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Légionnaire toujours...

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2011

Castelnaudary. 14 Juillet : le mauvais temps gâche la fête

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Publié le 14/07/2011

 

Les troupes se mettent en place pour le défilé/Photo DDM, Nino Bjalava

Élus et services techniques municipaux, artificiers avaient les yeux rivés sur le ciel, hier matin, ainsi que sur le site de Météo-France. En milieu de matinée, il fallait se rendre à l'évidence, le vent annoncé faisait craindre le pire et nécessitait l'annulation du feu d'artifice. C'est donc dans la douleur que la décision a été prise d'autant que ce feu d'artifice-là devait avoir un éclat particulier en raison des cérémonies scellant vingt années de l'amitié qui lie Castelnaudary et sa ville jumelle de Marradi. La délégation italienne venue en force aura donc été privée de ce festival de lumière qui lui était particulièrement dédié, les Chauriens, eux peut-être pas, si la ville décidait de remettre ce feu d'artifice à la Fête du cassoulet, comme cela avait été le cas, il y a quelques années.

Annulé également, le petit bal du 14-Juillet avec le groupe Obsession qui avait commencé à s'installer et a dû lever le camp.

Pour le reste, la pluie a eu le bon goût de ne pas venir jouer les trouble-fête pendant la prise d'armes et le défilé. Légion étrangère, sapeurs-pompiers ont investi la place de la République tandis qu'à la mairie avait lieu le renouvellement de serment entre Castelnaudary et sa ville jumelle de Marradi, en Italie. Pour la musique, les Sans-Soucis.

Gladys Kichkoff


Castelnaudary Le 4° RE sur les Champs-Elysées

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13/07/2011

 

 

Sur les Champs-Elysées et sur le Cours de la République : le 4e RE est sur tous les fronts. (R. D)

Ce n'est pas la première fois que le 4e RE envoie des hommes au défilé du 14-Juillet sur les Champs Elysées, mais c'est bien la première fois qu'ils chanteront, accompagnés par la musique de la Légion étrangère, qui fera le déplacement d'Aubagne. Cela fait quelques jours que les légionnaires chauriens sont en répétition sur la base aérienne de Villacoublay pour les derniers calages. Si vous voulez les suivre lors de la retransmission télévisée, sachez que la Légion est toujours à l'arrière du défilé, grâce à son pas lent caractéristique, 88 pas à la minute contre 120 pour les autres troupes.Si deux compagnies chauriennes, la compagnie des commandements et des services et la 3e sont à Paris, le 4e RE fournira également des hommes, autour de 200 pour le défilé de ce soir à Castelnaudary.

Rendez-vous pour la prise d'armes place de la République à 20 h, puis le défilé à 20 h 45.

J. Y.


AUVILLERS-LES-FORGES Jean-Luc Labroche n'est plus

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Publié le lundi 11 juillet 2011

Nous avons appris le décès de Jean-Luc Labroche, survenu au centre hospitalier de Charleville-Mézières, à l'âge de 55 ans, après une dégradation de sa santé depuis quelque temps.
Originaire d'Auvillers-les-Forges où il était né le 1er octobre 1955, Jean-Luc, célibataire, fils de Robert Labroche (décédé en 1973) et Lydie Roget, domiciliée dans notre commune, route Nationale, a toujours habité à « Mon Idée ».
Après sa scolarité passée à l'école de « Mon Idée » et au collège, il a fait des études de comptabilité avant d'entrer dans le monde du travail pendant deux années comme comptable au Garage Petit de Charleville-Mézières.
Ensuite, il s'est engagé dans les Parachutistes pendant un an avant de signer un engagement dans la Légion étrangère. Il était en retraite depuis une vingtaine d'années.
En 2008, il avait eu la douleur de perdre son frère Marc, âgé de 45 ans.
Il a consacré les dernières années de son existence à prendre soin de sa mère.
Aimant se cultiver et s'informer, Jean-Luc adorait la lecture.
Il laissera le souvenir d'un homme trop tôt disparu, d'un calme naturel.
Sa sœur Jacqueline est domiciliée à Vaux-Villaine, tandis que son frère Roger réside dans le Tarn-et-Garonne.
Ses obsèques auront lieu ce lundi à 14 h 30 en l'église d'Auvillers.
Notre journal adresse à sa mère, à ses sœur et frère et à toute la famille ses condoléances.


