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Légionnaire toujours...

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2012




Dernier vol du « VILLE DE KOLWEZI »

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Lun 27 Aoû 2012

Pour les plus vieux d'entre nous, certains se rappelleront peut-être du jour du 19 mai 1978 où la Légion sautait, à partir de C160 Transall, sur Kolwezi, ville au sud de l'ex-Zaïre. Ce n'est que 34 ans plus tard, que l'un de ces Transall, le R18, nommé "Ville de Kolwezi", sera retiré du service.


L’avion a reçu les premiers hommages de la journée au sein de son dernier escadron de transport d’appartenance, le 3/61 «Poitou». Une séance d’aérolargage a été organisée en présence des anciens. Au programme : un largage à ouverture automatique (400 mètres de hauteur) et un autre, à ouverture retardée (2500 mètres). Certains privilégiés étaient à son bord dont une trentaine de commandos parachutistes et un légionnaire, le major Jean Rodet-Loew, âgé de 28 ans à Kolwezi en 1978. «Gaine près du ventre et parachute dans le dos pendant cinq heures, mon pire et en même temps mon plus beau souvenir de Kolwezi», a-t-il confié à son retour de vol.

En début d’après-midi, fraichement repeint depuis juillet 2012, le R18 a décollé pour un ultime trajet en direction du musée de l’air et de l’espace. À ce moment, les passagers installés en soute sont à la fois heureux, nostalgiques et fiers de voler à bord de cet avion qui a marqué l’Histoire. Arrivé au-dessus du Bourget, l’avion est monté plein-pot après une descente à basse altitude : une stupéfiante remise de gaz que les spectateurs au sol ont pu admirer. Ultimes manœuvres avant d’intégrer le musée, ce «haut lieu où rentrent les grands de l’aéronautique». Le R18 a finalement atterri, vers 15h30, devant des centaines de passionnés impressionnés et émus. À l’atterrissage, l’avion a été accueilli sous les jets d’eau des pompiers venus le célébrer. Une haie d’honneur bien méritée où il a fait entendre au public son dernier ronronnement.

Sur le tarmac, une cérémonie a été organisée. Les troupes, prévues pour entourer une dernière fois le R18, ont été passées en revue par le général Éric Law de Lauriston, commandant en second du commandement du soutien des forces aériennes, et le général Philippe Gasnot, commandant la brigade aérienne d’appui et de projection du commandement des forces aériennes. La cérémonie s’est poursuivie par le discours solennel et nostalgique du général Gasnot qui a remis officiellement les clés de l’avion à Madame Catherine Maunoury, directrice du musée.

Le général Gasnot a eu à cœur de rappeler les innombrables opérations du Transall «dans les cieux du monde», atterrissant parfois sur «la poussière des pistes sommaires» et réalisant des manœuvres périlleuses. Des opérations militaires, mais aussi de fret et des missions humanitaires, qui ont marqué l’esprit de ses équipages, de «Kolwezi» en 1978 à N’Djamena en 1984, au Sinaï en 1988 ou encore en Polynésie en 2005. Des actions diverses et nombreuses qui font du R18, selon Catherine Maunoury, un «avion maternel qui sauve des vies».


Après une exceptionnelle carrière opérationnelle, c’est une destinée culturelle qui s’ouvre pour le R18. Depuis le parking du musée, l’avion va remplir une nouvelle et ultime mission, «celle de témoigner d’une aventure humaine, militaire et technique extraordinaire». C’est aussi ce qu’a rappelé Catherine Maunoury en présentant le R18 comme le «témoin des valeurs de l’armée de l’air». Car, même loin de ses hommes fidèles, le mythique avion poursuit son service à la nation en garantissant l’éternel devoir de mémoire.

Livre Blanc : comment penser la Défense de demain ?

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La Légion étrangère recrute en Bretagne

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Fougères et sa région

L'adjudant Anto Vidovic© Ouest-France.

Des militaires de la Légion étrangère sillonneront les routes bretonnes du 28 au 31 août.
De Saint-Malo à Pontivy, en passant par Lamballe et Morlaix, du 28 au 31 août, des recruteurs du poste d'information de Nantes parcourront les routes bretonnes dans un camion aux couleurs de la Légion étrangère.

