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2013


Accident d'un camion de légionnaires de Castelnaudary : le bilan monte à 19 blessés

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Le 23 septembre

Les légionnaires du 4e régiment étranger partaient au camp de manoeuvre de Caylus. PHOTO/Image Google Maps

Mise à jour à 16 h 50

Selon un nouveau bilan établit par la préfecture du Tarn-et-Garonne, l'accident qui s'est produit ce lundi matin à quelques kilomètres de Caylus, s'établit définitivement à 19 blessés parmi les légionnaires du 4e régiment étranger de Castelnaudary. 

Parmi les victimes, une seule personne a été sérieusement atteinte, sans que son pronostic vital ne soit engagé. Pour les autres, les blessures sont variables, allant de la simple contusion à diverses fractures. 

Cet accident a nécessité l'intervention de nombreux secouristes et la mise en place d'un poste médical avancé. Selon le commandement du 4e RE, le seul blessé sérieux a été transporté par hélicoptère vers l'hôpital de Rodez. Selon la Légion étrangère, aucun civil n'aurait été impliqué dans l'accident.

Le camion de transport de troupes se rendait au camp d'entraînement de Caylus. Le conducteur aurait fait une embardée, à la suite d'un contrôle visuel dans son rétroviseur, avant de percuter un muret.


Tarn-et-Garonne : 19 militaires blessés dans un accident de camion

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23 Sept. 2013

Dix-neuf militaires ont été blessés ce lundi en fin de matinée dans l'accident de leur camion survenu à Verfeil-sur-Seye, dans le Tarn-et-Garonne. Ils faisaient partie du 4e Régiment étranger (Légion étrangère) de Castelnaudary (Aude) et devaient se rendre au camp de Caylus pour participer à des manoeuvres.

L'un d'eutre eux, grièvement atteint, a été héliporté jusqu'au centre hospitalier de Rodez. Son pronostic vital n'est pas engagé.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le camion a quitté la route vers 11H30 pour une raison encore non précisée, et a percuté un muret.
 
Cet accident a nécessité le déclenchement par la préfecture du plan Novi, un plan d'urgence visant à organiser les secours en cas de nombreuses victimes.


Tarn-et-Garonne: un camion de légionnaires percute un muret: 19 blessés, dont un grave

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Le Parisien | 23 Sept. 2013

Dix-neuf militaires ont été blessés, dont un grièvement, dans l'accident d'un camion qui transportait des légionnaires du 4e Régiment étranger de Castelnaudary (Aude), lundi, dans le Tarn-et-Garonne, a-t-on appris de source préfectorale.Le militaire grièvement blessé dans l'accident survenu à Verfeil-sur-Seye a été héliporté jusqu'au centre hospitalier de Rodez.

Son pronostic vital n'est pas engagé.Les autres victimes ont été blessées plus ou moins légèrement dans cet accident qui a nécessité le déclenchement par la préfecture du plan Novi, un plan d'urgence visant à organiser les secours en cas de nombreuses victimes. Les blessés ont été conduits dans les établissements hospitaliers de Montauban, Albi et Villefranche-de-Rouergue.Selon les premiers éléments de l'enquête, le camion a quitté la route vers 11H30 pour une raison non précisée dans un premier temps, et a percuté un muret.D'après son site internet, le 4e RE compte 44 officiers, 170 sous-officiers et 358 militaires du rang permanents. Implanté depuis 30 ans à Castelnaudary, il mène essentiellement des missions de formation, en particulier des jeunes légionnaires et des cadres non officiers de la Légion étrangère.


Castelnaudary. Légion : bientôt le semi-marathon

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Publié le 18/09/2013

Le départ a lieu, cours de la République. ./Photos DDM, xarchives, Gladys

C’est le grand et incontournable rendez-vous de la rentrée. Affûtez vos baskets car le 36e semi-marathon de la Légion étrangère approche… Le 4e régiment étranger, grand organisateur de l’événement, attend les amateurs de course à pied et les espère nombreux au départ qui sera donné le samedi 5 octobre, à 9 h 30, cours de la République sur un parcours de 21 km au bord du canal du Midi. Mais ce ne sera pas la seule épreuve puisque, comme les précédentes éditions, un parcours de 10 km sera également proposé avec un départ à 9 h 45.