Sophie Amat a dirigé la musique de la Légion

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Le mardi 12 juillet 2011

 

Sophie Amat aux commandes de la musique de la légion.

Quand on dit que l'école de musique de Coursan produit d'excellents musiciens, de vrais artistes reconnus un peu partout en France, ce n'est pas une exagération mais une belle réalité. On connaît d'illustres anciens, de plus jeunes, comme le talentueux Jeannot Imbert et son quintet de cuivres et il a aussi Sophie Amat, fille de Gérard et Jacqueline Artau, devenue récemment la première femme à diriger la musique de la légion étrangère d'Aubagne.

Un sacré parcours

Une superbe performance et un signe de reconnaissance certain pour ce pur produit de l'école municipale de Coursan. En effet Sophie a appris la musique dans la cité, sous la direction d'Elisabeth Albert. Elle a ensuite instrumenté au sein de l'Harmonie républicaine au pupitre des flûtes, dirigée, à l'époque par René Calva. Elle s'est ensuite perfectionnée au Conservatoire de Béziers, puis à celui de Toulouse avant de rejoindre Marne La Vallée avec ses parents.

Là, à l'Ecole nationale de musique, elle a obtenu de nombreux diplômes avant de se lancer dans la direction d'orchestre et d'obtenir un certificat régional de direction des sociétés musicales de Franche Comté. Elle devient ensuite professeur d'éducation musicale, puis professeur de flûte traversière. Elle est actuellement directrice d'un orchestre d'Harmonie de La Lyre Vercelloise depuis septembre 2009.

À l'occasion d'un concert de gala en marge du festival de musique du Haut Doubs qui a eu lieu à Vercel (25), la musique de la légion étrangère d'Aubagnes était invitée à jouer un morceau en compagnie de la Lyre Vercelloise dirigée par Sophie. Ces hommes n'étaient pas habitués à être dirigés par une femme, puisque c'était la première fois. Il y avait également comme musicienne, Christelle Thiel invitée, qui dirige l'Harmonie de Coursan et aussi Florian, le fils de Sophie, aux percussions.

Un grand moment musical et une belle première.


Un nouveau commandant pour les hommes du 1° R.E.C

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Publié le lundi 11 juillet

Le colonel Bechon a remplacé le colonel Jaron lors d'une grande cérémonie

Pour la dernière fois, le colonel Jaron, ici avec le général Windeck, a passé en revue les troupes du 1er R.E.C. Photos Jérôme REY
Aux personnalités civiles s'étaient joints une dizaine d'anciens chefs de corps du régiment orangeois. Un grand moment d'émotion pour ces retrouvailles ici pendant la "Marseillaise".
La fin de la cérémonie avec  le défilé des troupes en présence de près de 500 légionnaires.
Le nouveau chef de corps, le colonel Jean-Christophe Béchon, a passé à son tour les troupes du 1er R.E.C. en revue

Tradition respectée par une chaleur rappelant un peu le... désert pour les légionnaires du 1er Régiment Étranger de Cavalerie, hier matin au quartier Labouche. Le colonel Gilles Jaron a laissé la place au colonel Jean-Christophe Bechon après deux ans de commandement. Il devait, lors de son discours, dire notamment : "Au moment de quitter pour la 3e et dernière fois ce régiment auquel j'ai profondément souhaité appartenir, je garde l'immense satisfaction d'avoir côtoyé, puis commandé une communauté humaine d'une très grande richesse. Je suis d'ailleurs convaincu que cette richesse est la marque qui nous distingue le plus et à laquelle nous devons veiller par-dessus tout. "