L'adjudant Anto Vidovic, chef du poste nantais, sera au volant : « Nous recrutons une centaine de militaires chaque année. Comme les civils connaissent peu nos règles d'engagement, nous allons à la rencontre de la population pour l'informer. »

Créée le 9 mars 1831 par le roi Louis-Philippe pour intervenir en Algérie, la Légion étrangère n'était composée que d'étrangers. Si elle a conservé ses traditions, sa rigueur et sa discipline, elle a assoupli les conditions de recrutement, comme le précise l'adjudant Vidovic : « Désormais, des Français et des étrangers peuvent intégrer la Légion. Il faut avoir de 17 ans 1/2 à 40 ans et une pièce d'identité en cours de validité du pays d'origine. Nous recrutons aussi des jeunes qui ont eu maille à partir avec la justice sous réserve que leur condamnation soit purgée et qu'ils n'aient pas été condamnés pour crime de sang, crime ou délit sexuel, violence, violence à main armée ou trafic de stupéfiants. »

Le premier contrat est de 5 ans renouvelable. Pendant cette période, le légionnaire est considéré comme célibataire et vit en caserne. Et, durant la première année de leur engagement, les Français perdent leur patronyme et leur nationalité au profit d'un nom d'emprunt issu d'un pays étranger francophone.

La Légion étrangère s'installera de 10 h à 18 h, le 28 août à Saint-Malo, porte de Dinan ; le 29 août à Lamballe, Place du marché ; le 30 août à Morlaix, Place des otages et le 31 août à Pontivy, place Aristide Briand.

Légion étrangère, 16, rue des Rochettes, 44013 Nantes. Tous les jours, 24 heures/24.Tél. 02 28 24 20 70. Courriel : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

Chantal BOUTRY.

Ouest-France

Prise de fonction du général Hervé Charpentier, gouverneur militaire de Paris

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Bandeau tir de nuit

Journée au profit des oeuvres sociales et des blessés de la Légion étrangère

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Publié le 24 août 2012

Le mardi 28 août 2012 à Saint-Tropez, la Légion étrangère organise une journée au profit des oeuvres sociales et des blessés de la Légion étrangère en présence de monsieur Jean-Pierre TUVERI maire de Saint-Tropez, de Monsieur J.D. SARRAQUIGNE, directeur de la brasserie SENEQUIER et du général Christophe de Saint CHAMAS, commandant la Légion étrangère.

Parce que la Légion étrangère est une troupe composée d’étrangers qui ont tout quitté pour servir la France, l’entraide et la solidarité sont des éléments essentiels qui règlent en toutes circonstances les rapports au sein de la communauté légionnaire. Il revient au commandement de la légion étrangère de mettre en oeuvre cette entraide. Cette journée sera l’occasion de mettre en avant les légionnaires devant les amis de la légion à Saint Tropez : présentation d’un détachement de pionniers, démonstrations
dynamiques de combat rapproché et aubades du quintette de cuivres de la Musique de la Légion étrangère. Enfin, une équipe de l’atelier viticole de l’Institution des Invalides de la légion étrangère proposera au public ses vins à la dégustation et à la vente.

Cette manifestation permettra de remercier la mairie de Saint-Tropez ainsi que monsieur SARRAQUIGNE de leur soutien, de leur solidarité et de renforcer les liens de fraternité qui unissent les citoyens et les légionnaires.

Programme :
- 11H00 : arrivée des autorités civiles et du général devant la mairie - Aubade musicale.
- 11H30 : déplacement vers la Brasserie SENEQUIER.
- 12H00 : début des démonstrations (alternance de séances de TIOR -Technique d’Intervention Opérationnelle Rapprochée- et d’interprétations musicales) devant la Brasserie SENEQUIER.
- 17H00 : fin de l’activité.

Source : Commandement de la Légion Etrangère


La Légion étrangère et l'Algérie 1954 - 1962

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Le premier hors-série du magazine Légion étrangère, histoire, patrimoine et traditions vient de paraître sous la plume de Jean Balazuc, polytechnicien, président de l'Union des Anciens Combattants de EDF-GDFet président délégué de la fédération André Maginot; Né à Birtmandreïs, dans le département d'Alger, il a participé à la guerre d'Algérie comme chef de section au 1/7e RAAC puis au 3e RPC. Avec ce travail chronologique, il livre une somme importante d'événements qui permettent de mieux comprendre le conflit algérien. L'intégralité des droits d'auteur est reversée à l'Entraide Légionnaire. Disponible en kiosque à partir du 24 août. 

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Editorial par Jean-Luc Messager 

À Sidi-Bel-Abbès, son sanctuaire, non loin du Musée du Souvenir où sont rassemblées les reliques recueillies sur mille champs de bataille, quatre guerriers en armes montent jour et nuit une garde inlassable. Ces quatre légionnaires veillent autour du monument élevé à la mémoire de tous leurs camarades morts au combat, de tous ceux qui, fidèles à une discipline librement consentie et dans le respect de la parole donnée, sont devenus « fils de France, non par le sang reçu mais par le sang versé ». Ainsi s’exprimait le Maréchal Juin, le 15 novembre 1957 en préfaçant la deuxième édition du Livre d’Or de la Légion étrangère.

Oui, l’Algérie fut le berceau de la Légion étrangère après que cinq bataillons furent envoyés à Alger, Bône et Oran dès la fin de 1831. Peu à peu, cette terre de conquête deviendra d’élection avec Sidi-Bel-Abbès comme épicentre, les légionnaires forgeant avec leur sueur et leur sang, un ailleurs lointain qui deviendra leur. 