Chaque année, des centaines de coureurs militaires mais également civils participent à ce qui est devenu un événement sportif emblématique en Lauragais.

Pour information, les épreuves se déroulant le matin, il n’y aura pas d’inscription le jour de la course. Quant au retrait des dossards, il se fera au stand accueil le samedi dès 7 heures et jusqu’à 9 heures, place de la République. L’inscription est gratuite. Vous pouvez dès à présent vous inscrire en ligne sur le site du régiment, onglet semi-marathon. À noter que la clôture des inscriptions aura lieu le mercredi 2 octobre. Le certificat médical peut être joint au bulletin d’inscription ou ramené au moment du retrait des dossards.

Renseignements et inscriptions :

sur le site du 4e RE : www.4re.legion-etrangere.com,

par téléphone au 04 68 23 77 14

par mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. .

Bonne préparation à tous et à bientôt sous le soleil du Lauragais.

La Dépêche du Midi

Itinéraire d'un général

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17/09/2013

Né en 1960, Saint-Cyrien de la promotion « Grande armée » de 1981 à 1983.
L'essentiel de sa carrière opérationnelle s'est déroulée dans les unités de la légion étrangère et plus particulièrement au 2e régiment étranger de parachutistes (REP) à Calvi où il sert successivement en qualité de chef de section, officier adjoint et commandant de compagnie.
En 1995, il rejoint le cours supérieur d'état-major puis le collège interarmées de défense en 1996. En 1997, il obtient le brevet d'études militaires supérieures.
A sa sortie, il rejoint à nouveau le 2e REP à Calvi où il occupe pendant trois ans la fonction de chef du bureau opération instruction.
Le 1er août 2000, il est affecté à l'état-major de l'armée de Terre à Paris en tant qu'officier chargé d'études capacitaires internes à l'armée de Terre, en interarmées et interministériel.
En juillet 2004, il prend le commandement du 2e REP jusqu'au 21 juillet 2006 et prend part à la tête de son régiment à deux opérations en République de Côte d'Ivoire.
Affecté au poste de chef d'état-major de la 11e brigade parachutiste de juillet 2006 à août 2008, il sert notamment comme chef d'état-major de la Task force multinationale Nord au Kosovo de septembre 2006 à janvier 2007.
En août 2008, il est affecté au centre de planification et de conduite des opérations de l'état-major des armées.
Nommé général de brigade le 1er août 2011, il prend le commandement de la 11e brigade parachutiste à Toulouse.
Le 1er août 2013, il prend le commandement de l'Ensoa. Il occupe également à cette date les fonctions de délégué militaire départemental des Deux-Sèvres et commandant de la base de défense de Poitiers-Saint-Maixent, et d'autorité immédiatement supérieure du Centre national d'entraînement commando 1er choc.
Le général Patrice Paulet est officier de la légion d'honneur, commandeur de l'ordre national du Mérite et titulaire de trois citations dont deux avec attribution de la croix de la valeur militaire. Il est marié et père de trois enfants.


Muret. Un nouveau patron pour le régiment du matériel

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Publié le 16/09/2013

1200 personnels (800 militaires et 400 civils). Tel est l’effectif actuel du 3° Régiment du Matériel de Muret ; une force économique pour la ville. Le régiment est depuis juillet commandé par le lieutenant-colonel Hervé Desmeulles, originaire du nord-ouest de la France, saint-cyrien (1991-1994) et dont nous présentons le parcours. A sa sortie de l’école d’application du matériel en 1995, il est affecté au 11ème Régiment d’artillerie de marine. Il rejoint la légion étrangère en 1997 pour y assurer les fonctions de chef de section d’instruction au 4ème Régiment étranger, puis d’officier adjoint et commandant de compagnie de maintenance au 2ème Régiment étranger de parachutistes de Calvi. Il participe à plusieurs opérations extérieures en Afrique et dans les Balkans.