Il rappela aussi les "vertus de courage, d'abnégation, de rigueur, de discipline et de disponibilité qui de tous temps ont fait notre force", et les "mots d'Honneur et de fidélité". Enfin, soulignant la présence d'hommes du 1er R.E.C. en Côte d'Ivoire (le 2e escadron) et en Afghanistan (les O.M.L.T.) il s'inclina "une dernière fois devant notre étendard" et souhaita "bon vent" au colonel Bechon. Le général Antoine Windeck rendit hommage au colonel Jaron : "chef déterminé possédant le caractère trempé des hommes d'action mais aussi homme de grande culture (...) de conviction, refusant la médiocrité et le dogmatisme".

D'où un "commandement que je qualifierai d'exceptionnel". Le colonel Bechon, natif de Clermont-Ferrand, âgé de 43 ans, qui débuta à Saint-Cyr, servit au 1er R.E.C. de 1992 à 1995 puis de 2005 à 2007 . Il a aussi été présent à Djibouti, Mourmelon, Paris, Saumur, Rome et lors d'opérations au Calmbodge, en Bosnie-Herzégovine, Kosovo et Afghanistan. Marié et père de trois enfants, il est Chevalier de la Légion d'Honneur.

Tristan JAURÉGUY


Castelnaudary. Nos légionnaires sur les Champs-Élysées le 14 juillet

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Publié le 08/07/2011

Prise d'armes au quartier Danjou pour la fête régimentaire./ Photo DDM, archives, Gladys

Deux compagnies… ce sont cent quarante-quatre militaires du 4e régiment étranger qui défileront sur les Champs-Élysées pour le 14 Juillet dont le thème de cette année est l'Outre-mer. Et ils le feront en chantant, s'il vous plaît. La compagnie de commandement et des services, appelée la compagnie du chef de corps et la 3e compagnie des engagés volontaires commandée par le capitaine Potel, a répété pour l'occasion avec l'adjudant-chef Dumond, de la musique de la Légion étrangère, venu tout exprès d'Aubagne. Depuis quelques jours, nos soldats ont pris la direction de la Capitale pour les dernières répétitions. C'est sur la base aérienne de Villacoublay que toutes les troupes se retrouvent pour caler au millimètre près ce prestigieux défilé.

Le 14 Juillet, la Légion présentera ses pionniers ; sa musique de la Légion étrangère ; le chef de corps du 1er régiment étranger d'Aubagne, le colonel des Courtils et sa garde au drapeau seront suivis d'un peloton du 1er régiment étranger et d'un autre composé de militaires du groupement de recrutement de la Légion étrangère de Fort de Nogent à Fontenay-sous-Bois, Val-de-Marne, et du régiment chaurien. Rappelons que la Légion est toujours la dernière des troupes à pied dans le défilé, ce qui s'explique par son pas lent - 88 par minute, contre 120 pour les autres troupes, et même 140 pour les chasseurs alpins. Celui-ci est l'héritage du rythme de déplacement en campagne des armées de l'Ancien Régime et de l'Empire, en particulier du régiment de Hohenhole, dont la Légion étrangère a conservé de nombreuses traditions.

Autre particularité, au cours ou en fin de défilé (en particulier pour le 14 juillet à Paris), les détachements de défilé de la Légion étrangère ne se dissocient pas. C'est devenu un usage en toutes circonstances, mais, à l'origine, cette disposition était prise en raison de la cadence du « pas Légion » ; les détachements prenaient un itinéraire différent des autres troupes à pied afin de ne pas être rejoints par les unités montées (aujourd'hui essentiellement motorisées) qui les suivaient.

Enfin que les Chauriens se consolent, tout le « 4 » ne sera pas à Paris pour la Fête nationale et il y aura, comme à l'accoutumée, une forte participation, avec 200 soldats, au défilé qui, pour nous, aura lieu le 13 juillet, au soir.