Au rythme de l’Histoire, ils y viendront, reviendront et finiront par en partir un jour sombre de septembre 1962 quand les dépouilles de général Rollet, du prince Aage de Danemark et du légionnaire Zimmerman, dernier tué à l’ennemi, s’en iront reposer en terre provençale.

Des képis blancs, épars entre Mers-El-Kébir et les sables sahariens, prolongeront la présence légionnaire en Algérie jusqu’en 1968. En quittant l’Algérie, la Légion est revenue de loin. Cette terre qui l’avait vue naître, qu’elle avait contribué à conquérir, qu’elle avait farouchement aimée a failli être son tombeau.

La Légion est repartie.

À l’aventure et au combat.

Elle s’est forgée un autre ailleurs, mais toujours sous la garde de ses quatre légionnaires qui veillent jalousement sur leurs innombrables camarades, debout pour l’éternité.

JB 4

L'auteur Jean Balazuc

De « l'indiférence générale » au...

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Devoir de mémoire...

Pour que l’oublie ne se creuse au long des tombes closes,

pour qu’ils ne soient pas morts, pour une chose morte.

 

Sur l'excellent site officiel, http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/ , le cimetière militaire de Diégo Suarez, seul et unique représentant officiel des nombreux cimetières militaires du Nord de la Grande Ile, présente sur la page : http://www.cheminsdememoire.gouv.fr/fr/cimetiere-militaire-diego-suarez ce magnifique Hommage de le France reconnaissante à ses Enfants.

 

le monument « aux Morts pour la France »

est en dehors du cimetière militaire,

sur un chemin passager quotidien : il a été oublié !

Aujourd'hui, il ne reste pas grand-chose, ni plaque, ni chaine...

Et son regard, ne balaye pas les tombes de ceux qui sont tombés...

L'entrée du cimetière militaire ; le portail HS est chez le gardien (civil payé par la mairie, 11 euros/mois) il a fait des

demandes au consulat, jamais eu de prise en compte : cimetière portes ouvertes.

Une plaque commémorative pour un civil disparu en mer... Paix à son âme...

Un monument, la tombe du capitaine de frégate commandant le Bougainvillier , mort au combat à Diégo Suarez en 1942 (anglais) ;

la marine en a fait avec raison une gloire, la Légion débroussaille…







Des tombes de civils malgaches , surtout de 1982…Un président malgache qui se fichait pas mal de la France.

 

Mais aussi...





 
Il en manque un ...

Entretien des tombes militaires... suite

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Pour que l’oublie ne se creuse au long des tombes closes,

pour qu’ils ne soient pas morts, pour une chose morte.

 

LES ENFANTS DU SOLEIL

... de la rue à l'espoir... forgeons leur un avenir !

 

Au cimetière d'Ambohipo près de Tananarive

L'équipe de Tana a nettoyé le cimetière où reposent 35 soldats Français.

Avant le nettoyage

 


Après...

 

A Fianarantsoa

On n'oublie pas non plu.

Depuis des années, l’Association Française « Les Enfants du Soleil » s’occupent de l'entretien des cimetières des Militaires Français en effectuant  le nettoyages et la remise en état de ces cimetières.

Les 200 enfants du Soleil, les femmes du CAT et le Personnel EDS sont motivés, ils n’ont pas peur car ils ont l’habitude d’accomplir cette tâche.

Entretien des tombes

 

 
 
Entretien des tombes
 
 

A Fianarantsoa, on trouve 2 lieux où les militaires Français « Morts pour la France » sont enterrés : 1er lieu avec 97 tombes situés à Ampasambazaha et 2 stèles, et 2e lieu à Ivory comprenant 99 tombes et 2 stèles.

Entretien des tombes
 
 

Les tâches effectuées sont : débroussaillage des mauvaises herbes, ramassages des herbes, balayages des cours et des allées, coupage de haie vive qui séparent les parcelles.

Entretien des tombes
 
 

Après tout cela, on a entamé les travaux de maçonneries : la réparation des fissures et les croix des tombes, et la peinture : blanchir tout

Entretien des tombes
 
 

C’est le seul devoir des enfants du soleil envers les ancêtres Militaires Français qui ont donné leur sang à Madagascar, plus précisément à Fianarantsoa.

 

L'association les Enfants du Soleil :

 

Vous voulez les aider ? Cliquez sur le bandeau ci dessous.


Die Fremdenlegion – Légion étrangère 1831 - 2012

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Cimetière militaire de Cap Diégo...

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A côté de nos frères d'Armes des T.D.M.









La tombe du Colonel PARDES, originaire de la ville de PRAYSSAC (lot) dont une rue porte le nom, Chef de corps du 15e R.I.C.

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