Affecté en 2002 à la Direction centrale du matériel .Il y réussit le concours de l’enseignement militaire du second degré, puis obtient en 2005 un Master of business and administration à HEC, et en 2006 le diplôme de l’école de guerre de Paris. De retour en formation opérationnelle, il prend les fonctions de chef du bureau-maintenance-opérations-instruction du 3ème RMat. En 2007-2008, il assure la création, la préparation opérationnelle, puis le commandement du premier mandat de l’OMLT1 Soutien en Afghanistan. Affecté en 2008 en administration centrale, il rejoint le bureau finances de l’état-major de l’armée de terre comme officier études/synthèses, et assure la gestion des crédits de fonctionnement courant de l’armée de terre. En 2008-2009, parallèlement à ses fonction d’officier d’état-major, il est également auditeur de l’Institut des hautes études de l’entreprise.En 2011, il est responsable à l’état-major des armées de la gestion de l’organisation, des effectifs et de la masse salariale des bases de défense et des services interarmées de soutien. Il quitte la capitale pour Muret en juillet dernier.

Jean-Pierre Roland

Un boulevard général Jean-Simon à Paris

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L'histoire en rafale

Posté le 13 septembre 2013

Paris inaugure, le mercredi 25 septembre 2013 à 11H15, le boulevard du général d’armée Jean Simon, compagnon de la Libération, chancelier de l’Ordre de la Libération de 1978 à 2002. Il avait été nommé à cette haute fonction après Claude Hettier de Boislambert. C’est le général Alain de Boissieu Dean de Luigné qui lui avait succédé.


La cérémonie se déroulera au carrefour du boulevard Masséna, de l’avenue de la porte de Vitry et de la rue Patay (13e arrrondissement), en présence de Bertrand Delanoë, maire de Paris, de Jérôme Coumet, maire du 13e arrondissement, de Catherine Vieu-Charier, adjointe au maire de Paris chargée de la Mémoire et du Monde combattant et du colonel (h) Fred Moore, Délégué national du Conseil national des communes « Compagnon de la Libération » et dernier chancelier de l’Ordre. Les autorités se retrouveront face à la station Maryse Bastié – Tramway T3a.


Jean Simon est né à Brest le 30 avril 1912 est une figure incontestable et incontestée de la France libre. Il fait ses études au Prytanée militaire de la Flèche, puis au lycée Saint-Louis à Paris. Il entre à Saint-Cyr en 1933, en sort en 1935 comme sous-lieutenant au Régiment d’infanterie coloniale du Maroc (RICM) stationné à Aix-en-Provence.


Affecté en août 1936 au 1er Régiment de tirailleurs sénégalais (1er RTS) à Saint-Louis, il exprime le souhait de servir en région saharienne, aussi suit -il le cours des affaires politiques et musulmanes de Mauritanie. A l’issue de cette formation, il présente un travail important sur les nomades Regueibat qui se déplacent en fonction des pâturages des confins algéro-marocains, au Rio del Oro et à la Mauritanie.


En 1937, le lieutenant Jean Simon prend le commandement de la subdivision de Tichitt en Mauritanie dans cette région proche du Soudan. Il administre un territoire désertique mais où vivent et se délpacent au moins dix-huit mille nomades.


Lors de la mobilisation de 1939, il rejoint le 42e Bataillon de mitrailleurs malgaches qui devient la 42e demi-brigade de mitrailleurs indigènes coloniaux. Début janvier 1940, le lieutenant Simon est volontaire pour servir en qualité d’observateur en avion et suit le cours à Tours. Il retrouve à cette occasion son ami le sous-préfet Fred Scamaroni et devient proche du sous-lieutenant Pierre Messmer avec qui il partage les mêmes idées sur la guerre.


Horrifié par l’annonce de l’armistice, il refuse de se soumettre et avec Pierre Messmer gagne Marseille. Ils prennent le contrôle avec le commandant Vuillemin d’un navire italien le « Capo Olmo ». C’est une prise de guerre puisque ce bâtiment va servir sous le pavillon de la France libre et la vente de sa cargaison est une opportunité pour régler les soldes des personnels civils et militaires de la France libre pendant trois mois!


