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Légionnaire toujours...

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2012




La mémoire enfin restaurée

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le 10/09/2012

HISTOIRE - Le camp des Milles, situé près d'Aix, est inauguré ce lundi...


La salle des peintures a été entièrement restaurée.

Il aura fallu 30 ans pour restaurer le camp des Milles et en faire un lieu de mémoire. Inauguré ce lundi par Jean-Marc Ayrault, il est le seul camp d'internement et de déportation resté intact en France. Entre 1939 et 1942, plus de 10.000 personnes, dont de nombreux artistes et intellectuels, ont été internées dans cette ancienne tuilerie située près d'Aix. «C'est une usine, un lieu de travail ordinaire au bout d'un village ordinaire, au milieu des cigales et du soleil. C'est dans cet ordinaire que des gens ordinaires ont vécu l'extraordinaire», déclare Alain Chouraqui, le président de la Fondation des Milles, mémoire et éducation. Avec ce musée, on fait le pari que l'homme peut se servir du passé, que l'Histoire peut éclairer l'avenir».

«Il y avait beaucoup de Justes»

«On était loin d'imaginer que les Français puissent nous arrêter pour nous remettre aux Allemands», raconte Herbert Traube, interné aux Milles après la rafle du 16 août 1942. Quand je suis arrivé au camp, j'avais 16 ans, j'étais seul, alors je ne pensais qu'à m'échapper pour ne pas subir ce que l'on voulait faire de moi. » Enfermé quelques mois plus tard dans un wagon le menant au camp de Rivesaltes, il réussit à s'enfuir. «Si la tête passe entre les barreaux, le corps passe», lui a soufflé un autre déporté. Une fois dehors, il rejoint Marseille où des habitants le cachent, avant de s'engager dans la Légion étrangère sous une fausse identité. «On parle souvent des méchants qui ont persécuté, mais il y avait aussi beaucoup de Justes, des gens bien». Herbert a très peu raconté à ses deux enfants son passé. Pour «oublier, par honte d'être vivant, et parce que les gens ne voulaient écouter.» Mais aujourd'hui, à 88 ans, il s'attache à livrer cette période de sa vie à ses quatre petits enfants: «Cela ne doit jamais se reproduire. Jamais». Herbert sera là lundi, pour transmettre la flamme du souvenir.

Amandine Rancoule

Les légionnaires du 3 défilent au Brésil

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By On 9 septembre 2012 · Leave a Comment

L’air du célèbre Boudin fait résonner le sambodrome de Macapa …

Voila ce que je dirais si je devrait résumer la participation des légionnaires de la CCS du 3e REI à la fête nationale brésilienne, le 7 septembre à Macapa. Invités par leurs homologues du 34e BIS, les hommes du 3 ont répondu présent et porté les couleurs de la Légion au delà de la frontiere.

Avec leur pas lent, les légionnaires ont ouvert le défilé à pied et représenté la France devant des milliers des brésiliens. Leurs applaudissements résonnent au delà de sambodrome. Les défilé à été clôturé par les célèbres BOPE brésiliens.

Des beaux souvenirs … qui resteront sans doute bine marqués tant dans la mémoire des légionnaires que dans celle des brésiliens qui les ont accueilli.


BBC Celebrates Susan Travers, The Only Woman in the French Foreign Legion by Zoe Chevat, September 7th, 2012

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by Zoe Chevat  September 7th, 2012

This week, BBC Online Magazine proudly celebrates the life and complete badassery of the late Susan Travers, who would have been 100.

Travers was (and is) the only woman to have been a member of the French Foreign Legion. During her later years, surprised reactions to seeing her with the tell-tale red and blue ribbon would not have been unusual, especially given the Legion’s reputation and standing within France. For our American and non-French readership, let us say that the Foreign Legion, a military unit for foreign nationals who wish to serve in the French Armed Forces that is commanded by French officers, is notoriously tough. Because soldiers in the Legion hail from all over, a sense of cohesion is developed through rigorous training that is both physically and mentally extreme. Starting to get the idea?

Travers is also a recipient of the Legion d’Honneur, the Medaille Militaire, and the Croix de Guerre, which are among France’s highest honors for military service. As told by biographer, and friend, Wendy Holden, Travers was no stranger to the military. The British-born daughter of a Royal Navy admiral, she joined the French Red Cross when World War II broke out across Europe. Instead of taking up the expected position of being a nurse, Travers was drawn to the daredevil role of ambulance driver. She first served with French forces in Finland against the Russians in the Winter War, then, when the Nazis took hold of Southern France, joined up with General De Gaulle’s Free French, making her way to Africa as part of the 13th Demi-Brigade of the Legion Etrangere. As Holden says,

    Volunteering as a driver to the brigade’s senior officers, she exhibited such nerves of steel in negotiating minefields and enemy attacks that she earned the affectionate nickname “La Miss” from her thousand male comrades.

Travers’ entire life reads like an epic pulp serial. She even, before meeting the great love of her life, Colonel Marie-Pierre Koenig, as his driver, had an affair with a White Russian Prince. Of the significant engagements and campaigns Travers took part in, perhaps none is as significant as when Koenig’s forces held out against Germany’s Afrika Korps in the Western Desert for 15 days, against planes, tanks, and much heavier artillery than the French were equipped with. When all other female personnel were evacuated, Travers refused to leave Koenig. When supplies ran out, Travers, still formally the Colonel’s driver, led the fort’s forces in a daring midnight escape, flooring it across desert terrain littered with mines, and under heavy fire. Said Travers of the experience, “It is a delightful feeling, going as fast as you can in the dark.”

