêchera pas l'échec final de Napoléon III.

L’anniversaire de ce fait d’armes est commémoré depuis 1905 avec faste par la Légion

Après la prise de Puebla et l'entrée des Français à Mexico, un simulacre d'assemblée nationale octroie la couronne de l'Empire du Mexique à Ferdinand-Maximilien. Mais en avril 1866, Napoléon III doit rapatrier le corps expéditionnaire en catastrophe. Ferdinand-Maximilien est pris et fusillé par les juaristes le 19 juin 1867.

De ce fiasco reste le souvenir de Camerone. La Légion lui doit ses quartiers de noblesse, trente ans après sa création. Depuis 1906, l'anniversaire de ce fait d'armes est commémoré avec faste par la Légion étrangère.

Le programme des manifestations

30 avril

10 heures - Prise d’armes,

11h30 - Vin d’honneur sur invitation et sauts de démonstration,

11h30 - Ouverture de la kermesse,

- Démonstration de sports de combat, démonstration de sauts,

23 heures- Fermeture de la kermesse.

1er Mai

11 heures - Ouverture de la kermesse,- sauts tandem,

17 heures - Tirage de la tombola,

19 heures - Fermeture des stands de jeux,

22 heures - Fermeture de la kermesse.

Des paras de Barkhane largués dans la passe de Salvador

Samedi, 25 Avril 2015 02:52

Publié le 20-04-2015

Par Olivier Fourt

Les soldats de Barkhane sont prêts à embarquer pour l'opération de parachutage. RFI/Olivier Fourt

Cette semaine, embarquement avec la force Barkhane en opération avec l’armée nigérienne dans l’extrême-nord du Niger. Notre journaliste Olivier Fourt a pu suivre l’opération Kunama 2 qui s’est déroulée du 8 au 14 avril. Près de 800 kilomètres parcourus afin d’endiguer les flux de ravitaillement des terroristes qui transitent par le nord du Niger.

Les soldats de Barkhane se sont rendus ces derniers jours là où aucun militaire français n’avait plus mis les pieds depuis le milieu du 20e siècle et l’aventure des fameuses unités méharistes. Tout a commencé en pleine nuit avec un largage, destiné à surprendre l’adversaire et bloquer les accès à la passe de Salvador qui relie le Niger à la Libye.

De notre envoyé spécial

Le tarmac de la base de Faya-Largeau est éclairé par les phares des véhicules de Barkhane. Comme le capitaine Miguel, les parachutistes du 2e REP préparent leurs équipements. « On vérifie son parachute dorsal et ventral », explique-t-il. Chaque militaire est très chargé. « Ça dépend des légionnaires, mais par exemple un légionnaire dont la fonction est radio ou transmetteur a une gaine qui approche les 40 kilos, donc ça fait un poids conséquent », indique-t-il.

C’est parti. L’appareil décolle. Pour le 1ere classe Teddy, c’est le premier saut en opération. « En saut opérationnel, il faut faire attention aux petits détails, souligne-t-il. En plus, c’est de nuit en Afrique, sur un territoire qu’on ne connaît pas trop. » Les militaires vont être parachutés à quelques kilomètres de la passe de Salvador. « On tombe sur une zone plutôt dégagée. Normalement, sur zone, cette nuit, il n’y aura pas de danger. Après, c’est plutôt demain matin... »

L’avion survole le désert sous la lueur bleutée de la pleine lune. Il faut près de deux heures de vol pour rejoindre la zone de largage sur un plateau à cinq kilomètres de la passe de Salvador.

Les légionnaires sont prêts pour le largage. Le décompte commence. C'est parti.

Cette nuit-là, deux légionnaires se blesseront en arrivant au sol : vertèbres fracturées. Ils seront évacués vers la France.

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