Gladys Kichkoff


L'amour traverse les guerres

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07/07/11

Printemps 1940. Les combats font rage en France, mais l'issue de la bataille ne fait plus aucun doute. Au cœur de la tourmente, Roger, soldat français, Abdel, originaire d'Algérie et Franz, leur ennemi allemand se rencontrent un peu par hasard dans la cave de Jacqueline. Les trois hommes tombent éperdument amoureux de la jolie jeune femme, sans pour autant étaler leurs sentiments aux grand jour.

20 ans plus tard, cet amour est toujours bien vivace. Les temps ont pourtant changé. Roger a fait carrière dans l'armée. Franz s'est engagé dans la Légion étrangère. Ensemble, ils servent en Indochine, puis en Algérie. Jacqueline n'est jamais loin. Abdel a quant à lui rejoint les fellaghas du FLN. D'ami, il est passé à ennemi.
20 ans de guerre est avant tout une grande et complexe histoire d'amour. Celle d'une femme aimée par trois hommes aux origines très différentes, mais aux destins croisés. Hervé Loiselet signe un scénario haletant et rythmé. Une performance à signaler dans la mesure où il n'est jamais évident de changer à plusieurs reprises - qui plus est dans le même album - d'époque tout en suivant les mêmes personnages. La narration coule parfaitement sans que le scénariste n'ait besoin à aucun moment de replacer les acteurs et les événements dans leur contexte, entreprise qui se serait très certainement révélée longue et fastidieuse. D'un point de vue graphique, on peut saluer le travail de Blary (qui signe par ailleurs l'excellent Vies tranchées, chez Delcourt) et des couleurs délavées qui donnent à cet album et à son histoire un aspect vaporeux.


20 ans de guerre, Loiselet et Blary, éd. Le Lombard, 88 p., 15,50 euros

La Solidaire, bel effort et grande générosité

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Publié le 07/07/2011

Les coupes de «La Dépêche» : au plus jeune, 20 ans, le légionnaire Jeszenski et au doyen,

l'adjudant-chef Girard, retraité, 68 ans./Photos DDM, Olivier Bouchard.

Quand la générosité se double d'un véritable exploit sportif, c'est la Solidaire, la bien nommée, une course organisée par le 4e régiment étranger qui a emmené 75 cyclistes -44 participants les deux premiers jours, 63, le 3e- de Nice à Puyloubier. Pour la bonne cause puisqu'il s'agissait de récolter des fonds pour l'institut des invalides de la Légion étrangère. Ce sont d'ailleurs 10 508 € qui ont ainsi été reversés et qui permettront de changer le lave-vaisselle industriel, améliorant ainsi directement le quotidien des pensionnaires puisqu'ils participent aux « corvées ». Tout le monde a donc pédalé pour la bonne cause avec, comme l'an dernier, un grand col, celui de la Bonnette-Restefond. En chiffres, pour bien mesurer l'exploit, la Solidaire, c'est 444 kilomètres en 3 jours et 5 800 mètres de dénivelé. A noter la participation active et très active du chef de corps, le colonel Mistral, et celle du général Bouquin, commandant de la Légion étrangère, venu avec tout son staff. Un autre fidèle de la course, Olivier Bouchard, photographe « officiel » de l'événement.

Si les participants ont donné leur écot, la course avait été largement sponsorisée par des entreprises du Lauragais qui ont voulu ainsi participer à leur manière. Un beau geste qu'il convient de souligner. Y aura-t-il une troisième édition ? Avec l'appui du nouveau chef de corps, le colonel Talbourdel, peut-être. Castelnaudary rêve d'un départ de notre ville. On croise les doigts ?


14 Juillet : au pas et en chansons

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mardi 05 juillet 2011
 

Petite nouveauté sur les Champs-Élysées : certaines unités et écoles termineront leur défilé en chantant.