Dès son arrivée à Liverpool le 17 juillet 1940, il signe son engagement dans les Forces françaises libres qui est homologué à compter du 26 juin 1940, date de son arrivée à Gibraltar.


A Londres, le lieutenant Jean Simon est présenté au général de Gaulle et, après un bref séjour au dépôt de l’Olympia, il est affecté à la 13e demi-brigade de Légion étrangère (13e DBLE). Il sert, comme chef de section, sous les ordres du capitaine Dimitri Amilakvari à la Compagnie de mitrailleuses et d’engins. Il est l’un des acteurs magistraux de la a longue épopée de cette unité incomparable.


Il est de l’opération de Dakar et, après l’échec de cette tentative de ralliement de l’Afrique occidentale française, rejoint Douala, au Cameroun, le 10 octobre 1940. Il participe aux opérations de ralliement du Gabon, puis à toute la campagne en Erythrée. En mars 1941, chargé de faire sauter la voie ferrée entre Cheren et Asmara, il dirige une patrouille profonde à l’intérieur des lignes ennemies. Il recueille ainsi des informations de grande importance sur le dispositif et les intentions de l’adversaire. Il est cité à l’ordre de l’armée. Cité à nouveau, en avril, lors de la prise de Massaoua, il est fait Compagnon de la Libération par le général de Gaulle à Qastina (Palestine).


Commandant de compagnie pendant la campagne de Syre, il est blessé le 21 juin 1941 à Kaden, dans les jardins de la Goutta à proximité de Damas. Il perd son œil droit et est évacué sur Deraa, puis àNazareth, Jérusalem et Bethléem où il passe sa convalescence. Promu capitaine le 26 juin, il reprend le commandement de sa compagnie le 1er octobre 1941 à Homs.


Il participe alors à la campagne de Libye comme commandant d’une compagnie lourde antichars et sert sous les ordres du général Pierre Koenig.


Le capitaine Jean Simon est le premier officier de la Brigade qui commande une jock-column, c’estt-à-dire une unité légère motorisée spécialisée dans les raids en profondeur du dispositif ennemi. Dans le secteur de Méchili, il accroche un groupe ennemi composé de 14 chars, de plusieurs autocanons et d’infanterie. Il lui inflige de lourdes pertes et est cité à l’ordre de l’armée pour sa sérénité dans l’action. Lors du siège de Bir-Hakeim, du 27 mai au 11 juin 1942, il est héroïque et reçoit une nouvelle citation à l’ordre de l’armée. Après la sortie de vive force de Bir-Hakeim, il gagne l’Egypte et concourt à l’assaut du massif de l’Himeimat lors de la Bataille d’El Alamein.


Avec la 13e DBLE, il combat en Tunisie, puis en Italie où il participe aux opérations du Garigliano, Pontecorvo, Rome et Radicofani. Promu chef de bataillon à la fin de la campagne d’Italie, il débarque en Provence, le 30 août 1944, sur la plage de Cavalaire avec la seconde vague de l’Armée B du général Jean de Lattre de Tassigny. Il participe aux combats de la prise de Lyon le 3 septembre 1944 et à la bataille de la libération de Belfort. Lors des effroyables combats de Massevaux, il est blessé le 3 décembre 1944 par des éclat d’obus devant Thann (Haut-Rhin). Convalescent, Il prend part à la libération de Strasbourg, puis à celle de Colmar et aux derniers engagements au massif de l’Authion dans les Alpes. Il termine la guerre avec sept citations à l’ordre de l’armée, une citation à l’ordre du corps d’armée, une citation à l’ordre de la division. Cela témoigne de sa grande valeur au feu et comme meneur d’hommes.


A la fin de la guerre il est attaché au cabinet du général de Gaulle est chargé des questions des Forces françaises libres.