Escaping to fight another day, Travers would go on to have many adventures, joining the fight in Italy, Germany, France (where she drove a ‘self-propelled anti-tank gun’, a phrase lifted straight from dieselpunk fantasies). After the war, she became an official member of the Legion, omitting her gender on the application, and creating her own uniform.

Why her life story hasn’t been summarily processed into a blockbuster biopic is beyond us. British-born woman becomes daredevil French ambulance driver, travels the world, meets her true love, kicks Nazi butt? Get on making that already, we’d like to watch the hell out of it.

For further details of this remarkable woman, see the full article at BBC Online.

« Les OPEX : justification fonctionnelle ou nécessité nationale ? La France en a-t-elle encore les moyens et surtout la volonté ? »

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Military Tattoo 2012

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Esta confirmado,para el mes de setiembre,la Musica Principal de la Legion Extranjera,estara presente en Chile,para el Military Tattoo 2012 y Parada Militar.


Athanée de Bonifacio... suite

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03/09/2012


A la ferme, instruction de base à Castelnaudary.

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Athanée militaire de Bonifacio...

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La Légion a débarqué à Guérande

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Dimanche 2 septembre 2012

Pas de panique, ce n’est qu’un camion de recrutement de la Légion étrangère ayant sillonné la Bretagne toute la semaine, qui s’est posé devant les remparts. Objectifs : se rapprocher du public pour « dédramatiser » la réputation de ce corps d’armée, et recruter.

L’adjudant Anto Vidovic, 18 ans de carrière sous le képi blanc est en mission de recrutement : 

« La légion véhicule une certaine image, d’où ma présence sur le terrain pour dire,

notamment, que les conditions d’engagement ont évolué ».

Un premier contrat de cinq ans

La Légion recrute une centaine de civils chaque année en Bretagne et Pays de la Loire* et le passage du camion facilite la signature des contrats ; même si le premier engagement est de cinq ans d’une vie très militaire et très stricte.
Contrairement à ce que l’on croit souvent, la Légion n’intègre pas (plus) que des étrangers, comme ce fut le cas lors de la création de cette troupe en mars 1831 par Louis-Philippe pour « intercéder » en Algérie.
On peut donc s’engager à partir de 17 ans et demi (avec une autorisation parentale) et jusqu’à 40 ans. Faut-il encore être en bonne forme physique, « Il faut être apte à servir en tout lieu ».
Et, puis ne pas avoir eu trop maille à partir avec la justice. « Ça doit être réglé avant de venir nous voir, il faut payer sa dette à la société ». Par contre sont exclues les personnes condamnées pour crimes de sang, violence à main armée, crime ou délit sexuel et trafic de drogues.
Ce n’est plus cette image d’Épinal, le choix entre la prison ou la Légion étrangère ? « Oui, c’était parfois le cas autrefois et comme au cinéma avec Jean-Claude Van Damme »* (rires).


« Ce qu’il faut, c’est être volontaire». « Aucun diplôme n’est exigé, nous engageons des combattants que nous formons nous-mêmes. Évidemment, si la personne a des diplômes, elle sera utilisée dans les différentes spécialités de la Légion ». Pour la région Bretagne, les premiers tests de sélection se font à Nantes, ensuite à Paris, puis à Aubagne.
Si les conditions d’engagement se sont un peu assouplies, le nouveau légionnaire va vivre une vie de spartiate. « Il est célibataire, nourri, logé, blanchi à la caserne, pas le droit de se marier, pas le droit d’habiter à l’extérieur ni d’acheter une voiture ». Ça calme. Néanmoins, le passage du véhicule permet, entre autres, de trouver assez facilement le personnel nécessaire aux actions menées aux quatre coins du monde, comme à Mayotte, en Guyane ou dans les Émirats Arabes.

« Les premières années passent assez vite », rassure l’adjudant Anto Vidovic, qui lui, n’a plus qu’un an à faire.
Les quatre mois d’instruction de base se passent à Castelnaudary, puis le bleu sera affecté dans un régiment de forces de la Légion. Le choix dépend des résultats de l’instruction et des places disponibles. Il suivra ensuite d’autres stages propres à son régiment (para, cavalerie, infanterie, génie) puis rejoindra une compagnie. Solde de départ : 1 200 euros, plus les primes de terrain.
À quand des femmes légionnaires ? : « Pas encore, ce n’est pas à l’ordre du jour ; les spécificités des missions de la Légion, qui est une force combattante plus que logistique font que c’est comme ça ».

* La légion recrute 1 000 hommes par an, il y a eu 10 000 candidatures en 2009, moyenne d’âge 23 ans, 80 % d’étrangers, actuellement à dominante slave et balkanique (38 %).
La Légion compte dans ses rangs 146 nationalités. En 2010, les candidats provenaient de 70 pays différents, même de Chine ou d’Amérique latine. La langue utilisée partout est le français.
Parmi les emblèmes de la Légion, le képi blanc officialisé en 1939 et le béret vert dont l’usage fut généralisé après la guerre d’Algérie.

** Van Damme est l’acteur principal du film Légionnaire.


Pratique :
Légion étrangère à Nantes
02 28 24 20 70
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http://www.legion.recrute.com

PERTES FRANCAISES LORS DE L'OPERATION IRONCLAD EN 1942

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