Quatre formations qui défileront à pied sur les Champs-Élysées vont entonner des chants à l'approche de la tribune d'honneur, place de la Concorde. Il s'agit de l'ENSOA (école nationale des sous-officiers d'active) de Saint-Maixent (Deux-Sèvres), dont les 158 élèves chanteront le chant de tradition « Jeune chef », et de l'EMIA (école militaire interarmes) de Saint-Cyr Coëtquidan (Morbihan), dont 85 élèves défileront. « Les élèves de la promotion Colonel Déodat du Puy Montbrun vont entonner le chant qu'ils ont rédigé en l'honneur de leur parrain », précise le commandant Simon, des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan.

Troisième formation « chantante » : le 2e Rima (Régiment d'infanterie de marine) de Champagné près du Mans. 140 des soldats qui rentrent d'Afghanistan chanteront un chant de guerre polynésien : « Napoka kiu ».

Enfin, 300 militaires de la Légion étrangère, derrière leur étendard et leurs pionniers, chanteront « Nous sommes tous des volontaires ».

L'initiative est belle mais elle n'est pas assurée d'être une réussite technique. Il va falloir « sonoriser un soldat sur trois pour éviter que les paroles et les voix ne se perdent dans le grand vide face à la tribune », explique le colonel Sastre. Les adjoints du gouverneur militaire de Paris planchent toujours sur le timing (début du chant avant la tribune, quand les musiques auront cessé) et les aspects technico-accoustiques. Mais comme ils mettent du coeur à l'ouvrage, l'affaire est (sera) entendue...


MERICOURT-EN-VIMEU 2000 € d'amende pour avoir détenu des armes de guerre

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Le courrier picard

Samedi 02 Juillet 2011

 

L'homme detenait notamment des fusils. (Photod'illustration)

Un homme a été condamné à une amende de 2000 € pour avoir acquis et détenu des armes dans un hangar à Méricourt-en-Vimeu.

Un homme originaire de Thury-sous-Clermont (Oise) a été condamné à 2000 € d'amendes par le tribunal d'Amiens pour avoir acquis et détenu des armes et munitions sans autorisation, dont du matériel de guerre en état de marche.

Des éléments pour grenades à main, soixante-dix kilos de munitions pour pistolets automatiques, des pistolets-mitrailleurs et fusils : voilà ce qu'on pouvait trouver pendant quelques mois dans le hangar de Pascal Legrand, 55 ans, à Méricourt-en-Vimeu. Le matériel faisait partie des catégories 1 (interdit) et 4 (soumis à autorisation).

La cargaison a été découverte par les gendarmes lors d'une perquisition en septembre 2009. Pascal Legrand l'a obtenu en janvier 2009 d'un «vieil ami collectionneur » habitant à Beaudéduit dans l'Oise, à une vingtaine de kilomètres de Méricourt.

Conscient de l'illégalité de l'acte, Pascal Legrand avait pris les munitions «pour rendre service », comptant «les recéler à un stand de tir ».

Cet ancien légionnaire, issu d'une famille de militaires, a longtemps eu une addiction reconnue comme «pathologique » envers les armes, qu'il collectionnait «pour le plaisir des yeux ».

En juin 2009, il avait été condamné à dix-huit mois de prison pour des faits similaires datant de 2000 à 2004, sans que cela ne le pousse à débarrasser son hangar de son matériel gênant.
», lui a reproché le procureur, lui demandant de réfléchir à «la puissance de mort des armes ». Qu'est-ce qui attirait tant Pascal Legrand ? «Leur principe de fabrication, leur finition, leur réputation liée aux différents conflits ». «Pourquoi ne pas les avoir désarmées ? », l'interroge-t-on. «Les collectionneurs préfèrent avoir des armes fonctionnelles ».

L'avocat de Pascal Legrand a souligné que son client était «loin d'un trafiquant d'armes ».

«Le matériel n'était pas caché, les cartons étaient posés à même le sol. Certains n'étaient même pas ouverts ».

Son avocat a assuré «d'un suivi médical qui se passe bien ». «Je me suis fait sérieusement soigner, j'ai envie de m'en sortir », confirme Pascal Legrand, qui ne détient plus aucune arme aujourd'hui.

JEAN-BAPTISTE ALLEMAND


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