Après un temps à l’Etat-major de l’inspection des forces terrestres d’Outre-mer en 1946, il est promu lieutenant-colonel en 1947 et affecté au 3e Régiment étranger d’infanterie (3e REI) stationné à Caobang sur la frontière de Chine. Il en prend le commandement en 1948 ainsi que celui du secteur de Caobang. Le lieutenant-colonel Simon s’illustre dans les combats sur la Route coloniale numéro quatre (RC 4) et à l’occasion du dégagement du poste de Phu Tong Hoa, attaqué par cinq mille vietminh, il est blessé par éclats de grenade aux jambes et au dos. Le 28 février 1948 et est cité deux fois à l’ordre de l’armée.


De retour en métropole en 1950, il est affecté à la section technique de l’Armée, puis admis à l’Ecole supérieure de guerre en 1951, et au Cours supérieur interarmées. Promu colonel en 1952, chef du 3e bureau de l’armée de terre en 1955, Jean Simon met sur pied la sélection du contingent et l’instruction rationnelle. Il participe en novembre 1956 à l’opération de Suez en liaison avec l’Armée israélienne.


En 1957 il est nommé attaché militaire (Terre) à l’Ambassade de France à Londres et représentant de la France au bureau militaire de standardisation. Il est désigné comme expert militaire au comité restreint de la conférence du désarmement qui réunit à Londres Jules Moch pour la France, Zorine pour l’URSS, Stassen pour les Etats-Unis et Omsrygore pour la Grande-Bretagne.


Nommé général de brigade en 1960, il assure en Algérie dans des conditions difficiles et avec un loyalisme total le commandement de la zone Est algéroise en Grande Kabylie et de la 27e Division alpine, puis de la zone Centre-oranais et de la 29e Division d’infanterie. Une citation à l’ordre de l’armée et une citation à l’ordre du corps d’armée lui sont décernées.


Il est désigné par le général de Gaulle comme représentant militaire aux pourparlers franco-algériens et est présent à la conclusion des accords d’Evian en juin 1961. Il est ensuite nommé commandant de l’Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr et de l’Ecole militaire interarmes. Général de division en 1964, il structure et commande le 1er Corps d’armée à Nancy. Général de corps d’armée en 1967, il est gouverneur militaire de Lyon et commandant de la 5e Région militaire.


En 1969, il devient inspecteur général de l’armée de terre. Membre du Conseil supérieur de la Guerre depuis 1968, général d’armée en 1970, il quitte le service actif le 1er mai 1973.


Placé à la tête du Secrétariat général de la Défense nationale jusqu’en 1977, il est l’initiateur du développement de l’enseignement de Défense et de la création de plusieurs chaires à Paris et en Province.


Membre du Conseil de l’Ordre de la Libération depuis juin 1969, il est nommé Chancelier de l’Ordre de la Libération en septembre 1978 par Valéry Giscard d’Estaing pour quatre ans, il est reconduit par François Mitterrand en 1982, 1986, 1990, 1994 et par Jacques Chirac en 1998.


Sur son initiative, les maires des cinq communes Compagnon de la Libération (Nantes, Grenoble, Paris, Vassieux-en-Vercors et l’Ile de Sein) signent un pacte d’amitié, le 3 décembre 1981, afin de resserrer les liens entre leurs communautés respectives et d’assurer l’avenir de l’Ordre de la Libération.


Il a été le maître d’oeuvre de la loi du 26 mai 1999 créant le Conseil national des communes « Compagnon de la Libération », pérennisant ainsi l’Ordre, destiné, à l’origine, à s’éteindre naturellement, en même temps que les derniers Compagnons de la Libération.
Le général Simon est également Président national de l’Association des Français libres de 1978 jusqu’à sa dissolution en 2000, et ensuite Président de la Fondation de la France libre jusqu’en septembre 2001. Vice-président de l’Institut Charles de Gaulle, il quitte, au terme de son sixième mandat, ses fonctions de Chancelier de l’Ordre de la Libération en septembre 2002.


Le général d’armée Jean Simon est décédé le 28 septembre 2003 à Cherbourg. Ses obsèques ont été célébrées le 2 octobre 2003 en la cathédrale Saint-Louis des Invalides. Il est inhumé au cimetière de Querqueville dans la Manche. Le général Simon était Grand Croix de la Légion d’Honneur, compagnon de la Libération (décret du 23 juin 1941), titulaire de la Médaille Militaire (décret du 16 octobre 2002), de la Croix de Guerre 1939-1945 (9 citations), de Croix de Guerre des TOE (2 citations), de la Croix de la Valeur Militaire (2 citations), de la Médaille de la Résistance, de la Médaille des blessés et de nombreuses autres décorations françaises et étrangères.


Arradon - Vannes. Ndemi remet sa tournée

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9 septembre 2013

Abel Ndemi a signé un bon chrono (29'29'') entre Arradon et Vannes. Photo Bruno Perrel
 
Déjà vainqueur en 2012 à Vannes, le légionnaire d'origine kenyanne Abel Ndemi (Athlé Provence) a doublé la mise hier après-midi, devançant d'une petite ligne droite du stade de Kercado le recordman de l'épreuve, le Burundais Nizigiyimana. Une issue attendue pour le légionnaire d'Aubagne, qui a profité des conditions atmosphériques favorables pour descendre nettement sous la barrière stratégique de la demi-heure, approchant de moins d'une minute son record personnel sur la distance, et échouant à seulement 18'' du record de l'épreuve, détenu depuis 2011 par son dauphin du jour.Si la bataille a fait rage devant, elle n'en a pas moins été aussi intense pour les places d'honneur disputées par les prétendants au Challenge breton des dix kilomètres. C'est d'ailleurs d'un souffle, à l'issue d'un sprint échevelé, que Matthieu Garel est venu prendre la place de 5eet de premier Breton à Marc Souben. Triplé du Quimper Athlétisme Dans un contexte nettement moins relevé, les Sud-Finistériennes du Quimper Athlétisme ont réussi un joli tir groupé. Spéciose Gakobwa s'est imposée de quelques foulées devant ses comparses de club Hasna Tabboussi et Adèle Morlet, pour un joli triplé du club quimpérois.10 km : 1. Abel Ndemi (KEN, Athlé Provence), 29'29''; 2. E. Nizigiyimana (BUR), 29'40''; 3. S. Lafi (Doubs Sud athlé), 30'52''; 4. L. Gana (BUR), 31'36''; 5. M. Garel (SL Etables), 31'51''; 6. M. Souben (Quimper athlé), 31'52''; 7. F. Hamon (UACA Saint-Brieuc), 31'58''; 8. S. Flament (RC Corbie), 32'00''; 9. Ch. Delys (EAP Brocéliande), 32'07''; 10. A. Saudrais (HBA), 32'12''; 11. S. Louvel (V1, EAPB), 32'16''; 12. V. Faucheux (Garnison Rennes), 32'20''; 13. R. Canry (QA), 32'27''; 14. Y. Piederrière (Athlé Sud 22), 32'31''; 15. S. Philippe (QA), 32'34''; 16. F. Lestic (QA), 32'39''; 17. F. Viel (AL Saint-Marc), 32'57''; 18. F. Chomaud (V1, HBA), 33'14''; 19. Y. Thomas (Paimpol athlé), 33'17''; 20. S. Le Goff (QA), 33' 18''.Féminines : 1. Spéciose Gakobwa (QA), 37'34''; 2. H. Tabboussi (QA), 37'40''; 3. A. Morlet (QA), 37'46''; 4. M. Le Gallo (V2, AP L'Orient), 38'43''; 5. S. Gouault (V1, Le Penthièvre), 38'52''; 6. M. Le Beuvant (V1, UA Langueux), 38'56''; 7. S. Guillemet 39 22''; 8. Ch. Le Beller (AP L'Orient), 39'41''; 9. I. Rannou (Courir à Chateaulin), 39'41''; 10. A. Bossard (ASPTT Rennes), 39'56''.

Montségur. L'hommage de la mairie aux légionnaires

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Publié le 07/09/2013

Michel François, le maire de Montségur, remet la médaille de la ville au colonel Marc Lobel et à travers lui au 4e RE de Castelnaudary. /Photo DDM.

Avec la remise des képis blancs à soixante engagés volontaires au pied du château, Montségur a vécu une manifestation d’importance ; elle marquait l’aboutissement d’une première étape de formation initiale décisive dans la carrière d’un légionnaire. Michel François, le maire, avait eu le plaisir, la fierté et l’honneur, en 2010, d’accueillir une première fois cette remise de képis blancs. La cérémonie s’était déroulée sur un terrain, devant l’office du tourisme, dans le village. Cette fois, c’est carrément au pied du «pog» que les serments ont été prononcés, tout un symbole que Michel François n’a pas manqué de rappeler dans son discours à l’issue duquel il remettait la médaille de Montségur au colonel Marc Lobel, commandant le 4e régiment étranger d’infanterie, à Castelnaudary. «Par l’intermédiaire de votre chef de corps, je remets au 4e REI de Castelnaudary la médaille de Montségur, la médaille de ce que les historiens appellent la citadelle du vertige, symbole de la Résistance où plus de 200 personnes sont volontairement montées sur le bûcher plutôt que de renier leur foi et leur idéal.» Cette belle journée a été mentionnée sur le livre d’or de la commune.

La Dépêche du Midi

Bouvigny-Boyeffles à l’heure du Pas-de-Calais Libéré

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Publié le 04/09/2013

Le convoi de véhicules militaires a traversé le village une première fois vers midi, dimanche, en empruntant la route de la colline, la rue Lucheux et la rue du Prince, pour rejoindre Bully-les-Mines. Après une halte dans cette commune partenaire, les half-track, jeeps, GMC et motos ont repris la route vers Bouvigny, qu’ils ont traversée avant de faire un tour dans Marqueffles et d’y revenir.

Ferdinand Rzepka, de Ruitz, ancien combattant de guerre 39-45, en compagnie d’une amie

Les figurants, de nationalités belge, anglaise, suisse, hollandaise et française, ont alors laissé reposer leurs véhicules pour partager leur passion avec la population. Le convoi était accompagné du corps de musique de la Société musicale royale pandore de la police fédérale belge, que préside le colonel Denis Guido. L’orchestre était dirigé par Roland De Klippec.

En parallèle, le Comité historique de Bouvigny-Boyeffles a organisé une exposition sur le thème des Bovéniens dans la tourmente de la guerre à la salle Arthaud.

Un hommage a été rendu à Marguerite Klein. « Elle faisait partie du réseau Douphy. Elle a caché des aviateurs anglais et des armes dans les champignonnières de la commune, explique Pierre Delengaigne, du comité. Elle a fait passer ces militaires en zone libre et a reçu de nombreuses distinctions, dont les médailles du Commonwealth, du Mérite national, de l’Ordre des arts et des lettres, la Croix du combattant avec deux citations et la Légion d’honneur. Marguerite Klein était ingénieur agronome. Elle a déposé le brevet à l’origine du bifidus. » Titulaire d’une licence d’anglais, elle a consacré la fin de sa vie à l’écriture, une passion pour laquelle elle a été reçue à l’émission de Bernard Pivot.

« C’est un devoir de mémoire de ne pas oublier ces moments terribles de notre histoire. Pour qu’on ne vive plus jamais ça », soulignait le maire Maurice Viseux. Le maire du village a également remercié ceux qui ont œuvré localement pour animer cette manifestation, les comités des fêtes de Bouvigny, de Marqueffles et le Comité Historique. La journée s’est achevée avec un concert musical donné par les Forces militaires de Moscou et le bal de la libération, où la tenue d’époque était acceptée.

Dans la foule, Ferdinant Rzepka se souvient. Il a combattu en 1944 en France, en Allemagne et en Angleterre. Il a été militaire en Pologne durant deux ans et demi, puis a travaillé dans les mines et s’est engagé dans la Légion étrangère. Il a fait l’Indochine et l’Algérie en 1954. Un peu plus loin,

Déborah et Antonin ont revêtu les habits militaires et figurent ce que pouvait être la beauté de la jeunesse de l’époque. Cesmembres de l’association Marquette Garden de Pont-Sainte-Maxence (Oise) trouvent leurs costumes, entre autres, dans les bourses militaires.


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